Le Dieu Du Carnage

saint »). Hugo évoque 3 fois que la lumière s’es tfaite grâce aux bannis, grâce aux sacrifices des bannis. b)Martyrs mis en évidence : Le temps du sacrifice mis en lumière par les bannis. Hugo rappelle une dernière fois leur souffrance (la mort, les carnages, l’incertitude du retour dans la patrie). « peut être » accentue l’idée d’un exil permanent. c)Poète messie : Le poète annonce la résurrection (« délivrance »…). Champ lexical de la nouvelle naissance. Poète qui renaît pour conduire cette vision

(« Percé jusques au fond du cœur », « Des deux côtés mon mal est infini ») ainsi qu’une révolte contre la cruauté d’une situation injuste (« Et malheureux objet d’une injuste rigueur ») à travers des lamentationss montrant une tristesse intense (« Ô Dieu, l’étrange peine ! »). Après le désarroi, Rodrigue s’achemine vers sa décision finale : c’est un acte héroïque par lequel il choisit librement la voie qui, dans un premier temps, lui a été imposée par son père. Cette scène oriente l’action vers un

(« ils ne se saisiraient point »), l’allusion à la folie sanguinaire (« fureur de la guerre ») accentue la représentation de l’état de violence qui transforme les êtres humains en êtres inhumains, l’image du sang est très violente et choquante (« carnages », « conquêtes payées du sang »). Damilaville fait allusion aux bienfaits de la paix par l’utilisation d’un champs lexical de la tranquillité (« tranquillité », « bonheur », « satisfait »). On voit là encore se mettre en place un jeu d’opposition

court mais très riche. Effectivement c’est un sonnet, mais Rimbaud dénonce tout d’abord le carnage de la guerre (« cent milliers d’hommes », « croule les bataillons en masse »…), il déshumanise les soldats en comparant les soldats à un « tas fumant », il en fait une « masse » anonyme sacrifié pendant la guerre, et nous évoque une nature sereine face à ce carnage ; de plus Rimbaud ajoute à cela une satire de Dieu et de la religion. Ce qui m’a plu dans ce poème, ce sont les différentes facettes de la

L’ironie par le contraste. ¤Noblesse du spectacle/Bassesse (opposition entre le héros et le coquin). Héros : demi-dieu aux capacités surhumaines. Coquin : sournois/truand. Le canon participe au spectacle de deux manières : 1-Musique 2- Boucherie (Euphémisme) => expression imagée de la mort. Légèreté du discours [pic] horreur du contenu. Boucherie héroïque = carnage sanglant (oxymore) ; abattage systématique glorifié sous le masque épique. II/ Un texte dénonciateur

l’autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l’univers consacraient ces prémices. Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices. L’audace d’une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D’adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers temps nous retracer quelque ombre. Le reste pour son Dieu montre un oubli fatal ; Ou même, s’empressant aux autels de Baal, Se fait initier à ses honteux

prisonnier avec plus de six cent mille hommes. On le baigna dans les eaux salutaires du Gange; on le mit au régime du pays, qui consiste à ne se nourrir que de végétaux prodigués par la nature pour nourrir tout ce qui respire. Les hommes alimentés de carnage et abreuvés de liqueurs fortes ont tous un sang aigri et aduste qui les rend fous en cent manières différentes. Leur principale démence est la fureur de verser le sang de leurs frères, et de dévaster des plaines fertiles pour régner sur des cimetières

problématique qui fonde cette nouvelle manière de considérer le théâtre dont le texte n’est écrit qu’en rapport avec un jeu : la phrase sur Kantor pourrait être la base d’un beau sujet de dissertation. En 2008 Yasmijna Reza met en scène sa pièce « Le dieu du carnage » Frank Wederkind et August Stram : expressionisme

fantastique : le retour du dieu Quetzalcóatl. Ce mythe, imprégné dans les mentalités autochtones, est assimilé à l’arrivée de Cortès par l’Océan. Il peut alors imposer un nouveau système de valeurs (destructions d’idoles puis christianisation). Enfin, le climat ne permet que de maigres récoltes engendrant une famine importante qui paralyse l’économie et l’armée mexica. La société étant déstructurée, les récoltes suivantes ne sont guère plus suffisantes. 3°) Un carnage sans précédent : Des maladies

tout le monde, les anciens captifs le prenant alors comme guide spirituel. Ils se réfugient dans un cinéma où ils sont rejoint par Steve, Cynthia et Audrey, une employée de la mine, et se rendent alors compte qu'ils sont les uniques survivants d'un carnage organisé par une force maléfique, Tak, dont la véritable forme est retenue prisonnière dans une ancienne galerie de mine, et qui peut occuper le corps d'êtres humains mais les détériore vite par sa seule présence et doit en changer fréquemment. Tak