Le Déclin Du Parlement Sous La Vème République

PARTIE 1 : LES PARTIS POLITIQUES Sous partie : Approche sociologique générale ORIGINES ET DEFINITIONS DES PARTIS I) Le mot parti C'est un mot qui vient du Moyen Age, ca signifiait un détachement de soldat. Le sens evolue a la renaissance, on évolue vers : raiseau d'allégence. Ce n'est pas quelque chose de bien organisé. A Florence : le parti des Guelfes et les Gibelins. Le premier soutient le pape, le deuxième soutient l'empereur du saint empire germanique. On les retrouve a l'oeuvre

justice est le don de soi pour le groupe demeure et donc a chacun selon ses mérites , pour arriver à cette unité , il faut que le pouvoir soit organisé sous 3 fonctions : une assemblée délibérative (population ), une fonction d’exécution ( magistères ) , la 3 eme étant la fonction judiciaire pour donner du sens (fonction d’arbitrage ) : L’unité sous 3 fonctions Ce qui intéresse l’église qui suit volontairement les pas de l’antiquité pour se faire sa place en remplacant la fete d’hiver par noel par

leur nombre varie plutôt de 7 à 8. 1) Les types de formation a) La formation collégiale de 3 membres ​Formation classique, conformément au principe de collégialité. Formation de jugement. Les tribunaux administratifs rendent des jugements sous la présidence d’un président du TA (tribunal administratif) ou d’un vice président voir d’un magistrat désigné ayant au moins le grade de premier conseiller. b) La formation en juge unique Ce système est prévu dans deux cas : - Dans les

la Déclaration américaine des droits. Point commun entre Angleterre, États Unis et France → les conditions dans lesquelles ces textes ont pu être proclamés. Ils résultent tous d'une lutte à l'encontre du pouvoir. Révoltes de la noblesse ou du Parlement à l'encontre du pouvoir royal. Dans le cas des États Unis c'est une guerre d'indépendance et dans le cas Français c'est une Révolution qui va permettre la consécration des droits. Le texte français est le premier à avoir été influencé (1789)

et par exemple aux USA a émergé dans la jurisprudence de la Cour suprême la notion de souveraineté partagée. Peu à peu s’est diffusée l’idée selon laquelle on pourrait diviser la souveraineté. En Europe, ce processus s’est produit mais plus tard sous l’influence de la construction européenne car avec l’édification de la Cour européenne, on a pu observer que certains Etats, tout en demeurant des Etats souverains transférait un certain nombre de leur compétence au profit d’une organisation internationale

11 A/ La typologie d’Aristote. 11 B/ La typologie de Montesquieu. 12 C/ La typologie de Rousseau. 13 II. Les régimes démocratiques. 15 A/ Le concept de démocratie. 15 1. Les critères des régimes démocratiques. 15 2. La distinction entre république et démocratie. 16 B/ Régime démocratique et système de partis. 16 1. Les systèmes de partis. 16 a) Bipartisme et multipartisme. 17 b) La polarisation des systèmes de partis. 17 2. L’influence des mode de scrutin sur le respect de parti 18

elle peut créer ses propres règles (les règlements administratifs). D’où une certaine auto-limitation par le droit. Ces 2 spécificités sont en pleine évolution depuis 20 ans. On assiste, en France, à une mutation des sources du droit administratif sous l’évolution de la Constitution et le droit international ainsi que le droit communautaire. Elargissement du principe d’hetero-limitation par le droit. Cette évolution rapproche les sources du droit administratif des sources des autres droits. Chapitre

constitutionnelles. Cela passait donc à côté de la comparaison des réalités politiques différentes, surtout lorsque l’on sait que les formes constitutionnelles n’étaient bien souvent que des façades masquant une réalité bien différente. Comparer la Cour suprême sous Hassan II et la Cour suprême aux U.S.A était alors vain, seul leur objet officiel étant semblable. La Cour suprême américaine est un réel contrepouvoir alors que la Cour constitutionnelle marocaine était un organe soumis au roi. L’une des réponses

française proclame que la France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. L’État laïque ne met pas son droit au service des religions. Les règles religieuses, doivent, lorsqu’elles entrent en conflit avec une règle juridique, se mettre au second plan. Le droit et la religion sont des systèmes normatifs distincts en France aujourd'hui. Il n’existe donc pas toujours de frontière bien tracée même dans les États laïques car les valeurs sous-jacentes se rejoignent. Section 2 :

Les finances publiques sont intimement liées à la notion même d’Etat. Peut-il y avoir un Etat sans finances ? Paul Amselek (Non). Dès lors, ces finances publiques existent sous une forme ou une autre depuis l’apparition de l’Etat organisé c.a.d sous l’Antiquité, notamment la Grèce et l’Empire Romain. Au Moyen-âge, ces finances publiques se conçoivent comme les finances du Royaume voire du Roi lui-même et donc dans une conception plus étroite et assez classiquement retenue l’apparition des finances