Le Cogito Ergo Sum

Cette faculté permet donc notamment à l’Homme de penser de façon réfléchie car tous les êtres vivants pensent, cependant seul l’Homme en est conscient. Selon Descartes, l’Homme est un sujet donc une substance pensante. Descartes invente le « Cogito ergo sum » : l’Homme pense donc il doute. Par cela, il remet toujours tout en question. Mais cela varie en fonction des individus, par leurs sentiments et leurs ressentis. Par exemple, les actes d’amours plus réfléchis que les actes quotidiens (habitudes

normal de penser que définir l’homme comme un « être doué d’une conscience » suffit à le caractériser. En outre, Descartes fut le premier à démontrer que l’homme était pourvu d’une conscience grâce au raisonnement basé sur le doute et son fameux « Cogito ergo sum », impliquant que l’homme pouvait faire des choix, disposait d’un libre arbitre alors qu’un animal ne ferait qu’obéir à son instinct, par exemple, l’instinct de survie atteste du fait qu’il fait tout pour continuer à rester en vie, les réactions

entreprend de soumettre tout savoir (les croyances, les sciences, les religions, …), y compris le plus assuré, à l’épreuve du doute hyperbolique. Or, quelle est l’unique certitude qui pourra résister au doute hyperbolique, si ce n’est celle du cogito ergo sum (« Chaque fois que je pense, cela manifeste que je suis. ») ? Je peux douter de tout. Je ne pourrais pas faire que chaque fois que je pense, cela manifeste pas que je suis. La conscience devient le fondement de la connaissance. Elle est, dira

individuel et solitaire. Puis le besoin de la communauté pour que la pensée puisse exister. Pour finir nous allons voir que la penser est ce qui rassemble les hommes en dépit de leurs différences. La pensée est souvent associée au célèbre « cogito ergo sum » de Descartes, (« je pense donc je suis*1 »), ceci nous montre que la pensée est une activité solitaire, une activité qui se pratique seul. Elle contribue à définir l'individu, en effet l'existence profonde de chaque homme dépend de la pensée

l'un sans l'autre. On peut donc en déduire que la conscience subjective est consubstantielle à la liberté. 2. La fondation cartésienne de la subjectivité Descartes, Méditation Métaphysique (1641) Correspondant au cogito (« cogito ergo sum » : « je pense donc je suis »). Pour en arriver là, Descartes a entreprit, dans la première Méditation, de remettre en question toutes ses opinions car c'est pour lui la véritable méthode pour dégager une vérité absolument certaine ou

emploie pour cela toutes les ressources de son intelligence, en premier lieu l'« intuition évidente » et la déduction, mais également l'imagination, les sens), et la mémoire. )L'homme est une « substance pensante ». Ceci s'exprime par le célèbre cogito ergo sum, exposé dans le Discours de la méthode, et précisé pour l'essentiel dans les Méditations sur la philosophie première. L'homme peut s'appuyer sur la raison seule, et n'a pas besoin des « lumières de la foi » pour accéder à la connaissance (les

fait de se poser des questions, de penser, de philosopher, le locuteur fait preuve d’une conscience. Si celui-ci se pose de telles questions, c’est qu’il est conscient de la vie et de son existence.. C’est par ce principe là, que Descartes dit « Cogito ergo sum » (« Je pense donc je suis »). C’est par ce qu’il est conscient de son existence qu’il se pose des questions pareilles. Il ne lui serait pas possible de se poser de telles questions sans être conscient de son existence. Ainsi il peut ainsi être

existe du fait qu’il a conscience d’avoir une conscience. C’est par là qu’il se connait et pénètre au coeur de lui-même afin d’essayer d’en saisir l’essence. La célèbre formulation de Descartes dans Mediations Metaphysiques illustre cette idée : « cogito ergo sum » ; « je pense donc je suis» .Cependant cette citation finit par se vider de son sens à force de répétition car le fait de dire : je pense amène à l’idée : je suis. Simultanément, il y a aussi une unité qui relie toutes les représentations, toutes

celle de la subjectivité, qui est le fondement même de la philosophie existentialiste, en cela Sartre est considéré comme étant l’héritier de Descartes (1596-1650), ce dernier a fait du « je » la base de toute vérité par le biais de la formule « cogito ergo sum ». La subjectivité est alors considérée comme ce qui caractérise le sujet humain par opposition à l’objectivité qui est le caractère des objets ou choses. En effet, si l’on prend l’exemple du concept de la mort, pour les existentialistes ce concept

abord, on pourrait penser que la conscience que l'on a de soi-même est vraie, effectivement nous paraissons être les seuls à pouvoir juger de l'authenticité de notre propre conscience. En effet, Descartes exprimait cet aspect par le célèbre « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») car, si l'on peut douter de tout, même de l'existence du monde extérieure, il ya une chose dont on ne peut pas douter, c'est de notre capacité à penser, donc de notre conscience, puisqu'en doutant, on ne fait que