Le Concordat De 1801

milieux les plus conservateurs ou l’idéal Républicain domine  de plus en plus.   II. Une division institutionnelle et sociétaire A. L’église À la fin du XIXème, la religion catholique est première religion reconnu par l'État dans le cadre du Concordat mise en place par Napoléon et Talleyrand avec le pape Pie VII. À de rares exceptions, tous les enfants français sont baptisés. Dans tous les tribunaux de France, les hôpitaux ou les écoles, le crucifix est au mur. L'église catholique exerce ainsi

à ses idées inspirées du club des Jacobins, Bonaparte poursuit l’oeuvre politique de la Révolution : en 1801 est proclamé le Concordat, par lequel l’Eglise et le clergé, tout en conservant le soutien financier de l’Etat, ne sont plus associés aux affaires du gouvernement. Le catholicisme n’est donc plus religion d’Etat, mais demeure statutairement la première religion des Français. Le Concordat est un premier pas vers la séparation officielle de l’Eglise et de l’Etat, qui n’interviendra définitivement

à ses idées inspirées du club des Jacobins, Bonaparte poursuit l’oeuvre politique de la Révolution: en 1801 est proclamé le Concordat, par lequel l’Eglise et le clergé, tout en conservant le soutien financier de l’Etat, ne sont plus associés aux affaires du gouvernement. Le catholicisme n’est donc plus religion d’Etat, mais demeure statutairement la première religion des Français. Le Concordat est un premier pas vers la séparation officielle de l’Eglise et de l’Etat, qui n’interviendra définitivement

sont autorisés à rentrer (en octobre 1800); amnistie des Chouans. − À l'égard des Catholiques: Concordat de 1861 que reconnait la religión catholique comme celle de la majorité des Français. (Ce concordat fut appliqué jusqu'à la séparation de l'Église et l'État en 1905). · Pacification extérieure: À l'issue d'une nouvelle campagne d'Italie, Bonaparte amène l'Autriche à signer le traité de Lunéville (1801) et récupère en Italie les territoires perdus en 1799. L'Angleterre isolée se decide à traiter

libéralisme économique : reconnaissance du droit de propriété, de la liberté d'entre prendre et de la liberté du commerce (disparition des taxes a l'intérieur du pays) III) Les fondations religieuse et culturelle : -Liberté de culte -1801 : concordat entre le pape et Napoléon : il prévoit que l'état nomme et paye le clergé et en échange il reconnaît que la religieuse catholique comme étant la religion majoritaire des français. -Création par Napoléon des 1er lycées et 1er musées -Création

des églises qui signent des Concordats avec le Pape. Le Roi de France va vouloir de plus en plus soucieux à l’autonomie de l’Eglise. Le gallicanisme : c’est la volonté du Roi de France que le royaume de France soit le plus possible autonome vis-à-vis de la Papauté. 1438 « la Pragmatique sanction de Bourges » : texte du Roi de France (Charles 7) déclaration unilatéral du Roi dit que désormais c’est le Roi qui décide de la désignation du future évêque. 1516 « Concordat de Bologne » : Il dit la même

Peuvent-ils se passer d’une croyance ? La religion permet de bercer les peuples. Mais surtout, Napoléon veut tout relier à l’Etat, et l’organisation concordataire des cultes est un moyen de les surveiller. Paragraphe 1:L’entente avec le Pape : le Concordat de 1801. C’est pendant ses campagnes militaire en Italie que Napoléon se rapproche du Pape, qui, lui, est désireux de faire cesser le schisme issu de la Révolution. L’un et l’autre sont d’accord pour une réconciliation, mais sont en désaccord sur

magistrats sauf juge de paix ne sont plus élus mais nommés, Préfet seul chargé de l’administration, il a aussi un rôle politique très important il doit faire prévaloir les idées du pouvoir central et assuré la surveillance de l’esprit publique le concordat DDHC : libertés religieuses neutralité de l’Etat vis à vis de la religion = ne favorise plus un culte particulier Pour autant pas mener à la séparation de l’église et de l’état, attendre 1905, les révolutionnaire va tenter d’instaurer un contrôle

lequel il obtiendra sa nomination de consul à vie. Les objectifs du Directoire son triples : rétablir l'ordre, consolider les acquis de la révolution, fonder un régime qui représente la nation. Napoléon s'assure la paix religieuse en signant un concordat en 1801 avec le Pape Pie VII : l’Église renonce aux biens nationaux vendus / l’État reconnaît que l’Église catholique est celle de la majorité des Français. Napoléon Bonaparte met en place une série de mesures que l'on nomme « les masses de granit »

place ses arguments a. Origines de la question de la liberté de l’enseignement Avec la révolution française, afin de former de bons citoyens, et pour lutter contre les corps intermédiaires l’Etat se dote du monopole de l’éducation. Le concordat de 1801 qui place « la religion dans l’Etat et non l’Etat dans la religion » (G. Cholvy) renforce l’emprise que ce dernier exerce sur l’Eglise. Napoléon réaffirme l’ambition de l’Etat dans le domaine de l’éducation en déclarant que cette dernière doit