Le Comique Effrayant

-les accusateurs : « ses ennemis » (l.8 et 53) : manque d'objectivité des accusateurs. - l'apothicaire « condamné » (l.15) : rappel de l'injustice dont il est capable, homme peu fiable. - un moine « son propre confesseur » (l.68/69) : duplicité effrayante : celui qui doit se confesser et absoudre Grandier pour sa vie dans l'au-delà est celui qui s'empresse de le faire mourir dans d'afreuses souffrances. → par opposition : -Grandier : « une mouche » (l.3) : métaphore, « le faible prêtre, homme de

plus proches, n’est-il pas vital de pouvoir au moins se changer un peu soi-même ? Et n’arrive-t-il jamais qu’avec regret ou remords, l’on s’éprouve soi-même trop malheureux ou trop méchant pour continuer comme cela ? N’y a-t-il pas en nous cette effrayante faculté de faire comme méthodiquement notre propre malheur ? De nous entêter dans notre malheur, d’y surenchérir en lui cherchant des justifications ? Ou de nous émietter nous-mêmes, de mettre notre propre vie en lambeaux ? Comment alors pardonner

sociale, le diable : « c’est effrayant démon » (v.182, 463, 612 et 1716). * Don César de Bazan ou Zafari : Cousin de Don Salluste, Don César appartient à la noblesse mais après avoir dissipé sa noblesse il est devenu « un peu aventurier, un peu bretteur, un peu bohémien (acte 1 scène 2). Il a comme nom d’emprunt Zafari Il s'agit d'un personnage picaresque qui par sa manière de parler fait apparaître le sourire au lecteur. Ses apparitions sont brusques et comiques (dans l'acte 4 scène 2 il rentre

défaut, une faute "Rire= anéantissement soudain d'une attente extrême" Kant La caractéristique de cette faute c'est qu'elle ne cause pas de douleyrs. L'objet est une laideur, et la laideur ne cause pas de dommage. Aristote mentionne le masque comique laid et difforme. Quand Aristote définit la comédie, il prend dustance avec Platon. Platon affirmait que ke ridicule est une disposition. Sans domafe pour autrui mais Platon ajoute que le plaisir qu'il provoque est mêlée de douleur. Le rire est

le faire valoir du livre l’auxiliaire on retrouve le schéma du grand seigneur avec ses valets. C’est pour cela qu’on retrouve une vision si négative. Dans l’épisode cannibale c’est l’exotisme l’argument commercial, ça fait peur, qui est à la fois effrayant et grotesque. (Mais Rochefort est beaucoup plus doux que la description de Jules Vernes) c’est un épisode exotique qui en même temps justifie la colonisation. Par contre la lucidité politique de Rochefort, le système de colonialisme est plaqué sur

ces bruits « courent sur les barbelés » institue une seconde barrière qui enferme définitivement la cité, d’autant plus que la mention des « miradors » renvoie bien à l’idée d’une prison. Loin d’être un lieu sûr, l’intérieur de la cité est donc effrayant. Ce que confirme l’importance du champ lexical de la vue, autant dans les paroles de Horn que’ dans celles d’Alboury: « J’avais bien vu de loin quelqu’un derrière l’arbre » p.9 « Vous, je ne vous avais jamais vu par ici » p.10 « Voilà l’occasion

volutes roses et les filtres de sang noir de la chair… » chapitre : Tu en ferais tout autant. Il est donc assez facile de perdre le fil de l'auteur : un monde absurde et inspiré des sociétés modernes ou tout se vend « l’Interzone » , grotesque comique, noir, dépravé, dictatorial, truffé de médecins fous, de dictateurs fragiles, d'homosexuels brimés, de putains cannibales ou encore de lieutenants libidineux, etc. Les premiers chapitres sont essentiellement consacrés aux affres de sa toxicomanie

L’effet réaliste de la première personne - L’auditoire représenterai un double du lecteur, la réaction de ce dernier est symboliquement intérieure au récit. Ces deux points donnent plus de vraisemblance. - Variation des registres : épique, effrayant, comique, idyllique (avec la description de l’ile des chèvres). Postérité : Figure de l’ogre avec le Petit Poucet, récits bibliques avec David et Goliath, et les arts figuratifs. Rôle dans l’initiation d’Ulysse : - Le cyclope peut être vu comme

. (LECTURE) Nous pouvons nous intéresser aux rapports qu'entretiennent les personnages en parlant d'Inès comme personnage dominant dans une première partie puis de l'effacement des autres personnages.. Analyse du texte: Inès effrayante, ton sadique, mais également comique: nombreuses répétitions, compare l'enfer à un restaurant coopératif: ironie, utilisation de métaphores [?] Garçin et Estelle sont choqués, surpris de l'attitude d'Inès: ça entraîne un conflit. Elle devient provocante et elle domine

Il est élu à l’Académie Française a 56 ans mais parce qu’il avait critiquer la politique de France, il perdit son poste. Genre : Roman. Œuvres principales : - L’Abyssin (1997) ; Rouge Brésil (2001) Résumé Roman ou il imagine l’avenir qui sera effrayant. Globalia contre-utopie  à éviter Titre du livre : L’Epitaphe Villion ou la ballade des pendus Année de publication : en 1462 Auteur : François Villion Biographie : Poète français de la fin du Moyen-Age. Décédant d’une famille pauvre, orphelin