Le Droit Des Obligations

Droit civil : Première partie : Les quasi-contrats : Ils ont été définis par l'art. 1371 cc comme des « faits purement volontaires de l'homme dont il résulte un engagement quelconque envers un tiers et quelquefois un engagement réciproque des 2 parties. » définition pas pleinement satisfaisante car extrêmement proche de la définition du contrat synallagmatique. Néanmoins elle a été adoptée par le code civil. Ce choix s'explique par l'origine de ce quasi contrats qui remontent au dt romain

Faculté de Droit et de science politiqueUniversité de MontpellierLicence 2 Groupe A  - Droit des obligations2021/2022- 3ème semestreTravaux dirigés séance du 26/10/21Recherche personnelle sur le sujet : Arrêt très connu, il faut connaître l'évolution JP et législative : Le contrat nécessite de contenir des conditions de validité : depuis la réforme des contrats 3 conditions : capacité, consentement, et contenu. Avant la réforme, 4 conditions de validité :

DROIT DES OBLIGATIONS Premier Cas Pratique Mr Paul vient de commander du vin. Le contrat stipulait que seraient livrés 10 cartons de vin rouge de Châteauneuf du Pape pour 1800E. Mais à la réception de la marchandise, le vin est un millésime 2002, cru reconnu pour sa médiocre qualité. Le fournisseur refuse de reprendre la commande. Que peut faire Mr Paul ? Selon l'article 1582 du code civil, " La vente est une convention par laquelle l'un s'oblige à livrer une chose, et l'autre à la payer

TD droit des obligations – Séance n°3 Commentaire d'arrêt : La décision soumise à l'étude est un arrêt de rejet de la chambre commerciale de la cour de cassation rendue le 26 novembre 2003. Les faits ayant conduit à son prononcé sont les suivants: Au printemps 97, la société MANOUKIAN a entreprit avec les consorts X actionnaire de la société STUCK, une négociation afin que ces dernier lui cède les actions composant le capitale de la société suscite. Le 24 septembre 97 soit environ 6 mois après

DROIT DES OBLIGATIONS LES CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT Visa : article 1108 c.civil A. Actualité des conditions de formation du contrat 1. Le consentement Il faut un échange de consentement pour que le contrat soit valide, le consentement doit être exempt de vices (erreur, dol). Degrés de l’erreur : * L’erreur obstacle : elle empêche la rencontre des volontés. Il s’agit d’un malentendu fondamental sur l’objet et la nature du contrat. (ex : erreur sur la monnaie…)

Droit des obligations – Devoir n°7 I. Le cas de la société Bacchus Aux termes de l’article 1359 du Code civil, la preuve d’un acte juridique est subordonnée à un principe. Si l’acte porte sur une somme ou une valeur supérieure à un montant fixé par décret, son existence ne peut être prouvée que par un écrit sous signature privée ou un acte authentique. Un écrit n’est exigé que si l’acte dépasse 1 500 euros pour les actes postérieurs au 1er janvier 2005. En l’espèce, la société Bacchus

Cas pratique de Droit Civil : Régime général des obligations : A la fin de leur séjour organisé en autocar, les époux Durand se sont fait voler leur sac de voyage resté dans le car, sans surveillance, et contenant des bijoux d’une valeur d’au moins 2 000 euros. Monsieur Rousset, propriétaire de la chambre froide voisine de celle de Monsieur Robert, a fait appel à la société Grand Froid pour l’entretien annuel de cette chambre froide. Monsieur Touzaint, salarié de cette entreprise, est alors venu

légalement le terme ''clause abusive''. Selon l'article L.132-1 du code de la consommation « sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de créer, au détriment du non-professionnel ou du consommateur, un déséquilibre entre les droits et obligations des parties au contrat ». Donc pour déterminer le caractère abusif d'une clause il est nécessaire systématiquement de constater un déséquilibre en défaveur de non-professionnel. Dans le cas présent, le déséquilibre est assez flagrant dans

subjectif Bien que l’élément subjectif soit un complément pour l’étude de la responsabilité civile délictuelle du fait personnel, la jurisprudence contemporaine a opéré une évolution vers une conception purement objective de la faute, puisque le droit positif a admis la responsabilité des individus atteints de troubles mentaux et des infans. De plus, Garance n’est ni considérée comme une personne atteinte d’un trouble mental, ni comme un infans, donc il est superflue d’étudier l’élément subjectif

------------------------------------------------- Droit Civil- TD n°7 – Le fait des choses Arrêt de la 2ème chambre civile de la cour de cassation du 16 Octobre 2008 concernant les caractères essentiels de la mise en œuvre de la responsabilité du fait des choses inertes. En l’espèce, le 30 Avril 2001 alors que Mme X faisait tranquillement ses courses, elle tomba et se blessa après que son caddie se soit coincé une roue dans un rail coulissant à la sortie du parking. Mme X assigne alors le