Le Cratyl Platon

Apologie de Socrate Platon Traduction, notices et notes par Émile Chambry PhiloSophie © septembre 2009 Table des matières Notice sur la vie de Platon ........................................................ 3 Notice sur l’Apologie de Socrate .............................................. 8 Apologie de Socrate ................................................................. 17 Première partie .......................................................................... 18 Deuxième

Apologie de Socrate Platon Traduction, notices et notes par Émile Chambry PhiloSophie © septembre 2009 Table des matières Notice sur la vie de Platon ........................................................ 3 Notice sur l’Apologie de Socrate .............................................. 8 Apologie de Socrate ................................................................. 17 Première partie .......................................................................... 18 Deuxième partie ...

qui est le corps. Il s'agit de nous rendre compte si Aristide Quintilien suit les doctrines grecques antiques : nous le croirons en prin- cipe, parce qu'il se donne lui-même comme un disciple fidèle des anciens maîtres; mais des expressions de Platon telle que « l'âme allant vers la genèse » ou a l'âme qui se repaît de la terre » amèneront la persuasion. Porphyre ou Synésius, ou d'autres, nous renseignent bien sur la traversée du fleuve ou du bras de mer que doit accomplir le futur roi

hémistiches du v. 4. δ’imparfait « soulait » renvoie au passé une vérité générale dont on attend le 3 « π τα ῥ ῖ » (tout coule), ou « π τα χω ῖ αὶ ο » (tout passe et rien ne demeure, Platon, Cratyle, 402a) 6 renversement. Or on trouve déjà sous la plus plume d’Arioste dans l’Orlando furioso (1531), la même image.4 De plus les deux périphrases – l’espoir du berger (= les agneaux à naître, son troupeau) ; l’espoir du laboureur (= les

qu'avant d'être heureux" (Rousseau, La Nouvelle Héloïse) "L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin." (Bachelard, La psychanalyse du feu)   L'existence et le temps (et la mort) * "Le corps est le tombeau de l'âme" (Platon, Cratyle) * "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible des roseaux, mais c'est un roseau pensant." (Pascal, Pensées) "La vie est un songe un peu moins inconstant" (Pascal, Pensées) * "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." (Hegel, Encyclopédie)

se demander alors qu’il est possible de penser sans concepts qu’elles sont les voix pour lequel une opération est possible. Ne fait-il pas renvoyer cela à l’art. I. De la philosophie au philosopher… 1/philosopher un désir de philosopher (PLATON) Lorsqu’on parle d’un mouvement on peut être tenté de chercher son origine c’est-à-dire qu’elle est l’origine du mouvement. Nous n’y avons absolument pas accès à cette origine. On admet en fait que tout origine est conventionnelle : c’est-à-dire

différence à partir de l’épopée latine. Les grecs consideraient leur langue comme réele possible, fruit de la nature, pas un phénomène social. Chez Platon, il y a un questionnement sur la langue dans le texte « le cratyle » (3 personnages qui ont chacun une perception(理解) différente du langage --- Cratyle, Hermogene, Socrate) Position de Cratyle : le cratylisme = chaque son représente directement une idée ; les combinaisons(組合) conceptuelles(概念的) d’idees qui sont des mots. -> Cralyle a tort(錯的)

‘’Dogmes et rituel de haute magie’’ (1861) que « la parole crée sa forme », de sorte qu'en donnant un nom à une chose on la transforme réellement « en la substance» signifiée par ce nom. Mais, plus simplement, Rimbaud avait aussi pu lire dans le ‘’Cratyle’’ de Platon la discussion relative à la question de savoir s'il y a des noms «naturels» aux choses. Dans «Cette langue sera de l’âme pour l’âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs», il est facile de reconnaître une application de la théorie des correspondances

l’art chez Aristote est le produit d’une liberté et de la raison humaine. Et ne peux se réaliser en imitant la nature.Toutefois, cette conception est avant Aristote réfutée. Comme dans la pensée platonicienne qui semblerait moins importante. Pour Platon, il y a une censure de la théorie de l’art basée sur la notion de la Mimèsis qui est à la source d’un modèle à reproduire. C’est la raison pour laquelle selon lui, contre les artistes de la cité ; les poètes, l’on doit s’en

consiste alors à établir des liens justifiant le rapprochement entre l'objet d'un côté et le mot de l'autre - ce que Ponge appelle « fonder (le mot) en réalité » : on a pu ainsi qualifier son travail de cratylisme[réf. souhaitée], par référence au Cratyle de Platon où Socrate tente d'établir des étymologies ainsi « fondées en réalité ». Il en découle que chaque objet commande sa propre rhétorique, et jusqu'à la forme même du "poème" destiné à rendre compte de ses qualités. Ponge résume cette recherche