Le Fanatisme Religieux Peut Il Se Justifier

l’incarnation de ces théories à travers les personnages et les situations, de manière à ce que l’intrigue fantaisiste amène à une banalisation de ces théories. Le lecteur peut donc comprendre les sujets sérieux traités et Voltaire peut alors aisément diffuser l’esprit des Lumières contre l’obscurantisme religieux, les fanatismes et les inégalités sociales qui prévalaient à l’époque, ainsi que les injustices et les préjugés. Mais la satire de Voltaire passe aussi par l’humour noir et le comique

l’incarnation de ces théories à travers les personnages et les situations, de manière à ce que l’intrigue fantaisiste amène à une banalisation de ces théories. Le lecteur peut donc comprendre les sujets sérieux traités et Voltaire peut alors aisément diffuser l’esprit des Lumières contre l’obscurantisme religieux, les fanatismes et les inégalités sociales qui prévalaient à l’époque, ainsi que les injustices et les préjugés. Mais la satire de Voltaire passe aussi par l’humour noir et le comique

théories  à  travers les personnages et les situations, de manière à ce  que  l’intrigue  fantaisiste  amène  à  une  banalisation  de  ces  théories.  Le  lecteur  peut  donc  comprendre  les  sujets  sérieux  traités  et  Voltaire peut  alors  aisément  diffuser  l’esprit  des  Lumières  contre  l’obscurantisme  religieux,  les  fanatismes  et  les  inégalités  sociales  qui  prévalaient  à  l’époque, ainsi que les injustices et les préjugés.  Mais  la  satire  de  Voltaire  passe  aussi  par  l’humour 

Du moins c'est comme telle qu'elle doit être utilisée par le metteur en scène et les acteurs. On veillera à ce qu'elle vienne défaire tous les clichés que le spectateur pourrait avoir tissé précédemment dans son inconscient. Par ailleurs, on ne peut jouer aujourd'hui cette pièce sans avoir en tête plusieurs versions importantes qui en ont été données après la seconde guerre mondiale et qui ont mis à mal une certaine lecture réductrice sinon de la pièce, du moins de la partition du rôle de Tartuffe

« Le fanatisme appelle persécution tout ce qui contrarie son absolutisme » Octave Pirmez. Le texte étudié est un procès-verbal d’un discours du monarque Louis XV prononcé lors de la séance du parlement de Paris du 3 mars 1766, séance dite « de la Flagellation ». On peut aussi nommer le discours de Louis XV « lit de justice », cela signifie que le roi est venu lui-même au parlement pour imposer sa décision. Le terme flagellation désigne un acte qui consiste à fouetter le corps humain avec un

attache à ce point de vue lui semble justifier qu’il soit partageable pour tous. Le dialogue demande une ouverture d’esprit, d’écoute afin de pouvoir échanger, communiquer mais il suppose aussi que l’on puisse admettre le point de vue se son interlocuteur. En ce sens un problème se pose, vouloir à tout prix avoir raison conduit à la susceptibilité, l’intolérance et empêche de prendre en considération un autre point de vue que le sien. Pour aller plus loin encore, on peut même dire que cette volonté dissuade

« ôter (l.5), aller (l.13), gagner (l.15)… - Hyperboles chiffrées « six mille » (l.4), « dix mille »(l.6), « quelques milliers » (l.8), « trentaine de mille » (l.9)… c) Justification de la guerre par diverses considérations - Morale : terme religieux « Te Deum » (= chant d’action de grâces destinées à remercier Dieu) la religion est utilisée pour légitimer l’acte guerrier (l.13) - Philosophique : références multiples à la philosophie de Pangloss/Leibniz = « ôta du meilleur des mondes » (l.6) :

LA PHILOSOPHIE PEUT-ELLE S’ACCORDER AVEC LA RELIGION ? Philosophie et religion se présentent comme deux entreprises humaines orientées vers les mêmes objets, la même fin, répondant toutes deux à un même souci. Nous pouvons en effet déceler dans ces deux phénomènes humains la quête d’un sens, d’une vérité éternelle et absolue permettant de définir l’essence et le sens de tout ce qui existe; de comprendre la nature profonde de l’être dans son universalité. Ceci dit, philosophie et religion n’empruntent

Dieu) sous le concept de la trinité. La Trinité est dans le christianisme, un Dieu unique en trois aspects : le Père, le Fils et le Saint-Esprit, égaux, participant d'une même essence et pourtant fondamentalement distincts. L’enseignement de Jésus peut se résumer autour de l’amour (=aimer son prochain comme soit même) ainsi que de la charité. Les Saints jouent un rôle de médiateur. Ce monothéisme, fondé sur la trinité est une religion destiné à convertir le monde, c’est une religion universel.

concurrence entre eux pour l’accès aux biens et aux services essentiels. Prêché depuis trente ans comme principe inspirateur et mobilisateur de la civilisation occidentale, l’évangile de la compétitivité sert désormais d’argument pour expliquer et justifier la pérennité de la pauvreté et de la guerre. Sur la fatalité de la pauvreté, tous les groupes dominants, à quelques nuances près, sont unanimes. Les gouvernements des Etats-Unis, de la Chine, des 25 Etats membres de l’Union européenne (UE), des