Le Criminel Dans Les Théories Actuelles

(ou psychologie criminelle) est une branche du secteur de la criminologie. Il est donc nécessaire en premier lieu de définir ce qu’on entend par « criminologie » pour ensuite définir l’importance que peut avoir la psychologie dans ce domaine d’étude. La criminologie est un domaine assez difficile à définir. En effet, de nombreux auteurs s’y sont attelés sans pour autant pouvoir faire l’unanimité. On peut dire assez aisément que la criminologie est la science du phénomène criminel mais ceci n’apporte

TPE: LE REGARD DE MICHEL FOUCAULT I. SOIGNER OU PUNIR ? a) Le « crime-folie » L'histoire rappelle que depuis le Moyen-Age la théorie de la responsabilité dominait. L'individu était donc jugé sur ses actes et l'état mental n'était donc pas pris en considération. Dans un article de 1981, intitulé «L'évolution de la notion d'individu dangereux dans la psychiatrie légale», Michel Foucault souligne qu'à la fin du 18ème siècle le droit pénal posait la

COMMENTAIRE D'ARRÊT: COUR DE CASSATION, CHAMBRE CRIMINELLE, 19/02/1959, REMINIAC. « Comment serait-ils exempts de péché devant la divine Providence ceux qui se souillent d'un meurtre pour conserver des biens que nous devons mépriser? ». Saint Augustin exprimait l'idée du mépris de l'avoir et de la primauté de l'être, son questionnement est aussi ancien que le débat relatif à la légitime défense des biens. Alors que le principe même de la légitime défense des personnes semble définitivement

dans cette logique, lorsque l’homme n’a pas une conscience lucide ou une volonté qui est libre, sa liberté morale disparait. La personne qui est contrainte doit bénéficier d’une irresponsabilité pénale. B) La concrétisation du concept Les théories ont d’abord été affirmées dans le cadre de l’église. Le code pénal de 1810 ne la consacre pas expressément mais elle découle de la rédaction de l’article 64 ancien qui disposait « il n’y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état de démence

spectaculaire, car il a pour objet la criminalité spectaculaire, qui fait l'objet de condamnation infligé à l'issu de procès spectaculaires, avec des peines qui fascinent le commun des mortels. I/ Sémantique 3 dénominations en concurrences : Droit pénal, criminel et repressif.  Droit répressif : Le terme répressif on le retrouve dans les J° répressives (TC, TP..), c'est un sens trop étroit. C'est une appellation qui se réfère à la fonction la plus ancienne du droit pénal qui est de punir sauf que c'est

Il y avait des infractions de mœurs (homosexualité, sodomie) : délinquance mais avec l’évolution sociale et évolution des mœurs. La délinquance est une notion relative qui évolue en fonction des époques. Comment connaitre l’ampleur du phénomène criminel ? Statistiques se situent à différents niveaux : statistiques policières et statistiques judiciaires qui restent insuffisantes. Statistiques policières = ensemble des plaintes déposées auprès d’un commissariat : statistique des plaintes, statistique

de la tentative et de la participation criminelle. C’est lui également qui détermine les peines applicables, les causes d’atténuation ou d’aggravation de la peine. Le droit pénal : étudie l’application des principes généraux au cas de chacune des diverses infractions. L’on peut dire que c’est le . Historiquement, il a précédé le droit pénal général. Toute société commence par prévoir les interdits. Ce n’est que plus tard, que sont élaborées des théories générales sur l’infraction, la responsabilité

délinquance. Elles sont cependant réservés à des situations exceptionnelles tant il est vrai que ces théories font courir un risque évident pour les libertés individuelles puisqu’elles consistent à appliquer le droit pénal à des individus qui n’ont pas encore matériellement commis d’infraction. Ce n’est pas par hasard que dans les dictatures, on trouve tjrs des auteurs qui développent ces théories positivistes de l’état dangereux pré délictuel et qui suggèrent des sanctions pénales (le goulag est

adolescente et avec une chronicité certaine chez les jeunes délinquants. C'est un problème urgent parce que les adolescents délinquants d'aujourd'hui infligent non seulement un tort inestimable à leurs victimes, mais, en plus, ils seront les adultes criminels de demain et de futurs parents. C'est également un problème difficile parce que de multiples facteurs sociaux et personnels interagissent pour la soutenir. Définissons d'abord certains termes avant de décrire le phénomène de la délinquance et la

l'homme est essentiellement lié à son conditionnement physique et nerveux et au milieu dans lequel il vit. Pour ces derniers, la criminalité est avant tout une « maladie sociale » et, davantage que la punition, la protection de la société contre le criminel serait plus légitimement et plus efficacement assurée par des mesures qui, dépouillées de toute coloration morale, se proposeraient surtout de guérir le délinquant de ses tendances antisociales ou, si cet espoir s'avérait vain, de l'éliminer du milieu