Le Dialogue Tragique

de sa phrase. Le ramassage des « finances » se fait aussitôt après un dialogue en stichomythie ; Ubu parle et proteste quand un paysan prend la parole en lui reprochant de parler tout le temps : la mauvaise foi est terrible mais fait rire. -par le comique de geste : Ubu ramassant lui-même la finance ; la bataille finale (gifles, mêlée de rugby, kung fu etc.. Phrase-thèse : Dabns cette farce, tout peut être pris au tragique : l’abus de pouvoir, le peuple acculé à la révolte, les 800 nobles et

la pièce de Ionesco (coll. "Folio") ; photographies de mises en scène. Objets d'étude : théâtre, texte et représentation ; art et langage dramatique. Perspectives : étude d'un genre : le théâtre moderne ; étude des registres : le comique et le tragique, l'ambiguïté de leurs frontières. Perspectives complémentaires : étude du "nouveau théâtre" ou du "théâtre de l'absurde". Séance 1. Étude des personnages (1 h) • Étude collective des personnages destinée à faire apparaître d’une part la

théâtre sacré). Dès Sophocle, appariation d’un personnage chargé de réciter, de raconter : le personnage protatique. C’est un théâtre en vers (poésie épique ou élégiaque) et tragique. § Avec Euripide (IVème s. av JC) : apparition de plus de personnage. § Avec Sénèque (Ier s. ap JC) : mise en scène des dialogues => naissance du théâtre (mélange de gens « ordinaires » avec les héros). § Pollux est un visiteur qui arrive à Corinthe. Il s’informe et découvre => le lecteur découvre avec lui

 raconter  :  le   personnage  protatique.  C’est  un  théâtre  en  vers  (poésie  épique  ou  élégiaque)  et   tragique.   § Avec  Euripide  (IVème  s.  av  JC)  :  apparition  de  plus  de  personnage.   § Avec  Sénèque  (Ier  s.  ap  JC)  :  mise  en  scène  des  dialogues  =>  naissance  du  théâtre   (mélange  de  gens  «  ordinaires  »  avec  les  héros).   § Pollux  est  un  visiteur

INTROTexte extrait Antigone de Jean AnouilhDialogue entre Ismène et sa sœur AntigoneDans mon analyse linéaire, je vais montrer comment ce dialogue impossible n’empeche pas la tragédie en marcheI – Tendresse et nostalgie Antigone Ismène L1-10II- Désaccord Ismène L11_19III – Contradiction et débat entre 2 sœurs L21_34ANALYSE LINEAIREI _ Tendresse  : L1 « tu es malade » -> lexique état physique et sommeil – L2 « fatigue » L3 » dormi » Débute par prise de nouvelles

ensuite monter qu’il met en scène l’homme lui-même à travers une parole qui ne cesse de dénoncer les manques et les limites de la communication humaine. Enfin nous verrons que c’est un moyen de tenir le lecteur-spectateur à l’écart d’une vision trop tragique de la pièce. II – Un langage perpétuellement menacé a) Destruction du langage Dans Fin de Partie, on remarque que le langage est perpétuellement menacé de disparaître. Tout d’abord les personnages semblent être dans une mécanique de destruction

Introduction I) Un dénouement qui prend la forme d'un faux dialogue, avec un personnage plongé dans la folie A. Un faux dialogue entre Oreste et Pylade B. Le basculement d'Oreste dans la folie II) La souffrance tragique et pathétique d'un amant qui n'est pas payé de retour A. La situation tragique d'Oreste B. La souffrance pathétique d'Oreste III) Une vision pessimiste de la passion : ses ravages et sa violence A. La passion comme une source de souffrance B. La violence de la

Ces règles classiques s’opposent directement aux dramaturges contemporains comme par exemple Ionesco qui lui base toute son attention sur les didascalies et non pas sur les dialogues qui sont pourtant très apprécié par les dramaturges français. Le succès d’une représentation théâtrale ne fait que divertir, comment fait-elle pour nous instruire et en quoi le théâtre est-il symbolique ? Nous verrons dans un premier temps comment

totalitarismes. Sa réflexion critique et théâtrale est réunie dans Notes et contre-notes (1962). I. Au début, l'espace est ouvert puis se rétrécit. (Place publique, acte 1 ; acte 2 bureau d'administration ; chambre de Jean en acte 3.) De moins en moins de dialogue. Tout se réduit puis se referme. Jean se considère supérieur, ce qui trahit l'image d'un pédant (qui fait son intéressant) satisfait par l'utilisation du mot libation, ce qui impose le conformisme aliénant. Son élégance trop voyante trahit son

de ce rendez-vous mais sont persuadés que cette rencontre est d’une importance ultime. En attendant ce fameux Godot, les deux complices tuent le temps en discutant de tout et de rien et en se livrant à des jeux stupides. Ils s’éternisent sur des dialogues dénués de sens. L’arrivée de Pozzo et Lucky vient briser la routine qui hante Vladimir et Estragon. A la tombée de la nuit, un garçon vient de la part de monsieur Godot afin de reporter le rendez-vous au lendemain. Acte II Le deuxième acte reprend