Le Decor Spatio Temporel

plusieurs raisons : il a écrit pour les « grands » (rois et courtisans) et pour le peuple : les personnages appartiennent à ce qu'on appelle aujourd'hui des milieux sociaux très différents. De plus, Shakespeare varie les genres, enfreint les unités spatio-temporelles, et aucun aspect de la nature humaine ne lui échappe. 1) Contexte historique Le romantisme naît dans un moment charnière de l'histoire de France, celui qui sépare l'Empire napoléonien de la Seconde République. Les régimes se succèdent

précise la localisation par les mots Madrid, palais du Roi, salon de Danaé. Dans le texte, le nom alguazils au vers 58 placent l'action à la fin du XVIIème siècle. I Transition : Cependant, si Victor Hugo se penche brièvement sur l’implantation du décor au travers des dialogues et des didascalies, il ne recherche pas moins à définir son intrigue et ses personnages. AXE 2 : Des personnages qui amènent l’intrigue : En effet Don Salluste se confie à Gudiel en lui racontant à la fois ses ressentis

les deux hommes sont chauves, leur seule différence est dans leurs tailles, Mme Smith est grande tandis que Mme Martin est petite, à l’inverse Mr Smith est petit tandis que Mr Martin est grand. Les jeux de sons sont aussi surprenant, tout comme le décor qui se démonte et tombe sur la scène laissant apparaitre le pompier et la bonne enlacés l’un contre l’autre. Alors les dialogues s’arrêtent et, à la plus grande surprise du public, les acteurs proposent différentes chutes à la pièce, faisant ensuite

taxis et c'est aussi l'ami de Gabriel . Son nom a été choisie pour faire le jeu de mot « charlatant » . Il est romantique , il se fait toujours avoir par les femmes . Il adore lire «  le courrier des lecteurs » dans le journal . B . Le cadre spatio-temporel : Le début se passe à la gare d'Austerlitz qui est un lieu insalubre avec peu de place . On suit le le cheminement des personnages grâce au nom des lieux rencontrés durant la route . ( Les Invalides … ) Le cadre est réaliste ( on

classique, le théâtre de Beaumarchais donne de nombreuses indications scéniques (didascalies). Eléments du décor, actions, position des personnages, costumes, rien n’est laissé au hasard, de telle sorte que le dramaturge a pu être considéré comme le père de la mise en scène écrite. Toutes ces précisions ne sont pas qu’esthétiques, elles ont aussi une fonction symbolique. A. Le décor : une chambre conjugale Les didascalies du 1er acte situent l’action dans  une chambre à demi démeublée

(c) les bêtes l17 l’admiraient fuyaient. LF soulignent leurs réactions : admiration ou fuite. Opposition. Les bêtes st partagées. « les passants » 9 la personnification des animaux est claire. terme utilisé pour des hommes.) B) le cadre spatio-temporel flou donne une valeur atemporelle au récit. « un jour » -récit situé dans un passé indéterminé, non historique. Seule indication de temps présente dans tout le poème Cette indication de temps ainsi que les temps du récit, le passé simple et

de votre étude étudierons d’abord la mise en place du décor et des personnages puis nous verrons que la gare est placée au centre d’un « tableau impressionniste ». Développement a. Le cadre spatio-temporel et le personnage  place de Roubaud dans le décor : le texte s’organise selon un mouvement qui va de l’intérieur, la chambre (§1) vers l’extérieur, le quartier de l’Europe (§2 et 3) puis la gare (§4). Les personnages et le décor intérieur : L’incipit est in media res, c’est-à-dire

peut avoir d’autres visées. La fin d’une histoire a donc plusieurs buts, l’excipit peut quelques fois amener à une comparaison avec l’incipit. En effet on retrouve parfois à la fin du roman des éléments, des personnages, ou même un cadre spatio-temporel identiques au début. L’auteur cherche donc à amener le lecteur à réfléchir aux changements qui ont eu lieu autour de l’histoire. C’est une fin cyclique, Germinal de Zola en est l’exemple même. Dans l’excipit, nous retrouvons Etienne au début du

Verlaine, en refusant ici l’idéalisation du souvenir amoureux, opère une vive rupture avec ses précédents poèmes, en reniant l’ensemble de son recueil sur une note ironique et funèbre. Le poète fait plonger le lecteur dans un cadre spatio-temporel loin d’être idyllique et propice à l’échange amoureux, ce qui renforce le caractère sombre et désespéré que Verlaine confère à l’amour. Dès le premier vers du poème, on apprend que la scène a lieu dans un « parc ». Le parc en lui-même

Plan de la séance : 1. Qu’est-ce qu’une nouvelle ? (nouvelle, conte et roman) 2. Vers la notion de genre Lecture des six incipits (p. 7, p. 67, p. 99, p. 161, p. 239, p. 267) Analyse du vocabulaire (champs lexicaux dominants) et des connecteurs spatio-temporels pour déterminer le ton et le genre de chacun des récits. 3. Définitions : la nouvelle policière, le récit d’enquête, le merveilleux, le fantastique. SEANCE 2 – UN RECIT ETONNANT LECTURE CURSIVE, SYNTHESE Support : Le Scarabée d’or, p. 99 à 160