Le Concordat De 1801

entraîne la rupture des relations diplomatiques avec le Vatican en mai 1904. La séparation des Eglises et de l’Etat s’impose comme une mesure d’apaisement. Préparée par Aristide Briand, la loi votée le 9 décembre 1905 met fin au concordat établi par Napoléon en 1801. Elle repose sur deux principes fondamentaux : la République assure la liberté de conscience et garantit le libre exercice de tous les cultes, mais n’en reconnaît, n’en salarie et n’en subventionne aucun. Les Eglises perdent donc tous

structurer une sorte de contre révolution qui fera écho en France. Après ce déracinement de l’Eglise, la révolution a séparé la démocratie française et la tradition catholique. C’est sous le consulat qu’il existera une paix temporaire (concordat de 1801), mais c’est la loi de 1905 qui met fin à ces affrontements. L’ensemble des réformes, vont aboutir à la rédaction de la première constitution de l’an I de 1791. Paragraphe 5 : la constitution de 3 septembre 1791 Cette constitution a

res de ce qui le  mettra en place laissera des traces jusqu'à aujourd'hui. Il met en place la  banque de France qui créera une monnaie stable grâce à cela l'économie  pourra reprendre. Avec le clergé , il passe un accord appelé le concordat  (signé par le pape en 1801). Ce traiter reconnaît l'existence de la république  et sa gestion du clergé ainsi que la vente des biens d'église. Les catholiques  de France seront donc favorable à Napoléon et la paix religieuse est  rétablie. Il rassemble les

organiseront des répressions sanglantes (les noyades de Carrier, les colonnes infernales de Turreau brûlant les terres). A Lyon ou dans le Midi, on cesse également d'obéir à la Convention, la guerre civile est déclarée. | La Guerre de Vendée (1793 - 1801) Les insurgés vendéens forment trois armées organisées sur trois pôles. L'armée du Marais autour de Legé, l'armée d'Anjou autour de Cholet et l'armée du centre dans le bocage. Les régions angevines sont formées de hautes haies propices aux embuscades

des relations avec Eglise. Se traduit par la recherche d’une solution autoritaire incarnée par Bonaparte, se présentant comme héritier de la révo. Engagé ds logique de pacification sociale qui reconsidère relation Eglise catho avec Etat : Concordat négocié en 1801. Cette négociation est dominée par 3 questions : Statut de la rel catho. Le catho n’est pas rétabli comme rel d’Etat : « la religion de la très grande majorité des français ». « Les consuls s’engagent à en faire profession particulière »

| | |Depuis le concordat signé entre le pape Léon X et François 1er en 1516, le roi de France nomme les

seul maître du pouvoir; les deux autres consuls ne sont pour lui que des assistants. Siéyès et Ducos qui pensaient au départ contrôler Bonaparte sont remplacés par Lebrun et Cambacérès, plus dociles. Après 10 ans de guerre, NB obtient la paix: en 1801, avec l'Autriche et en 1802 avec l'Angleterre. Sa popularité est à son comble. Un plébiscite lui reconnaît en 1802 le consulat à vie. En 1803, la guerre avec l'Angleterre reprend et NB profite de la découverte d'un complot royaliste pour se faire proclamer

alternative à la religion catholique. Nicolas Sarkozy évoque alors ici, « les souffrances que sa mise en œuvre a provoquées en France chez les catholiques ». En 1801, Napoléon conclut avec le Vatican un Concordat qui apporte un premier règlement de ce conflit, avec par exemple, la création du mariage civil et de l’état civil. Le Concordat affirme ainsi que la religion catholique est celle de la grande majorité des français. Ceci nous renvoie alors à l’affirmation du Président de la république stipulant

sont domptés, ils n’auront pas envie de se révolter contre le régime, donc cela permettrait de calmer le peuple. II) Le contenu de la réforme Cette réforme ce fait en deux étapes • Le concordat Traité qui est conclut entre Napoléon (Etat Français) et le sein siège (le Pape), signé le 16 Juillet 1801. Celui-ci à pour finalité de mettre en place un nouveau statut de l’église de France. Qui a également pour but de mettre fin au schisme religieux, et réconcilier la France avec son église, et

droit de chaque citoyen à un droit de présentation des candidats, et non pas un droit de désignation des représentants. Tous les postes politiques et administratifs sont réservés aux citoyens inscrits sur les listes de confiance, listes établies en 1801. Un système électoral qui n'a rien de démocratique et détourne au profit des notables le suffrage universel. B/ La manipulation de l'opinion La constitution de 1799 ne garantit pas les libertés individuelles, et de fait, elles vont être réduites