Le Dilemme Tragique

ce qu'elle exprime dans le monologue suivant, qui ouvre l'acte III. Impératif ? L'expression d'une situation déchirante Dilemme exprimée par des chiasmes (femme/fille ; époux et amour/frère et nature) Rime interne de "Horace" et "Curiaces" séparé par la césure vers2 ce qui en souligne l'opposition Antithèse entre "souhaitons" et "craignons" vers4 Dilemme cornélien = qui oppose la raison et les sentiments Opposition entre une réponse héroïque et la douleur de la réalité Opposition

Pyrrhus propose à Andromaque de l’épouser en échange de la vie de son fils. Le dilemme que connait Andromaque est partagé entre la vie de son fils et son propre destin. Le tragique de la pièce se tient dans les différentes décisions que les personnages doivent prendre entre l’amour non voulu et une décision de raison. La possibilité de refuser est toujours dangereuse pour eux-même ou pour une personne chère. Le caractère tragique qui implique la tristesse de la décision à prendre est constant pour chaque

la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s'en aller. L'étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en évidence l'impossible dialogue entre Titus et Bérénice. Enfin, nous conclurons avec le dépit et l'incompréhension, maques du tragique de la scène... Commentaire composé de Littérature sur l'Acte V, scène 5, de la tragédie Bérénice de Jean Racine. Extrait: Bérénice, tragédie en cinq

qu’ignore le personnage) ⇨ Méprise tragique ou ironie tragique (le héros tragique ne discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé) Les 3 phases de l’action dramatique • Exposition (élément pour la compréhension de la situation initiale) • Nœud de l’action (conflit, obstacles contre la volonté du héros, péripéties modifiant situation matérielle ou psychologique du héros, coups de théâtre (= événements imprévus), dilemme) • Dénouement (élimination du personnage

racinienne sont parfaitement mises en place dans ce passage central de la pièce. Si l'action semble mise en veille au profit de la réflexion du personnage éponyme, on voit ici se nouer tout le drame. La suite de la pièce dépend de la résolution de ce dilemme. Le passage est... Commentaire Andromaque, Acte Iii, Scène 8 Commentaire Andromaque, Acte Iii, Scène 8 Acte III, scène 8 1. Situation du texte Comme plus tard Iphigénie, les premiers spectateurs d'Andromaque apprécièrent l'efficacité pathétique

Le Cid Le Cid, de Corneille a été publié en 1637, pendant la période du classicisme (XVIIème siècle) et du règne de Louis XIV. Cet extrait relève de la comédie tragique car Rodrigue se voit remettre un dilemme par son propre père car celui-ci veut qu'il se batte contre le père de sa bien-aimée, Chimène. Le père de Rodrigue, Don Diègue a été nommé gouverneur du prince de Castille mais le Comte, père de Chimène jaloux et déçu tape Don Diègue au cours d'une dispute. Celui-ci étant trop vieux pour

Granges à Port Royal des Champs. Ces trois années d'études, essentielles pour sa formation intellectuelle, philosophique et stylistique, font de Racine l'un des rares grands écrivains du XVIIe siècle à pouvoir lire dans le texte original les auteurs tragiques grecs tels que Sophocle et Euripide. Dès 1958 il débute une carrière de dramaturge et de courtisan. Il fait jouer La Thébaïde en 1664, puis Alexandre en 1665, mais c'est le succès de la tragédie d'Andromaque en 1667 qui assure sa réputation et enfin

sa décision : fuir ensemble pour Doña Sol ; se séparer pour Hernani. Il s’agira de voir comment, plus que les principes proclamés par la Préface de Cromwell, ce sont ici les ressorts dramatiques fondamentaux d’une situation de crise et de dilemme, le recours au pathétique et la maîtrise de l’alexandrin qui donnent au topos des amants menacés sa force théâtrale et son éclat lyrique. On s’attachera tout d’abord à dégager le mode de fonctionnement dramatique de cet échange passionné et

héros romantique. Pour y répondre, nous montrerons que le personnage vit une passion amoureuse exaltée, et que cette passion a des accents tragique. I. Les accents lyriques : une passion amoureuse exaltée : 1. L’émotivité de la tirade : Les didascalies : « avec emportement », « tombant épuisé et pâle sur le fauteuil » relève la souffrance, le dilemme, la passion. Les marques du lyrisme sont traduites par le type de phrases exclamatives, interrogatives (v. 420, 424, 427, 429, 434

théâtre de Sénèque, l’Art poétique d’Horace…) sont redécouverts, traduits et édités dès le début du XVIe siècle. Leur circulation, l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre tragique en France. La tragédie humaniste (seconde moitié du XVIe), qui doit beaucoup à l’œuvre de Sénèque, apparaît avec Abraham sacrifiant de Théodore de Bèze (1550) et Cléopâtre captive d’Étienne Jodelle ; elle s’épanouit avec Robert Garnier (1544-1590)