Le Dedans Du Désespoir

du recueil Alcools intitulé "A la santé". Ces poèmes ont été écrits à des dates différentes et traitent tous les trois de l'univers carcéral. Nous nous intéresserons d'abord à l'écriture proprement dite, puis à l'évocation des deux mondes opposés; dedans et dehors, avant de nous poser la question suivante: La poésie permet-elle de dépasser une épreuve ? Enfin nous conclurons en apportant un avis personnel. Les poèmes A,B et C utilisent le pronom « je ». En effet on constate que dans ces trois textes

Cage d’oiseau, l’auteur expose le mal de vivre par la perte d’espoir. Il s’accroche à l’idée que son destin était la mort et que cela arrivait à grand bas « Il ne pourra s’en aller/ Qu’après avoir tout mangé/ Mon cœur/ La source du sang/ Avec la vie dedans […] » (l.19-23). Dans ce passage, Saint-Denys Garneau exprime qu’il n’a aucun contrôle sur sa vie et qu’il accepte de voir déjà la fin de sa vie. Quant qu’à Grandbois, dans Ô tourments, il explique également la même perception du mal de vivre par

tournée en fin de billet). On a apprécié au fil des années (déjà) le travail de Bobee  sur des textes très contemporains (Fées , Res Persona, (Le Monde du 30 mars 2007),  Cannibales, Nos enfants nous font peur quand on les rencontre dans la rue, Dedans Dehors, David etc...) avec le groupe Rictus qu'il a créé en 1999. Une vision très forte de la mise en scène, jouant à la fois sur le théâtre, la vidéo, le "nouveau cirque", la danse, la musique...un mélange des genres du spectacle vivant maîtrisé

Commentaire linéaire : « Oh ! je fus comme fou… » de Victor Hugo, les Contemplations :Grand écrivain du 19ème siècle, chef de file du Romantisme, Victor Hugo s’est notamment illustré en poésie, comme le montre le recueil Les Contemplations de 1856. Considéré comme le chef d’œuvre lyrique de l’auteur, Les Contemplations sont un recueil de souvenirs, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil. « Oh ! je fus comme fou… » est un poème se situant dans le livre 4, Pauca Mae, qui est consacré

Euripide, c'est le chœur/ le chant. Chez Sénèque c'est la voix des acteurs. 2) La maison de Médée est un hors-scène et détermine le jeu. Ce n'est pas la représentation d'un lieu. Lieu clos dont l'issue n'est que l'orchestra. Chez Euripide Médée est dedans et invisible. Chez Sénèque Médée est dans le théologeion visible mais dans le lieu des dieux. Dans les deux cas, le jeu s'organise à partir de la maison de Médée. Euripide La séquence finale est très longue par rapport à Sénèque qui l'a raccourcie

belle imagination, d’un grand jugement, d’un tact fin, d’un goût très-sûr, sont les êtres les moins sensibles. Ils sont également propres à trop de choses ; ils sont trop occupés à regarder, à reconnaître et à imiter, pour être vivement affectés au dedans d’eux-mêmes. Je les vois sans cesse le portefeuille sur les genoux et le crayon à la main. Nous sentons, nous ; eux, ils observent, étudient et peignent. Le dirai-je ? Pourquoi non ? La sensibilité n’est guère la qualité d’un grand génie. Il aimera

chastement vermeillets, Et cette joue à l'Aurore pareille ; Ces mains, ce col, ce front, et cette oreille, Et de ce sein les boutons verdelets, Et de ces yeux les astres jumelés, Qui font trembler les âmes de merveille, Firent nicher Amour dedans mon sein, Qui gros de germe avait le ventre plein D'œufs non formés qu'en notre sang il couve. Comment vivrai-je autrement qu'en langueur, Quand une engeance immortelle je trouve D'Amours éclos et couvés en mon cœur ? 5 Titre : Ciel

l’introduction du recueil, sa préface. Dedans, il annonce déjà certains titres de parties du recueil comme le Mal ou le Spleen. Cette préface donne une vision pessimiste de l’homme qui nous éclaire sur le titre « Les Fleurs du Mal ». Déjà Baudelaire aborde son sujet principal : L’ennui. Spleen et idéal Spleen et idéal est la plus grosse des six parties du recueil, c’est une sorte de constat du monde tel que le voit Baudelaire. Le spleen est une sorte de désespoir, c’est de la tristesse, la mélancolie

relique » qui nous montre que la chevelure de la femme est un objet sacré qui cache en elle quelque chose de secret. De plus, nous pouvons remarquer que la chevelure semble prendre vie à la ligne 37 avec « comme si quelque chose de l’âme fût resté caché dedans » cela nous montre que ce texte est étrange. Enfin, nous pouvons dire que ce texte est étrange avec les questions que se pose le narrateur sur sa découverte aux lignes 19 à 24 avec « qu’était-ce que cela ? Quand ? Comment ? Pourquoi ces cheveux

„Quel malheur!“ elle répète les mots de sa bonne) -le mot „malheur“ signifie pour elle une mauvaise surprise, de la douleur intérieur, un choc -elle resent de la tristesse, du désespoire (l.5 „visages bouffis de larmes“, l.6 „gémissements de désespoir“) -ce mot la frappe (l.2), l’emprisonne (l.4 „des lanières qui s’enroulent autour de moi“, l.29 „Il m’enserre, il me tient“) -elle est impuissante b)le malheur -Nathalie pense que le malheur ce n’est pas elle-même, le malheur c’est qqch de l’extérieur