Le Cogito Ergo Sum

l’espace intérieur, celui qui est visible sur scène. La phrase de Hamm permet de comprendre que l’enfer est partout ... Autre allusion à un célèbre auteur, ici un philosophe : _ « il pleure donc il vit » p82, renvoyant de toute évidence au « cogito ergo sum » de Descartes, faisant non plus de la pensée un absolu, mais de la tristesse. _ p87, c’est au tour des vers de Baudelaire de sortir de leur contexte. « Pauvres morts » s’inscrivant à la base dans la servante au grand cœur est ici employé par

connaissances sur son passé prouve que l’histoire de l’historien suppose de penser. Or, selon Descartes, philosophe Français du 17ème siècle, l’homme est doté d’une âme, « substance pensante », qui le distingue du monde animal, d’où le célèbre « Cogito Ergo Sum », je pense donc je suis, en l’occurrence je suis homme. Les animaux ne disposeraient que d’une conscience primitive, uniquement sensitive, ne permettant pas la pensée au sens auquel nous l’entendons. L’homme agit d’après une volonté, une décision

systématique : c’est la doute radical et hyperbolique. Il porte sur tout ce dont il est possible de douter et rien n’échappe à un tel doute sauf le doute lui-même. C’est dans le doute lui-même que se trouve la première évidence et certitude : le Cogito ergo sum (je pense donc je suis). La conscience de soi au terme du doute, est la pensée qui se saisit elle-même dans une intuition si évidente qu’il est impossible de sa vérité. La conscience de soi apparaît comme la socle de la philosophie cartésienne

l’imagination Remarques liminaires : Pascal s’inscrit dans le grand débat de son temps D’une part le pouvoir de la raison pour donner sens au monde, en quoi Pascal s’oppose à Descartes pour qui la raison existe (« je pense donc je suis », « cogito ergo sum ») et a vocation à saisir la vérité. D’autre part la querelle religieuse issue de la crise de la réforme depuis le début du 16 siècle Les deux enjeux sont constamment imbriqués l’un dans l’autre dans la réflexion des Pensées Par ailleurs au

arrêtons pour penser. Nous pouvons compter sur la raison pour nous dire ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ainsi Descartes affirme que le fait seul que l’Homme puisse raisonner prouve qu’il existe d’où « cogito ergo sum ; « je pense donc je suis ». Par la découverte du Cogito, l’Homme accède à une certaine connaissance de lui- même. Ce qu’il découvre, c’est l’existence de la pensée qui appartient à tous les êtres humains. Mais chaque individu à une personnalité propre, un caractère

codification établie à travers le temps. Un mot prend du sens par rapport à un autre mot, seul, il peut avoir une toute autre valeur. Ainsi, par exemple les traductions mot à mot passent souvent à côté du sens premier de la phrase. Descartes a dit '' cogito ergo sum'' (je pense donc je suis), mais à quoi bon être si je ne le fais pas savoir ? La parole devient donc un outil pour ce faire savoir, elle est au service de ce que je suis (au même titre que l'écriture dans une autobiographie par exemple), elle

c’est savoir que nous sommes des êtres conscients. Dans ce retour du sujet sur lui-même, le sujet s’appréhende, autant que conscience doué de pensé. Si nous pensons, c’est que forcément nous existons. C’est ce que Descartes démontre avec le cogito ergo sum, « je pense donc je suis ». La conscience de sois, connaissance de sois, est la seule chose qu’on ne peut pas remettre en doute. Cette conscience est donc une relations a sois mais aussi une relation au monde. Or si la conscience de sois est

La recherche de vérité a un sens dans le domaine de la connaissance théorique dans la mesure où cette dernière est havre et producteur de vérité rationnelle. Par la perpétuelle remise en question dans le domaine des sciences, illustré par le Cogito ergo sum de Descartes, la connaissance théorique semble progresser au fil du temps, des travaux scientifiques vers une vérité de plus en plus « pure » et inaliénable. La connaissance a priori que définit Kant comme un savoir élaboré sans le recours à l’expérience

les hommes pour parler de Dieu. Donc la lumière est l’ensemble de l’ensemble du spectre. Dieu est tout. L’homme est justement une unité morcelée. La langue est la mémoire primitive de l’homme. Dieu est un pluriel. Gide s’oppose à Descartes. (« Cogito ergo sum »). Cette façon de voir correspondrait à l’égotisme de Gide. Ma pensée fait ce que je suis. En d’autres termes, je suis ce que je pense être. Descartes met la pensée au centre de l’être, est obligé de s’accommoder à son discours la théologie.

deux. Cependant, un philosophe a douté de tout et a tout contesté et remis en cause à son époque : Descartes. En effet, il a tout remis en doute pour en arriver à une telle conclusion : une seule chose ne peut être remise en doute, c’est le « cogito ergo sum », je penses donc je suis. Bergson dit « il y a loin de là à soutenir que le cérébral est l’équivalent du mental » (l.6-7) c’est-à-dire qu’on ne peut penser cela et que c’est deux notions sont totalement différentes. Pourtant, on pourrait croire