Le Comique Corrige Les Moeurs

le théâtre a aussi pour vocation de divertir et de faire rire. Par exemple les costumes grotesques peuvent être source de divertissement comme quand M. Jourdain du Bourgeois gentilhomme s’habille en grand Turc. Mais c’est surtout par des gestes comiques que le spectateur peut être diverti. On pense aux lazzis que Molière a repris de la commedia dell’arte que son grand père amenait voir et qui le fascinaient. On pense à la scène du sac Des Fourberies de Scapin quand ce dernier enferme son maître

Au XVIIème siècle, siècle du classicisme dans la littérature, deux grands genres théâtraux sont en opposition : la comédie, qui met en scène des gens ordinaires, et qui a pour but de divertir en représentants les travers et les ridicules des mœurs de l’époque et qui s’adresse au "bas monde", et la tragédie qui représente l’exact contraire de la comédie et qui est le genre le plus en vu de l’élite de la population. Les règles de ces deux grands genres ainsi que de l’épopée sont définies par

long de la pièce quatres types de comiques pour susciter le rire chez son public. Nous avons le comique de geste, qui passe par des coups, comme dans l'acte 1 scène 5 quand Argan poursuit la servante Toinette son bâton à la main prêt a lui asséner un coup. Mais egalement lors du monologue d'Argan dans la snène 1 acte 1 lorsqu'il compte plusieurs son argent, ce qui revèle par ailleurs son caractère cupide et avare. On retrouve ensuite le comique de situation. Ce comique est présent dans le malentendu

caractèristique indispensable de la comédie. Pourquoi les comédies nous amusent-elles? Ou autrement dit, quels procédés provoquent le rire chez les spectateurs? Les comédies s´inscrivent avant tout, comme leur titre nous suggère, dans le registre comique. Ce dernier joue sur nombreux procédés pour nous faire rire. D´abord, sur le caractère de la situation elle-même. Pourtant est-ce que le pesronnages de Harpagon dans L´Avare de Molière nous semblerait si ridicule sans la scène avec quiproquo, où Harpagon

connais une liberté créatrice avec Corneille néanmoins il sera détrôné par le jeune Racine, qui donnera une période de maturité, équilibre et intégration au courant. Œuvres : Le Cid L’Illusion Comique Horace Nicomède Jean de la Bruyère Il est célèbre pour une œuvre unique, « Les caractères ou les Mœurs de ce siècle ». C’est un ensemble de brèves pièces littéraires qui exposent l’esprit du XVII siècle. La Bruyère était l’un des premiers à mettre le classicisme en avant, il développe un phrasé

mettant en relation avec les mœurs qu’ils représentent, et dans une seconde partie nous verrons les moyens qu’utilisent les valets pour divertir le public et aussi les moyens utilisés pour qu’ils ne soient pas de simples figurants mais des pièces maîtresses de la pièce. I. Depuis l’antiquité, la comédie a pris une place très importante dans les théâtres. Et la relation maître-valet existe depuis lors, que ce soit dans les pièces de comédies romantiques, comédies de mœurs, comédies héroïques, ou

Les auteurs du 18ème siècle aiment le drame bourgeois, ils essaient d’enlever une couche aristocratique. Pour interpeller le lecteur ils utilisent le rire, comme Molière qui a beaucoup influencé Beaumarchais, ils pensaient que le rire pouvait corriger les mœurs. Le public est plus sollicité avec le rire. 3 façons de faire rire les gens : - ce que disent les gens peut faire rire - principe de la double énonciation - gestuelle Beaumarchais était à la fois auteur et metteur en scène

les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII. contexte: Pour la France, le xviie siècle en tant qu’unité historique peut être défini par deux dates : 1598 et l’édit de

Tout d'abord,la devise de la comédie est "castigat ridendo mores" (elle corrige les mœurs par le rire), que Molière a reprise à son compte. On y trouve la portée sociale, morale, critique de la comédie et sa portée comique. Molière avais t-il pour seul ambition de faire rire les spectateurs en écrivant sa pièce Tartuffe ? Et bien, nous avons deux opposition qui pose problème est-ce l'ambition du désir de la gloire, de réussite,de ce qui peut honorer ou est-ce l'ambition du but de quelque chose

monte sa surprise : l’émotion d’une veuve qui apprend la mort de son mari ou sa froideur devant l’annonce comme le laisse sentir le parallélisme ?-TOIN répond avec « hélas » cependant le tragique est brisé pas son insistance comique : « Le pauvre défunt est trépassé »  -> comique du pléonasme « défunt/trépassé » que Béline ne remarque pas -TOIN surjoue et le spectateur le sait-Cet annonce n’est là que pour faire rire -> l’annonce de la mort d’ARG a été faite la ligne précédente3) Récit de la mort