Le Dilemme Du Prisonnier

différents types de jeux coopératifs/ non coopératifs– compétitifs/ non compétitifs – répétitifs/ non répétitifs : *Jeux à intérêt communs; Jeux à somme nulle ou les intérêts y sont parfaitement antagonistes ; Jeu type fureur de vivre ; Jeu type dilemme du prisonnier qui fait ressortir une tension entre intérêt individuel et collectif. Limites de la théorie des jeux : * La TJ ignore l’éthique, elle néglige le bien- être des êtres humains. * C’est la théorie de l’égoïsme, qui nuit aux intérêts

la décision d’un joueur peut être prise en fonction des décisions et stratégies des joueurs précédents. • Les jeux finis : On dit qu’un jeu est fini lorsque l’ensemble des stratégies de chacun sont fixées à l’avance. Exemple : le Dilemme du prisonnier • ETC …

prendr ses responsabillites alors qu’ilest soumis a des forces contradictoires. -On le retrouve dans les tragedies antiques et clasiques mais aussi dans le theatre contemporain ou d ‘autres genres litteraires. Le dileme tragique *Le perso doit faire un choi douleureu c’est le dileme tragique qui trouve son expression syntastiqur dans l’antithese l’insistance de l’alternativite(le choi) Le langage est marque par un registre pathetique : Lexique de la mort et de la violance L’affectivite marquee

nature de l’échange prédisposition naturelle à être dans la confrontation ou coopération en synthèse, la position de la stratégie de négociation va dépendre de moteurs interne et externes qu’il soit personnels ou liés à l’environnement. Dilemme du prisonnier Quels sont les tactiques de lutte ? Objectif : altérer le rapport de force en notre faveur ( perception de notre pouvoir ) Principe : manipuler la dépendance et l’incertitude de l’autre partie à notre égard en toute discrétion.

de solution - Stratégies dominantes Equilibre de Nash - Critère de Pareto - Niveau de sécurité - Stratégies mixtes Résolution par chainage arrière - Menaces crédibles - Equilibres parfaits en sous-jeux Jeux à somme nulle Jeux répétés - Dilemme itéré du prisonnier Jeux à information incomplète Jeux coopératifs - Marchandage ` ´ Introduction a la Theorie des Jeux – p.7/77 Formalisation d’un Jeu Qu’est-ce qu’un jeu ? Qui? Joueurs Quoi? Coups (actions/choix) - Stratégies Quand? Déroulement du

héros est prisonnier de son destins. Par exemple dans Phèdre, Phèdre est une victime de Vénus car elle aime le fils de son mari, combat déjà perdu vu qu'elle est prisonnière de son destin ce n'est pas elle qui en est responsable, mais elle est comme même responsable de sa mort parce que c'est elle qui en avait décidé. L'une des conséquence que peut entrainer une passion est un personnage déchiré. Les personnages en proies d'une passion violente ou fatale sont confronté à un dilemme ( avouer ou

philosophique proposée par Platon dans "La République". Elle décrit un groupe de personnes enchaînées dans une caverne, ne percevant que des ombres projetées sur un mur. Ces ombres sont considérées comme la réalité par les prisonniers, qui ignorent tout du monde extérieur. Lorsqu'un prisonnier est libéré et découvre la lumière du soleil, il réalise que les ombres ne sont que des illusions et que la réalité est bien plus complexe. L'allégorie soulève des questions sur la nature de la réalité, la perception

équilibres de Nash :  ((Entrer,Produire),Non)  (Non,Augmenter Capacité) ⇒ correspondant à 2 stratégies équivalentes :  ((Non,Produire),Augmenter Capacité)  ((Non,Non),Augmenter Capacité) 14 L’équilibre de Nash  Exemple 4 : le dilemme du prisonnier (repris de l’exemple 1 de l’introduction) Le Kid N Butch Cassidy N D (-1;-1) (0;-10) D (-10;0) (-8;-8)  (N,N) n’est pas un équilibre de Nash car :   u2(N,N)=-1 choix de D par Le Kid. u1(N,D)=-10 choix de D par Butch Cassidy u2(D

sol, des prisonniers, des grenades qui vont éclater… L’image se concentre peu à peu sur les liens qui entravent le blessé « ficelé »… – La douleur physique : la souffrance est partout (cf. l. 6), elle se fixe sur la jambe arrachée du prisonnier : « avec un trou de chair au lieu de jambe » (l. 10-11) ; l’homme est « torturé » (l. 17) par la douleur… – L’intensité des cris : partout des cris de souffrance et de détresse : « des gémissements » comparés à des « jappements », un prisonnier qui « hurlait

ATHLETE DE LA VIE : AGIR OU SUBIR ? Quelle belle opportunité que celle que nous offre chaque jour le quotidien pour répondre au dilemme de cette question : agir ou subir  ! En effet, tout être humain se retrouve chaque jour porté à croire qu’il est obligatoire pour lui de supporter une certaine « pression », voire d’accepter une perverse fatalité. Mais pourquoi ne choisirions-nous pas délibérément la voie de l’émerveillement, en prenant pleinement conscience