Le Consommateur Est Il Toujours Rationnel

 Chapitre 1 Quels sont les facteurs qui interviennent dans le processus d’achat du consommateur ? Page d’ouverture (p. 5) 1. Quel est l’intérêt d’un showroom pour un consommateur qui veut acheter une voiture ? Un showroom est un espace commercial destiné à présenter l’offre de produits. Le consommateur peut voir, toucher et même s’installer dans les voitures. Il peut manipuler : ouvrir le coffre, baisser les sièges, etc. La visite d’un showroom est très souvent une étape nécessaire pour

Chapitre 1 : La théorie du consommateur. On considère l’individu en tant que consommateur, c’est-à-dire celui qui exprime une demande sur le marché. Le consommateur est un agent économique pour lequel on applique l’hypothèse de rationalité. Cette hypothèse nous permet de définir une notion centrale, celle d’utilité. Nous verrons de quelle manière on peut interpréter et construire la courbe de demande exprimée par l’individu avec un objectif principal : expliquer une loi fondamentale en économie

Le rôle du consommateur Nous avons un objet un peu particulier et j’ai été absolument ravi d’entendre les propos de l’orateur précédent à propos d’une enquête dans laquelle les consommateurs ne se considéraient pas comme tels. Effectivement, j’ai envie de reprendre en partie ces éléments et de dire que le consommateur n’existe pas. Il est une double fiction fabriquée par les économistes qui avaient des problèmes de producteurs. Par conséquent, ils ont dû inventer la contrepartie, une figure mythique

susceptible d’intervenir dans le comportement des consommateurs. »[footnoteRef:1] [1: Dictionnaire « Le Robert »] « La neuroéconomie est un champ interdisciplinaire émergent qui recourt aux techniques de neuro-imagerie pour identifier les substrats neuraux associés aux décisions économiques ». Plus précisément, le neuromarketing est « l’étude des processus mentaux explicites et implicites et des comportements du consommateur dans divers contextes marketing concernant aussi

Séance 1 : introduction 1. Marketing et comportement du consommateur L’étude du comportement du consommateur fait partie du marketing. Elle est essentielle lorsque l’on fait du marketing. L’objectif du marketing est de créer des relations rentables avec les clients. Pour cela, il s’agit tout d’abord d’attirer de nouveaux clients en proposant une offre attractive. Il faut connaitre ses clients. Qui sont-ils ? Comment sont-ils pour pouvoir leur proposer une offre attractive ? Il s’agit également

macroéconomie qui porte son analyse sur des quantités globales ou agrégats. La micro s’intéresse aux acteurs ou agents économiques que sont les consommateurs et les producteurs. La micro pose la question de la coordination ou de la compatibilité des décisions que prennent ces agents éco sachant qu’ils sont rationnels (maximisation de la satisfaction pour les consommateurs et maximisation du profit pour les producteurs). La macroéconomie appréhende les comportements de groupes et aborde les relations qu’ils

positionner l'entreprise sur le marché en véhiculant des éléments distinctifs ; • la marque est un gage de qualité, une sorte de garantie donnée par l'entreprise de la qualité de son produit. Acheter un produit de marque est un moyen pour le consommateur de se protéger contre le risque et de réduire son incertitude . C'est ainsi que certaines marques sont considérées comme marques-caution (General Electric, Gervais, Danone, les grands laboratoires pharmaceutiques, ...) ou marques-griffe car elles

niveau d'utilité que le consommateur peut consommer. Utilité marginale est décroissante : càd que l'utilité produite par la consommation d'une unité supplémentaire décroit à mesure que l'individu augmente sa consommation de ce bien. Utilité totale pour le consommateur c'est le niveau de satisfacon que va lui procurer un bien par rapport à la quantité qu'il utilise. Axiome de réfléxivité, transitivité, complétitude. Notion de pré ordre complet ? Le consommateur est-il rationnel ? Déterminer Utilitié

perspective cognitive dans laquelle le consommateur cherche perpétuellement à maximiser l'utilité de ses choix en évaluant les coûts et les bénéfices potentiels. Toutefois, depuis le début des années 80, nous assistons à une évolution profonde dans l'analyse des comportements de consommation et dans la prévision des choix. Les modèles fondés sur la primauté du cognitif ont en effet montré des faiblesses, essentiellement dans des contextes où le consommateur recherche davantage des gratifications

décision d’achatAu tout début, le consommateur a été d’abord considéré comme susceptible de répondre à des stimuli. Ce sont les modèles S-R (stimuli/réponse)Les plus connus se fondent sur l’expérience du chien de Pavlov (principe du conditionnement) Positivisme et principe de modélisation :1er paradigme dit mainstreamLe positivisme => Le consommateur est un preneur de décisions objectives. Pq ? Une vision utilitariste dans une perspective d’influence du consommateur/citoyen/usager.Approche : décrire