Le Diable Danseur

chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu’un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé

il accueille les élus et de la main gauche abaissée, il désigne l’enfer aux réprouvés. 2- Les anges, selon St Mathieu, le Christ apparaitra au jugement dernier « accompagné de ts les anges » 3- La pesée des âmes, à gauche. Saint Michel a droit, le diable 4- La porte de l’enfer, un serpent, le Léviathan, on y rentre tête baissée 5- Le cortège des élis, en marche vers la droite du Christ, sous la conduite de la Vierge, vers le Jérusalem terrestre. Empereur Charlemagne, Didon abbé 6- Les scènes infernales

le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas; Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé

éteint, quelque rire étouffé. Cependant, sous la pluie des pensums, l'ordre peu à peu se rétablit dans la classe, et le professeur, parvenu à saisir le nom de Charles Bovary, se l'étant fait dicter, épeler et relire, commanda tout de suite au pauvre diable d'aller s'asseoir sur le banc de paresse, au pied de la chaire. Il se mit en mouvement, mais, avant de partir, hésita. – Que cherchez-vous ? demanda le professeur. – Ma cas…, fit timidement le nouveau, promenant autour de lui des regards inquiets

le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu’un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé

le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l‘oreiller du mal c‘est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C‘est le Diable qui tient les fils qui nous remuent! Aux objets répugnants nous trouvons des appas; Chaque jour vers l‘Enfer nous descendons d‘un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu‘un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé

le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé

brusquement, dans le sentier qu’envahissait la nuit, une grande forme passa. C’était la bête. Une secousse d’épouvante agita le chasseur ; quelque chose de froid, comme une goutte d’eau, lui glissa le long des reins, et il fit, ainsi qu’un moine hanté du diable, un grand signe de croix, éperdu à ce retour brusque de l’effrayant rôdeur. Mais ses yeux retombèrent sur le corps inerte couché devant lui, et soudain, passant brusquement de la crainte à la colère, il frémit d’une rage désordonnée. « Alors il piqua

de son père un mystérieux talisman appartenant au clan paternel. Sur l’île, Dick fait la connaissance de sa grand-mère, de ses oncles et de ses cousins. Au cours d’une promenade, Dick, ses 2 cousins et la petite Lizzie pénètrent dans la grotte au diable, où ils perdent le talisman. Dick décide d’aller le récupérer malgré la marée montante qui menace d’envahir la grotte. Il s’y retrouve bloqué pendant plusieurs heures en compagnie de son chien Secret, avant d’être enlevé par un homme qui veut le tuer

Elvire, par exemple, la femme qu’il a sortie d’un couvent pour l’épouser et qu’il n’aime plus… Bien sûr, il séduit « dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne ». Mais il est bien plus. Il est à la fois esthète, libertin, grand seigneur, mais aussi le diable en personne ; il est tout cela en même temps et c’est un défi fantastique pour un acteur que de prendre ces multiples visages. Le rôle est écrasant, certes, mais passionnant. Mais attention ! Pas de « one man show » : il ne s’agit pas de tirer toute