Le Diable boiteux

parodié : les retrouvailles sont une inversion du conte : Cunégonde est devenue laide et acariâtre. L’Eldorado par contre, est un archétype du conte que Voltaire respecte et ne parodie pas. • Le roman picaresque (très à la mode en 1750 avec le diable boiteux de LESAGE par exemple, 1707) et le roman d’aventures sentimentales (le feuilleton) sont parodiés sans vergogne : enlèvements, duels, naufrages, accumulation invraisemblable de malheurs… Le lecteur se perd littéralement … c’est le but poursuivi

femme… une voix de sagesse très ancienne, issue du fond des âges, dont le murmure montait des entrailles de la terre ».[13] ----------------------- [1] D. BROWN, Da Vinci Code, Editions JC Lattès, Paris, 2004, p.58. Littéralement : Ô diable draconien ! Oh saint boiteux ! [2] D. BROWN, Da Vinci Code, Editions JC Lattès, Paris, 2004, p.90 [3] D. BROWN, Da Vinci Code, Editions JC Lattès, Paris, 2004, p.126 [4] D. BROWN, Da Vinci Code, Editions JC Lattès, Paris, 2004, p.126 [5] D. BROWN, Da Vinci Code

1er ). On est en pleine Renaissance. Le duc de Nemours, un éblouissant gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée. Un roman picaresque du XVIIIe siècle Quel Diable c'est que le Diable Boiteux. Où & et par quel hazard Don Cléofas Leandro Perez Zambullo fit connoissance avec lui. UNe Nuit du mois d`Octobre couvroit d'épaisses ténébres la célébre Ville de Madrid: déja le peuple retiré chez

de Socrate ».- Buffon : (1707-1788) : Français, naturaliste, mathématicien, biologiste, cosmologiste et écrivain français. Œuvre réalisée : « Réflexions sur la loi de l’attraction » -Cazotte : (1719-1792) : Ecrivain français. Œuvre réalisée : « le diable amoureux ».-Chardin : (1699-1779) : peintre reconnu pour ses natures mortes, ses peintures de genre et ses pastels. Œuvres réalisées : « Une femme occupée à cacheter une lettre », « Une femme tirant de l’eau à la fontaine » -Mme du Châtelet : (1706-1749)

colombe, console, mon fils, et ne flatte pas. Vous croyez que je vous crains, et je ne fais que vous plaindre. – Il faut, en vérité, messire, que vous ayez bonne provision de pitié ;j’aurais pensé que vous l’aviez épuisée tout entière sur ce pauvre diable, auquel vous montriez aujourd’hui votre croix pour lui cacher ma potence. – Cet infortuné, répondit le prêtre, était moins à plaindre que vous ; car il pleurait, et vous riez. Heureux qui reconnaît, au moment de l’expiation, combien le bras de

parodié : les retrouvailles sont une inversion du conte : Cunégonde est devenue laide et acariâtre. L’Eldorado par contre, est un archétype du conte que Voltaire respecte et ne parodie pas. • Le roman picaresque (très à la mode en 1750 avec le diable boiteux de LESAGE par exemple, 1707) et le roman d’aventures sentimentales (le feuilleton) sont parodiés sans vergogne : enlèvements, duels, naufrages, accumulation invraisemblable de malheurs… Le lecteur se perd littéralement … c’est le but poursuivi

situe, souvent à mon insu Quels sont les limites et points de référence utilisés spontanément ? Quels sont leurs effets ? En quoi me conduisent-ils « automatiquement » à ces effets ? 2. Remettre en question son propre cadre Méthode de l’avocat du diable Cadrer avec l’esprit ouvert Être prêt à prendre du recul par rapport à son cadre de référence 3. Utiliser plusieurs cadres Faire appel à différents points de vue. 4. Changer de cadre quand son propre cadre n’est pas approprié Exemples de Milton Erickson

connais aucune loi, ni divine ni humaine : il n’est point de bête si féroce qui ne sente quelque atteinte de pitié. personnageGlocesterc ? Je n’en sens aucune, preuve que je ne suis point une de ces bêtes. personnageAnnec ? Ô prodige ! entendre le diable dire la vérité ! personnageGlocesterc ? Il est encore plus prodigieux de voir un ange se mettre ainsi en colère. ? Souffrez, divine perfection entre les femmes, que je puisse me justifier en détail de ces crimes supposés. personnageAnnec ? Souffre

« Paquita » le rôle de Lucien d’Hervilly. Les critiques remarquent déjà sont jeu très expressif et ses exigences lors des répétitions. Il crée un ballet intitulé « Satanilla » (le diable amoureux) mais les artistes locaux sont faibles on compte vingt cinq chutes dans la représentations Les caricaturistes le surnomme le diable boiteux….. Mais là un soir Marius fait la connaissance à l’hôtel ou logent les artistes italiens invité au théâtre impérial de la jeune Pierina Legnani C’est une rencontre décisive

Anne : Scélérat, tu ne connais aucune loi, ni divine ni humaine : il n’est point debête si féroce qui ne sente quelque atteinte de pitié. Gl : Je n’en sens aucune, preuve que je ne suis point une de ces bêtes. Anne : Ô prodige ! entendre le diable dire la vérité ! Gl : Il est encore plus prodigieux de voir un ange se mettre ainsi en colère.―Souffrez, divine perfection entre les femmes, que je puisse me justifieren détail de ces crimes supposés. Anne : Souffre plutôt, monstre d’infection