Le Courant Monétariste

néo-classique Les politiques économiques ne servent à rien ou sont nuisibles Générations de politique budgétaire : Année 30 (Optique néo-classique) Optique keynésienne Année 70 Année 80 Assainissement des dépenses publiques (Optique néo-keynésienne & monétariste) Qualité de la dépense publique Financement des services publics régaliens Régulation de l’activité économique Ecole keynésienne Créer des anticipations positives des agents économiques. Pour éviter les situations : -D’équilibre sous optimal

Tableau récapitulatif des oppositions III. L’ACTUALITE DE KEYNES : UNE ANALYSE TOUJOURS PERTINENTE DU CHOMAGE CONTEMPORAIN ? A. A. ? L’austérité salariale est-elle souhaitable pour assurer le retour au plein-emploi 1. Oui : selon les monétaristes et les théoriciens de l’offre 2. Non : parce qu’elle ne motive pas les salariés dans la théorie du salaire d'efficience B. Les obstacles à la baisse des salaires 1. Le salaire ne varie pas avec la conjoncture du fait d’un contrat implicite entre

restrictive versus politique monétaire inflationniste Le courant de pensée économiste monétariste, initié par l’américain Milton Friedman, considère que l’objectif principal de la politique monétaire doit être la lutte contre la croissance de la masse monétaire car celle-ci conduit à des tendances inflationnistes. On parle donc de politique monétaire restrictive quand on veut limiter l’inflation. Il est souhaitable selon les monétaristes que la croissance de la masse monétaire soit inférieure ou

comportement agrégé des agents économiques. La neutralité de la monnaie Selon les monétaristes, la vitesse de circulation de la monnaie est constante. De même pour le niveau de production qui est supposé constante du fait de la situation de plein emploi des facteurs de production dans l’économie. Selon ces deux hypothèses toute augmentation de la monnaie entraine une augmentation des prix, cela amène les monétariste à penser que l’inflation n’est pas qu’un phénomène purement monétaire s’il y a de

keynésiens sont partisans de politiques discrétionnaires. Illusion monétaire : Elle représente l'illusion dont sont victimes les agents économiques qui prennent leurs décisions en fonction des variables nominales (exprimées en quantités de monnaie courante) et non en fonctions des variables réelle (mesurées à prix constant ou en pouvoir d’achat) : un individu est victime de l’illusion monétaire lorsque son revenu nominal a augmenté alors que les prix ont augmenté dans la même proportion. Taux de

marshalliennes. Toutefois, sur ce qui va devenir le cœur de la théorie keynésienne, à savoir la théorie monétaire, l’influence marshallienne, forte au départ, finira par être rejetée. Mais, en attendant, nous aurons, si l’on peut dire, un Keynes monétariste. I. KEYNES STATISTICIEN « Keynes statisticien » peut être entendu en deux sens : Keynes versé dans la statistique mathématique ou, si l’on veut, les probabilités ; et Keynes lancé dans les applications de la statistique. Bien sûr, les deux

monnaie n’a aujourd’hui d’autre valeur que celle de ses fonctions La monnaie est-elle un bien comme un autre ? Nous allons distinguer trois approches théoriques de la demande de la monnaie L’approche classique L’approche keynésienne L’approche monétariste I- L’approche classique Pour les classiques, la monnaie est essentiellement transactionnelle Elle n’est pas demandée pour elle-même, mais pour réaliser des échanges La monnaie est un voile qui ne modifie pas l’échange « L’argent n’est que la

d’instrument au sein de l’économie pour les néoclassiques. I) Une monnaie active pour les keynésiens Keynes va mettre en avant une économie où la monnaie à son influence sur l’activité économique d’un pays contrairement aux néoclassiques et aux monétaristes. 1) Une monnaie non neutre due au taux d’intérêt… Keynes dans sa « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » (1936) va tenter de démontrer qu’il y a bien interdépendance entre sphère réelle et monétaire et donc

commerce. PARTIE 1 : Les grands courants de la pensée économique CHAPITRE 1 : Les écoles du courant libéral classique On peut dire que la production, consommation, chômage, inégalités de revenus sont des phénomènes économiques. Le chômage apparaît dans les années 30. Rappel : courant libéral interventionaliste Courant marxiste : L’Etat doit tout gérer L’économie est attiser : L’état décide de tout Dans ces grands courants de pensées plusieurs écoles.

1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif de précaution 2.3. La demande de monnaie pour motif de spéculation 3. La demande de monnaie chez les monétaristes 4. La Théorie quantitative de la monnaie (TQM) 5. La demande de monnaie chez las monétaristes : Reformulation de la TQM. Titre 3. La création monétaire et l’offre de monnaie 1. Offre et demande de la monnaie 1.1. Calcul de l’offre de la monnaie 1.2. La demande de la monnaie 1.3.