Le Deuxième Aveu De Phèdre

......................140 La rhétorique judiciaire dans la tragédie, du réquisitoire au plaidoyer.............148 CONCLUSION.................................................................................................................153 DEUXIÈME PARTIE – LE LANGAGE, VECTEUR DES PASSIONS TRAGIQUES...............................................................................................................155 INTRODUCTION.................................................................

affirme que « l’écrivain est en situation dans son époque » : tout ce qu’il écrit n’aurait pas de valeur s’il n’exprime pas son engagement. En outre, célébrer sa sensibilité et se vanter d’une lucidité supérieure à celle de ses prédécesseurs est un aveu de la responsabilité dont l’artiste se revêtit ; par conséquent, le don de manier le verbe ou la plume implique le bon usage de cette faculté. La tâche qui prétend la noblesse ne saurait « s’aveugler » à la défense des faibles et à la lutte l’injustice

armoiries d’or sur lesquelles frappait le soleil, qui les faisait resplendir » (p. 20), et proposer dans un deuxième temps une lecture cursive de quelques textes du manuel où se manifeste la lumineuse présence du divin, notamment les romans ayant trait à la légende du Graal, reproduits dans la section « Variations ». 2. Les trois portraits de Jean le Bon, Charles VII et François Ier Daté de la deuxième moitié du XIVe siècle, le portrait de Jean le Bon constitue le premier portrait connu au Nord des Alpes

PETITE FILLE Ce qu’il est beau, le jardinier ! DEUXIÈME PETITE FILLE Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE Le voilà, monsieur, votre d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER Curieuse façade !... Elle est d’aplomb ? palais 8 PREMIÈRE PETITE FILLE Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE Ou il va braire. Ou miauler. LE

................................................................4 ACTE PREMIER .......................................................................6 SCÈNE PREMIÈRE ......................................................................7 SCÈNE DEUXIÈME ................................................................... 17 SCÈNE TROISIÈME...................................................................24 SCÈNE QUATRIÈME.................................................................39 SCÈNE CINQUIÈME

.................................................................4 ACTE PREMIER .......................................................................6 SCÈNE PREMIÈRE ......................................................................7 SCÈNE DEUXIÈME ................................................................... 17 SCÈNE TROISIÈME...................................................................24 SCÈNE QUATRIÈME.................................................................39 SCÈNE CINQUIÈME

dénonce la cupidité des conseillers et brosse avec éloquence, le tableau d’une Espagne à son déclin (III,2). Dissimulée dans un cabinet secret, la reine a tout entendu. Pleine de gratitude, elle exprime sa reconnaissance au jeune homme et lâche cet aveu : « Reine pour tous, pour vous je ne suis qu’une femme » (III,3). Seul, Ruy Blas exulte. Galvanisé par l’amour de sa reine, il peut tout entreprendre ! (III,4). Félicité de courte durée ! Salluste réapparaît et rappelle à Ruy Blas son état de valet

place une esthétique réaliste du roman. Commentaire Le commentaire du passage s’attachera à mettre en valeur la dimension théâtrale de la scène où les élèves pourront réinvestir certains éléments de réponse aux questions 1, 3, 4, 7, 9. La deuxième partie sur la présence joyeuse du conteur pourra souligner la dimension parodique des premières lignes du récit, l’identité 10 | Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours Litterature.indb 10 06/09/11 11:52 du romancier comme

dénonce la cupidité des conseillers et brosse avec éloquence, le tableau d’une Espagne à son déclin (III,2). Dissimulée dans un cabinet secret, la reine a tout entendu. Pleine de gratitude, elle exprime sa reconnaissance au jeune homme et lâche cet aveu : « Reine pour tous, pour vous je ne suis qu’une femme » (III,3). Seul, Ruy Blas exulte. Galvanisé par l’amour de sa reine, il peut tout entreprendre ! (III,4). Félicité de courte durée ! Salluste réapparaît et rappelle à Ruy Blas son état de valet

place une esthétique réaliste du roman. Commentaire Le commentaire du passage s’attachera à mettre en valeur la dimension théâtrale de la scène où les élèves pourront réinvestir certains éléments de réponse aux questions 1, 3, 4, 7, 9. La deuxième partie sur la présence joyeuse du conteur pourra souligner la dimension parodique des premières lignes du récit, l’identité 10 | Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours Litterature.indb 10 06/09/11 11:52 du romancier comme