Le Comique Effrayant

l’horreur Renforçage de l’horreur d’une apparition qui ‘vit’, s’anime, mais sans le soutien d’un corpsl.10« Me répond »La puissance démoniaque maladroitement montrée avec des caractéristiques sonoresl.14« Bruit »Comparatif de supériorité « plus effrayant encore »Les paroles prononcées sont sensées Le narrateur lie la peur à ce tintamarre infernall.11L’hyperbole portée par la répétition des déterminants quantitatifs pluriel « toutes » et « tous » + CDN « des environs »Une extension démesurée de la

indistinct du suivant, sinon par sa fonction, son titre, et les rapports formels de soumission qui doivent en découler. Aussi Céline recourt-il aux termes « le colonel », « le cavalier à pied », « les Allemands », ceux-ci apparaissant comme une masse effrayante et indifférenciée, invulnérables par leur nombre (d’où le pluriel globalisateur). Ces termes ne recouvrent aucune consistance puisqu’ils sont pure convention verbale, attribution arbitraire d’un titre « comme on disait alors » qui n’est pas véritablement

excellence dans les sujets nobles (puisque seul il est l’auteur de représentations non seulement réussies mais encore de forme dramatique), de même aussi il a esquissé les traits principaux de la comédie, en donnant forme dramatique non à un blâme mais au comique. En effet ce que l’Iliade et l’Odyssée sont aux tragédies, le Margitès l’est aux comédies. Lorsque la tragédie et la comédie furent apparues, chaque poète fut entraîné par sa nature propre vers l’une ou l’autre sorte de poésie : les uns devinrent

Gavroche. Voilà qu’on me tue mes morts.caractérisation indirecte du personnage, prise de parole : situation sociale populaire, grande vivacité du personnage qui emploie une plaisanterie. -Registre comique montre l’insouciance, la gaieté du personnage. Plaisanterie décalée, provocatrice d’un personnage qui n’a peur de rien- Registre épique : défi héroïque voire mythologique = David face à Goliath qui annonce la dimension hors du commun du personnage

empêche la création, il est conservé dans Ruy Blas : On ne voit pas le coup d'épée qui tue Don Guéritan sur la scène. -On retrouve le mélange des genres (habituel du Drame Romantique) : Le comique est opposé au tragique (par exemple le personnage du vieux majordome Don Guéritan amoureux de la jeune reine est comique, des retournements de situation mélangeant tragédie et mélodrame ( le retour de Don César d' Afrique qui provoque la chute de la Reine involontairement alors que Ruy Blas avait réussi à

La dystopie s'oppose à l'utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la dystopie propose un des pires qui soit. La différence entre dystopie et utopie tient moins au contenu (car, après examen, nombre d'utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur. Cette forme littéraire a été popularisée par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne de Karin Boye (1940), 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray

social certain. Synonyme de partage comme de rejet. Dans un des écrits du corpus qui nous est présenté, on peut facilement se rendre compte de l’essai auquel s’est adonné Henri Bergson. Il y donne une définition du comique, comme pour revenir à l’origine même du rire. Comique qui dans un autre écrit, celui de Charles Baudelaire, est essentiellement déclenché par le rieur lui-même. Jim Holt y voit lui une liaison obligatoire entre rire et humour. Enfin l’image, affiche de film, démontre à quel

que nous mêmes créons. Le premier est écoulement, succession; le second est susceptible de déformation. Les hommes, nous vivons dans les illusions du temps intérieur en ignorant la tyrannie du temps réel. Dans “Le Roi se meurt”, un homme fait l´effrayante découverte du temps réel, implacable, mesuré, régulier, alors qu´ il a vécu, comme tous, sur l´illusion du temps intérieur. L´homme éprouve la libération du temps réel, qui est celui de la corruption, de la ruine de toute réalité. Le temps intérieur

-Les mouvements de la fébrilité : Au tumulte des sentiments fait écho les signes extérieurs de l’angoisse : les mouvements. 1) La nervosité lisible dans sa façon de se déplacer : 1) ce sont dans la première partie du texte les allées et venues effrayant les commerçants qui ferment leur devanture -ce qui conforte Frédéric dans l’idée d’une hostilité affichée du monde extérieur 2) ce sont ensuite les mouvements brusques qui suivent la relative immobilité de la deuxième partie du texte (le retournement

que la boucle etait bouclee, que le serpent s'etait mordu la queue” , c'est a dire que l'homme est identifie avec un animal, selon les anciennes traditions africaines. Apres la mort de son idole, Gregoire choissi de commettre un crime tellement effrayant que personne pourra oublier son nom et toute le monde le reconnaitra comme fils spirituel d'Angoualima. Au debut il essaye de tuer une prostitute – en fait il s'agitait d'une infermiere - mais il echoue dans son but et donc ce que devait etre