Le Diable boiteux

chevalier. Gascelin : âgé de 16 ans, pâle et timide, il sera malgré lui victime de la machination diabolique de sa petite sœur Rosamonde. Ruffin le sorcier : petit sorcier à la couleur de terre et revêtu d’une peau de mouton, Ruffin a vendu son âme au diable et met sa magie au service de Foulque. Il vit sur une petite colline. Ernaud le Fier : vaillant chevalier, vainqueur de plusieurs tournois, c’est son goût du combat et de la guerre qui le met sous la bannière de Foulque mais il se ralliera à Thibault

baroque Mme de Lafayette, la princesse de Cléves,roman historique sous Henri 2 : roman d'analyse... Le foisonnement des formes au 18° Ce siècle est un point de rencontre des tendances précédentes Télémaque (Fénelon) baroque et didactique Le diable boiteux et Gil Blas de Lesage = inspiration picaresque Période de bouillonnement créatif : innovation des techniques narratives, jeux avec les formes, récit à la 1° personne, recherche d'un équilibre entre illusion et distanciation ironique. A retenir

l’antipathie pour les êtres humains. Cela dit, l’homme ne lui a jamais témoigné de l’affection. Ainsi son don devient un handicap : son absence d’odeur inquiète la société. Les nourrices refusent de s’occuper de lui enfant, sous prétexte qu’il incarne le diable. Les enfants avec qui il grandit refusent de jouer avec lui, il est également rejeté par les hommes sans cœur. Ainsi sa mère le jette parmi les ordures à sa naissance en espérant sa mort, il est vendu, maltraité, abusé moralement. Il ne peut donc

qualité vertueuse, ils représentent des êtres moyens. L'anayse psychologie séduit Marivaux qui excelle à rapporter les considérations de ses personnages sur le monde qui les entoure, leurs hésitations, leurs faiblesses.-Le roman de moeurs : Le Diable Boiteux et Gil Blas de Lesage, hérité de la tradition du roman picaresque, il porte un regard désabusé sur la corruption de la société, la Religieuse de Diderot-Le roman épistolaire : par lettres, qui représente une grande production, avec Montesquieu

collectif » : fonds culturels communs de l’humanité transmit de génération en génération par la littérature orale (conte, légende, proverbe, dicton,…) Ex : Athéna chouette = sagesse, bouclier, glaive = force, courage. Œdipe berger, aveugle, boiteux (un pied dans le réel et un dans l’irréel) La littérature est les arts illustrent les grandes préoccupations de l’humanité : * A quoi aspire l’homme ? (l’amour, la richesse, le bonheur, l’immortalité) * Ce que l’homme admire (la beauté

FONTENELLE : Entretiens sur la pluralité des mondes Essor et apogée : MONTESQUIEU : Les lettres persanes ; De l’esprit des lois VOLTAIRE : Contes philosophiques , Traité sur la tolérance, Lettres philosophiques, Le mondain … LESAGE : Turcaret, Le diable boiteux MARIVAUX : l’île des esclaves , La colonie,La vie de Marianne DIDEROT : L’Encyclopédie, La religieuse, Lettre sur les aveugles , Supplément au voyage de Bougainville… ROUSSEAU : Discours sur l’origine…, Du contrat social, L’Emile, la nouvelle

PROSEMINAR COMMENTAIRES 2020 Cécilia Roumi Französisches Seminar Explication de texte n°1: Jacques le fatalisteINTRODUCTION[Accroche] Dans Jacques le fataliste et son maître , publié en 1796, Diderot propose une géniale anticipation du roman moderne, rompant avec la tradition qui avait prévalu jusqu’alors. [Caractérisation de l’extrait] Le caractère original de l’œuvre

Alain-René Lesage - les adaptations du drame espagnol Turcaret - son meilleur jeu, fustige le mal social représenté par le pouvoir de l’argent - il écrit pour le Théâtre de la Foire une centaine de farces, p.ex. Crispin rival de son maître Le Diable boiteux - roman, reflète la société française de cette période-là Histoire de Gil Blas de Santillane - roman moralisateur, une œuvre la plus célèbre - les éléments réalistes : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - journaliste, dramaturge, romancier

l’aumône (« C’est trop, me disait-il, c’est trop de la moitié, » acte I, scène 6). Figaro, ici, rejette malicieusement une largesse toxique. B) Un comparse à châtier— Pour toi, Bazile ! fripon mon cadet ! je veux t’apprendre à clocher devant les boiteux ; je veux… non, dissimulons avec eux pour les enferrer l’un par l’autre.Bazile est regardé comme un subalterne. Il a droit à un « tu » qui le rabaisse. Il est discrédité par l’expression « fripon mon cadet » qui a le sens de « loin de me valoir en

Corneille un centenier romain, le fait que Jésus guérissait les malades. Vous savez comment Dieu a oint du Saint–Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui. Actes 10:38 v Lorsque Jésus parlait des guérisons qu'il accomplissait, il les présentait comme les œuvres que son Père faisait par lui. Ne crois–tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles