Le Conséquentialisme éthique

libéralisme en 21 questions Thierry Falissard Avant-propos Le libéralisme est-il une menace planétaire au même titre que le seraient le réchauffement climatique, le terrorisme islamiste ou la prolifération nucléaire ? Est-il dépourvu de toute éthique au point d’abandonner chacun d’entre nous au jeu aveugle des forces du marché ? Ne laisse-t-il pas chaque personne livrée à elle-même en détruisant tout lien collectif ? Faut-il intervenir vigoureusement pour en limiter les dérives ? La sagesse populaire

précisément, une action est le résultat d’une décision venant clore une délibération rationnelle visant à déterminer la meilleure manière de satisfaire un désir. Toute action se caractérise donc par une certaine fin et par certains moyens (Aristote, Ethique à Nicomaque). Ex. : supposons que nous soyons hédonistes et que nous jugions que le bien est le plaisir. Notre modèle de vie bonne est donc celle qui éprouve le plus de plaisir possible et le moins de peine possible. Et cela signifie aussi que

emmener malgré lui à soulager bien des misères. C’est immoral et son action peut être récusée. Peut importe répondrons d’autres c’est le résultat qui compte et soulager les misères humaine. C’est tout le débat entre intentionnalisme et les conséquentialisme, une action doit être jugé à l’aune de ces intentions, pour d’autres une action doit être jugée à ces conséquences (à l’aune encore de ce critère un chrétien conséquent est évidemment du côté des libéraux et de H. c'est-à-dire intentionnaliste)

puritains. Weber met également en place une forme d’individualisme méthodologique. Le développement du capitalisme s’explique par l’agrégation de comportements individuels. La question est : pourquoi le capitalisme s’est développé ici et pas ailleurs ? : Éthique économique. Weber a défendu la méthode individualiste, notamment dans son texte sur la sociologie compréhensive. Weber va nous dire que les structures ne sont que des développements d’une activité spécifique de personnes singulières, autrement dit

principe d’utilité lui-même. Autrement dit, iln’est pas question pour Mill d’appliquer la tolérance à des individusqui ne sont pas parvenus à un certain degré de maturité morale. Cetteexigence morale est tout à fait cohérente d’un point de vue méta-éthique, puisque le principe d’utilité est un principe normatif et passeulement une description psychologique des tendances naturelles de l’homme. Une fois établie la fin que l’homme doit vouloir, on peutdéterminer les principes qui lui permettent d’atteindre

(Complémenter la recherche sur internet : noms importants pour le prof.) Théoricien majeur de la philosophie du droit – père de l’utilitarisme - est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles. L'utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme : il évalue une action (ou une règle) uniquement en fonction de ses conséquences. …. après le 18ème siècle …il y a un peu un trou Ronald Coase (1960) Publication

théories normatives, les seules dont l’observation et l’application amèneraient certains à gagner, et d’autres à perdre. Or, c’est bien dans cette catégorie que tombe l’œuvre de nos deux auteurs. Helvétius exprime à sa façon la portée nécessairement éthique de sa théorie : “ La connaissance de l’esprit, lorsqu’on prend ce mot dans toute son étendue, est si étroitement liée à la connaissance du cœur et des passions de l’homme, qu’il était impossible d’écrire sur ce sujet, sans avoir du moins à parler

l’audit social et d’enseignants-chercheurs désireux de mettre en commun leurs expériences pour approfondir le concept d’audit social, en définir le cadre de référence, et veiller à une mise en œuvre cohérente de ces pratiques dans le respect d’une éthique professionnelle, l’IAS démontre en 2006 sa vitalité et sa capacité à poursuivre et à amplifier le projet de ses fondateurs. L’audit social sort de sa marginalité. Les entreprises sont plus nombreuses à s’engager dans des audits non plus de conformité

puisse parler véritablement d’action parce que sinon nous sommes bien les instruments de l’action mais il n’est pas légitime d’en être reconnu l’auteur. Ce qui voudra dire qu’on peut être sujet d’une action sans en être à proprement parler l’auteur. ( Ethique à Nicomaque III, 1 p.65). C’est le sens des exemples qu’il donne dans ce texte soit que notre action est commandée par un tyran et dans ce cas l’individu agit sous la contrainte ou ce qui revient au même sous l’effet d’une violence soit qu’elle est

c’est du fond. Voir dans les impasses des passerelles, et dans l’impuissance de la fluidité, est une vision du coaching qui renouvelle profondément la conception occidentale du leadership (Bernadette Babault). XIX Le grand livre du coaching Enjeu éthique : le nouveau leadership Le coaching parachève peut-être l’utilitarisme, en appliquant au sujet une vision gestionnaire du monde (Baptiste Rappin). Mais il renouvelle également, par mimétisme, l’approche du métier de dirigeant : la pratique du coaching