Le Contrôle Parlementaire

souvent, à des problèmes concrets posés à un pouvoir cherchant à assurer ses assises " (P.ARDANT) " La constitution s'imposait comme l'instrument privilégié de ces changement " (P.ARDANT) "Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n'entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale exprimée par ses organes constitutionnels". (Jules Grevy) (on parle de Constitution Grevy) " Si je ne suis pas responsable comme vous devant le Parlement, j'ai une responsabilité envers

règles (=normes) , élaborées par un groupe d'hommes qui puissent être contrôlés par d'autres institutions ou hommes. Elle conduit à la mise en place de mécanismes d'élection ► apparaissent des chambres/parlements/conseils qui vont être à la source de la règle de droit. Le parlement anglais ► autorité qui va contrôler l'acte de la monarchie ► va lui-même être contrôlé par des chambres. Ces règles élaborées par ≠ institutions : contrôlés par des tribunaux qui s'assurent que la règle élaborée puisse être

si cette révision n’a pas ralenti l’ardeur normative du gouvernement, elle a redonné au Parlement et, notamment à la majorité parlementaire, le gout du débat. Le temps des « godillots » semble être révolu. Quant à l’opposition, qui doit accepter qu’elle n’est pas la majorité, elle retrouve de nouvelles opportunités d’intervention, notamment en ce qui concerne le contrôle de l’action gouvernementale. Prenant acte de la prééminence présidentielle, la révision de 2008 fait émerger au Parlement un contrepouvoir

conceptions du rôle du chef de gouvernement de deux pays différents. Certes, ces deux pays évoluent également en régime parlementaire mais le fonctionnement interne des institutions reste propre à chaque système. Tandis que le système est bipartiste en Angleterre, il est multipartiste en France. Le fonctionnement du système dépendra aussi de ses cadres. Un régime parlementaire possède peu de chances de s’établir de la même manière dans une monarchie et dans une République. Ces deux institutions

réalité monocratique du Premier Empire Section 3 : Les réactions monarchiques (1814-1848) §1. Les monarchies censitaires A. Les chartes constitutionnelles B. La prééminence des classes possédantes §2. L’apprentissage du régime parlementaire A. Un contexte favorable B. Les mécanismes juridiques du parlementarisme Section 4 : La tentation républicaine (1848-1851) §1. La mise en place d’une nouvelle constitution A. Le contexte de l’avènement de la IIe République

rationalisation du parlementarisme concernant la fixation de l’ordre du jour des assemblées parlementaires, les pouvoirs d’amendements et le nombre de commissions permanentes. Le parlementarisme rationalisé, est clairement présenté par Michel DEBRE dans son discours prononcé devant le Conseil d’État (C.E.) le 27 août 1958. Il est encore à l’origine du non-cumul de portefeuille ministériel et de mandats parlementaires. Il n’a pas pu cependant imposer toutes ses vues aux ministres d’État. §3 : Les ministres

rationalisation du parlementarisme concernant la fixation de l’ordre du jour des assemblées parlementaires, les pouvoirs d’amendements et le nombre de commissions permanentes. Le parlementarisme rationalisé, est clairement présenté par Michel DEBRE dans son discours prononcé devant le Conseil d’État (C.E.) le 27 août 1958. Il est encore à l’origine du non-cumul de portefeuille ministériel et de mandats parlementaires. Il n’a pas pu cependant imposer toutes ses vues aux ministres d’État. §3 : Les ministres

rationalisation du parlementarisme concernant la fixation de l’ordre du jour des assemblées parlementaires, les pouvoirs d’amendements et le nombre de commissions permanentes. Le parlementarisme rationalisé, est clairement présenté par Michel DEBRE dans son discours prononcé devant le Conseil d’État (C.E.) le 27 août 1958. Il est encore à l’origine du non-cumul de portefeuille ministériel et de mandats parlementaires. Il n’a pas pu cependant imposer toutes ses vues aux ministres d’État. §3 : Les ministres

Pompidou écrivait « notre système, précisément parce qu'il est bâtard, est peut-être plus souple qu'un système logique ». Il soulignait par cette phrase lecaractère bivalent du régime de la Ve République qui se situe pour certains entre le régime parlementaire, caractérisé par la collaboration et la dépendance réciproque des pouvoirs exécutif et législatif, et le régime présidentiel, caractérisé par la séparation des pouvoirs législatif et exécutif sans possibilité d'action décisive de l'un sur l'autre

britannique, il faudra attendre le XVIII°s, il faudra au législatif la possibilité de renverser l’exécutif. En 1782, les parlementaires obtiennent la démission collective du gouvernement britannique dirigé par Lord North. Et pourtant, nous pouvons nous interroger sur ce parlementarisme, qui n’est plus exactement similaire à ce que l’on pourrait attendre d’un régime parlementaire, c'est-à-dire un régime politique dans lequel la prépondérance appartient au pouvoir législatif, régime dans lequel la séparation