Le Dit Des Perdrix

La Fontaine Idéal du 17 ème siècle : un peu bousculé, dépassement du classicisme traditionnelS’affranchit du genre de la fableRenouvelle ses sources=> tend vers épicurisme d’Horace Capable d’enrichir son modèle par son propre talent, la Fontaine dit lui-même : « Monimitation n’est pas un esclavage », par sa propre connaissance de la nature : l’invention n’est pas dans la matière mais dans la manière. A)Libertés prises avec les règles a)StyleAbandonne la sécheresse ésopique : la fable accueille

Remarques -      bétail n'a pas de pluriel (bestiaux désigne des gros animaux domestiques, alors que le bétail est un nom collectif), -      bercail s'emploie fort peu au pluriel, -      ail fait au pluriel aulx, mais en termes de botanique on dit également des ails.   Noms en « al » Les noms en « al » font leur pluriel en « aux ». Exceptions -      bal, cal, carnaval, cérémonial, chacal, festival, récital, régal... dont le pluriel est « als ». Remarque -      idéal fait au pluriel

belle tu l'es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la jeune femme, en entendant ses mots, sentait le poignard de la jalousie la transpercer. Elle se dit dans son cœur : Lorsque cette enfant sera devenue adolescente, nul ne me regardera plus. L'enfant avait huit ans. Elle était pleine de vie et de grâce. Sa mère lui dit un soir : Demain, nous mettrons sur le métier une grande couverture. Nous irons planter les montants dans la campagne. La voisine nous accompagnera. Au matin, elle

aux gassendistes à qui La Fontaine se rapproche plus. A la fin du livre IX, dans Le discours à Madame de la Sablière, La Fontaine expose ces deux pensées et La Fontaine dit donc que les animaux ont une âme mais qui est différente de celle des humains. Il construit son argumentation en fournissant quatre exemples (le cerf, la perdrix, les castors et les boubaks) et une fable : Les deux rats, le renard et l'oeuf. Pour La Fontaine, les animaux ont une mémoire qui fait qu'ils se souviennent du passé et

sujet de rédaction. Les textes Il s'agit d'un extrait de Dom Juan de Molière et d'un autre tiré du Père Goriot de Balzac. PREMIER EXTRAIT tiré de Dom Juan (extrait de l'acte 1, scène II) Auteur : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, auteur dramatique français né en 1622 et décédé en 1673. Don Juan discute avec son serviteur, Sganarelle. DON JUAN Quoi! tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et

au-dessous de la taupe et de la tortue, qui vont sagement leur petit train, et qui suivent sans varier l’instinct de leur nature ; mais écoutez-moi un moment. Vous dites d’un tiercelet de faucon9qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix : « Voilà un bon oiseau » ; et d’un lévrier qui prend un lièvre corps à corps : « C’est un bon lévrier. » Je consens aussi que vous disiez d’un homme qui court le sanglier, qui le met aux abois, qui l’atteint et qui le perce : «Voilà un brave homme

pays ? Pages 18 à 36 et 40 à 41 Pages 5 à 13 et 83 à 93 Pages 49 à 82 Fiche d’aide L’ŒIL DU LOUP Page 8 Les enfants : La famille de Loup Bleu Flamme Noire, la mère. Cousin Gris Grand Loup, le père de Loup Bleu tué par les hommes. Perdrix, l’amie de Loup Bleu Les cinq rouquins Paillette, la louve d’or. Loup Bleu Fiche d’aide L’ŒIL DU LOUP Page 9 Le Gorille Le scorpion Les rencontres d’Afrique Toa le marchand Casseroles le chameau Colombe d’Abyssinie Hyène Guépard

Reproduction D- Habitat II- LES CAUSES DE SA DISPARITION A- Un problème de nourriture, B- D’espaces, C- Et les hommes dans tout cela ? III- DES SOLUTIONS POUR SA SURVIE… I- A PROPOS DE L’ANIMAL A- Description : Le Lynx pardelle, dit aussi le Lynx d’Espagne ou le Lynx ibérique est un félin de petite taille : il mesure entre 85 et 110 cm avec une queue qui varie de 12 à 13cm. Sa hauteur du garrot est de 42 à 47 cm. Le mâle étant plus gros et plus grand que la femelle, il pèse en

les animaux parlent car il sait qu’il s’agit d’une métaphore filée où se lit le monde des hommes. A – Un monde hiérarchisé  Le monde des fables présente une société animale hiérarchisée. Elle est organisée selon la loi du plus fort, autrement dit la loi de la nature où certains dominent et où d’autres subissent. Cette hiérarchie propre aux animaux, qui semble préexister, préfigure le monde des hommes.  Dans les fables de l’origine on trouve des animaux du désert ou de la jungle indienne :

entend les cloches A une lieue de là. Sur l’horizon étroit, Parfois, l’on aperçoit Le blanc profil d’un moine Marchant vers les avoines. Tout y vit comme pris Dans l’ombre des taillis. Seul y luit le renard, Seule y meurt la perdrix. Mais on dit que le soir, A complies, on peut voir Le ciel, à l’abbaye, Ramener ses brebis Orval Abbaye Notre-Dame d'Orval : cour des retraitants © Editions d'Orval A la fin des années 1960 et dans