Le Courant Monétariste

dans le système du billet de banque, on parle alors de monnaie fiduciaire. Les banques décident alors d’émettre des billets à découvert (les billets émis par les banques dépassés le montant des dépôts). Elles réalisent donc des opérations de crédits courant un risque d’illiquidité. Deux théories s’opposent dès le XIX eme quant au rôle de la monnaie dans l’économie : - l’école de la circulation : la banque est habilité à émettre des billets uniquement si elle dispose en amont d’un niveau d’encaisse

e  VRAI. Bodin explique la grande inflation européenne du 16  siècle par l’afflux de métaux précieux en  provenance du Nouveau Monde. La théorie quantitative de la monnaie, développée notamment par Fisher  en 1907, et reprise ensuite par le courant monétariste, postule que la valeur d’une monnaie, comme pour  tout bien, est inversement proportionnelle à sa quantité. Une augmentation de la masse de monnaie  provoque la hausse du niveau général des prix, et donc la baisse de son pouvoir d’achat, de son prix relatif 

du Cameroun BCEAO Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest BEAC Banque des Etats de l'Afrique Centrale CCCE Caisse Centrale de Coopération Economique CCFOM Caisse Centrale de la France d'Outre-Mer CCP Comptes Courants Postaux CEEAC Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale CEMAC Communauté Economique et Monétaire des Etats de l'Afrique Centrale CER Communautés Economiques Régionales CFD Caisse Française de Développement CMFN

et de leurs adversaires à savoir les néokeynésiens, les monétaristes ainsi que les non orthodoxes. Ainsi on présentera le contenu de l’ouvrage suivant un plan, qui comportera en premier lieu une introduction résumant les théories de l’équilibre macroéconomique, et ensuite les différents économistes selon le courant de pensée : Néoclassiques | Néokeynésiens « l’ancienne génération » | Néokeynésiens « la nouvelle génération » | Monétariste | Non orthodoxes | ROBERT E. LUCAS JR | JAMES TOBIN |

message ». Chapitre 3 : Dans ce chapitre, Fourçans nous apprend l'importance des anciens dans l'économie. En effet ce sont eux qui ont créer les concepts et méthodes de l'analyse économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de

L’ajustement passe davantage par les marchés: flexibilité des changes, entrées de capitaux Autonomie et instabilité des capitaux Echange et circulation des monnaies nationales Ajustement des balances de paiements Contraintes d’équilibre de la balance courante Politique d’ajustement par le change et le contrôle de la demande interne Faiblesse et stabilité des capitaux 4 Les troubles monétaires en europe 5 Les SME et le chemin vers la création de la monnaie unique Aucune perspective d’UEM

France a pendant longtemps usé de la politique budgétaire pour relancer l’économie. Mais le manque d’efficacité a conduit les français à se tourner vers la politique monétaire, qui désormais est transférée à la Banque centrale européenne ; les monétaristes ont en effet convaincu de l’effet essentiellement inflationniste de la politique de relance. L’après choc pétrolier entraine la mise en œuvre de mesure de relance conjoncturelle (contra-cyclique) ; mais la conjugaison de l’inflation et du chômage

en 2008 qu’on peut considérer l’évolution de ce phénomène à l’aune de deux courants idéologiques. Le premier se base sur les Principes de l’économie politique de Ricardo, et sur leurs répercussions sur la politique de change de l’Angleterre du XIXème siècle. Il envisage ensuite l’histoire de la mondialisation suivant les périodes de succès du libre-échange et les déboires engendrés par le protectionnisme. Le second courant exploite, à côté de la vision ricardienne, d’autres théories telles que celle

LA REVOLUTION MARGINALISTE: LES NEO-CLASSIQUES Les trois auteurs fondateurs du courant néo-classique sont le britannique Stanley Jevons (1835-1882), le français Léon Walras (1834-1910) et l'autrichien Carl Manger (1840-1921). L'analyse néo-classique marque une rupture avec les Classiques car elle ne cherche pas à élucider les problèmes d'accumulation du capital sur le long terme ou de croissance économique. L'objet essentiel des études devient l'affectation optimale des ressources. Comment un consommateur

("les menottes dorées" dont parlait Keynes), permettra la mise en oeuvre de politiques beaucoup plus expansives. Jusqu'aux dérèglements inflationnistes des années 1970 (II). Une troisième période s'ouvre avec les années 1980, dominée par les thèses monétaristes qui vont inspirer des politiques à nouveau restrictives. Avec un certain relâchement historique néanmoins à compter des années 1990, jusqu'à la crise actuelle, laquelle va amener des redéfinitions majeures quant au rôle des Banques centrales (III)