Le Decor Spatio Temporel

métonymique par le quai Saint-Bernard => Cadre spatio-temporel fermement posé - Symboliquement, « septembre » annonce le déclin de l’été, mais l’heure matinale, comme plus tard la jeunesse du héros (« dix-huit ans ») suggèrent l’éveil à la vie et annoncent un roman d’apprentissage. - Fumée que crache le bateau ancre le récit dans le monde moderne des bateaux à vapeur => crée aussi un premier brouillage de la vision. => Cette phrase initiale plante donc le décor du livre, l’élan vers un ailleurs « Des

absorber par sa lecture. I. Une parodie de scène d’exposition (différentes apparences) A) Une scène d’exposition d'apparence traditionnelle/classique Au théâtre, la scène d’exposition permet de présenter : ♦ Les personnages principaux; ♦ Le cadre spatio-temporel; ♦ L’intrigue. Cette première scène de La cantatrice chauve est en apparence une scène d’exposition traditionnelle puisque le spectateur apprend plusieurs de ces éléments. Au fil des répliques, on apprend comme indications : ♦  Le lieu : Environs

la tradition, par l'auteur. Tout d'abord, les scènes d'exposition ont été créées pour informer le spectateur ou lecteur sur le cadre spatio-temporel, l'intrigue. Beckett de respecte pas ces "lois" du theatre. Dans Fin de partie sa scène d'exposition est commencée par une didascalie, qui décrit essentiellement les déplacements et attitudes des personnages. Le décor est minimal, et il est également difficile de dater ou de situer le lieu de l'action. Ce début est appelé "in médias res", car le spectateur

suivant les traditions théâtrales). Une pièce n'est pas d'abord faite pour être lue, mais pour être jouée. Il faut aller voir jouer une pièce pour apprécier pleinement ses qualités. Seule la représentation permet de "voir" les choix de mise en scène (décor, costumes, mise en oeuvre des didascalies), d'"entendre" les émotions véhiculées par le texte. En revanche une lecture attentive avant une représentation est recommandée · Pour bien se repérer dans des intrigues complexes, · Pour prendre connaissance

palais" dressent le décor d’une cité merveilleuse. Les indications de lieu dépassent la description réaliste. L’action semble se dérouler simultanément à la ville et à la campagne; "le front des palais" suggère la ville, puis c’est "la route du bois", "le sentier", "le wasserfall" "l’allée", "la plaine", "la grand’ville", et de nouveau "la route, prés d’un bois de lauriers", les deux mondes se voient dans la confusion et créent un parallèlisme entre les limites spatio-temporelles. 3. Transformation

aux vers 3 à 5 : « vivre ensemble » (v.3), « aimer à loisir » (v.4) et « aimer et mourir » (v.5). La femme inspiratrice et accompagnatrice est représentée, ici, de manière idéalisée, totalement opposée au réaliste car il n’y a pas d’ancrage spatio-temporel. La femme passe de femme-enfant à protéger montrant la dimension protectrice du poète avec « mon enfant » (v.1), puis d’âme-sœur figurée comme le double et l’égale du poète avec « ma sœur » (v.1) qui est une source de « douceur » (v.2). Ici,

du plan suivant. De façon conventionnelle, on utilise ces procédés comme s’ils étaient des signes ponctuatifs : les fondus servent à indiquer le début ou la fin d’une séquence, le fondu enchaîné à suggérer une continuité malgré une ellipse spatio-temporelle. Mais à la différence de la langue, le cinéma ne connaît pas de ponctuation prédéterminée, et les procédés peuvent être destinés à un tout autre usage signifiant. Marie-Thérèse Journot, Le vocabulaire du cinéma [3e édition], Paris, Armand

maison centrale de Clairvaux. [….] Arrivé là, on le mit dans un cachot pour la nuit, et dans un atelier pour le jour ». Ainsi, le récit commence in media res ( du latin, au milieu des choses) ce qui lui permet d'installer précisément le cadre spatio-temporel. L'histoire se passe sept ou huit ans avant l'écriture du récit, soit en en 1926 ou 1927 à Paris. En effet, pour ce récit combattant contre la peine de mort, Victor Hugo a choisi de s'appuyer sur une vraie histoire, d'où la précision de descriptions

étudierons dans l'incipit de ce roman moderne la manière subjective et originale dont l'auteur nous présente la situation et un des personnages principaux. Dans cet incipit « in medias res » c.-à-d. qui nous plonge en pleine action, les indices spatio-temporels et les éléments de l'action nous sont donné épars, au fur et à mesure que le héros en prend conscience. Suivant la technique cinématographique (on parle alors de style caméra), l'auteur met d'emblée en scène un personnage et ne nous présente

didascalies qui définissent vaguement le cadre spatio-temporel où se déroule ce premier acte, grâce aux deux premières phrases nominales on sait que ça se passe sur une route de campagne, un soir mais sans plus d'informations précises, on sait cependant que la pièce se déroule après 1900 car Vladimir dit « Il fallait y penser il y a une éternité, vers 1900 », ils vivent au présent ce qui indique le caractère répétitif de leur inaction. Nous savons que le décor est constitué d'une pierre où est d'ailleurs