Le Fayet

Introduction Mme de la Fayette entre dans l'aristocratie grâce à son mariage avec le comte de la Fayette. Son nouveau statut social lui permet de tenir un salon où elle invite intellectuels et écrivains. Elle développe ainsi une grande amitié avec le duc de La Rochefoucauld, un des maîtres du classicisme. Son œuvre majeure, La Princesse de Clèves, est publiée en 1678. Elle est considérée comme le premier grand roman de la littérature française car il est le premier qui dote son héroïne d'une psychologie

écrit, on a toujours et dès sa parution désigné Mme de La Fayette comme l’auteur, sinon exclusif, du moins principal d’un texte très probablement discuté et même peut-être partiellement rédigé en commun avec ses amis, La Rochefoucauld, l’auteur des Maximes (1664), Huet et Segrais. Ce n’est pas pour rien que les habitués de l’hôtel de Nevers, où Mme Du Plessis Guénégaud tenait salon, la surnommaient « le Brouillard » ! Qui est Mme de La Fayette ? Son origine n’a rien à voir avec celle de celui qui deviendra

La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette. La rencontre. Dans cette deuxième partie, nous montrerons comment la rencontre entre les personnages vient accomplir une attente, non sans faire découvrir aussi chez la Princesse ce qui va devenir une passion. La narration de Madame de La Fayette s’ordonne comme un crescendo jusqu’à l’expression d’une déchirure. Elle accompagne d’abord le regard de Mme de Clèves, puis celui du duc de Nemours ; le regard sur la scène s’élargit

La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera une partie

de la cour, elle aurait continué à mener une existence recluse et paisible auprès d’un mari qu’on lui aurait choisi. -- Mme de La Fayette revient encore une fois sur le physique, on va trouver une troisième fois le substantif beauté, on a quelques indications sur le physique mais elles restent vagues et convenues. Peu de choses sur le physique mais Mme de La Fayette met en valeur la réaction d’étonnement à la Cour. Pas de portrait moral : on ne sait rien des désirs profonds de la jeune fille, qui

princesse de Clèves, oeuvre de Madame de La Fayette = La princesse de Clèves est un roman de Mme de La fayette du XVIIème siècle qui se passe au XVIème siècle .Cette œuvre classique est considérée comme un des premiers romans d’analyse. Les personnages pourraient appartenir au genre romanesque.On peut voir dans cet extrait l'emploie du discours narratif, l'auteur raconte la rencontre entre deux héros qui tombent amoureux l'un de l'autre.Madame de La Fayette utilise aussi le dialogue ce qui est une

Commentaire rédigé : Introduction : Mme de la Fayette est le parangon (modèle) de l'écrivain classique et précieux du XVII° siècle qui se spécialise dans le roman d'analyse psychologique des sentiments amoureux. En effet elle fréquente les salons et elle prend pour modèle de ses héroïnes la Duchesse d'Orléans. Il s'agit d'un extrait de la princesse de Clèves qui illustre la vertu personnelle classique puisqu'elle résiste à la passion jusqu'à la fin de sa vie. Notre extrait se situe au début

présenter quatre textes différents, comportant chacun une scène de bal sur laquelle nous nous appuierons : un conte, Cendrillon de Charles Perrault (1697); deux extraits de romans, Madame Bovary de Flaubert (1857) et La Princesse de Clèves de Mme de la Fayette (1678); ainsi qu'une nouvelle, La Parure de Maupassant (1884). Nous remarquons en lisant ces différents textes que se dégagent de nombreux points communs et différences. Nous les rechercherons en commençant par décrire le cadre de la scène, puis

constitue un courant littéraire marqué par les caractéristiques suivantes : -importance des règles classiques. Le classicisme est fondé sur les règles de bienséance, de vraisemblance et des 3 unités (uniquement au théatre). Le roman de Madame de La Fayette respecte la vraisemblance puisqu'elle intègre une histoire d'amour fictive dans un cadre historique précis, celui de la Cour de des Vallois. De plus, aucun épisode ne heurte l'exigence de bienséance. C'est au nom de la raison héritée de la philosophie

par la découverte de lieux inconnus à certaines classes sociales et par la description de certains aspects de la société. Le lecteur peut donc s’immiscer dans une autre classe sociale comme par exemple dans La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette où l’on découvre la cour, qui est réservée à une classe sociale haute, comme la bourgeoisie. L’auteur décrit parfois aussi la société comme Honoré de Balzac avec son ouvrage La Comédie Humaine où il détaille son Etudes des mœurs avec les scènes