Le Fléau

1- Les pays les plus exportateurs de contre façons Tout d'abord, la contrefaçon est un fléau mondial. Implanté principalement dans le continent asiatique, il ne cesse de s'implanter dans le continent européen. En effet, la contrefaçon se développe surtout dans le continent asiatique. Par ailleurs, ce sont souvent les pays en voie de développement, ou les pays émergents, qui sont touchés par ce fléau. De plus, la main-d’œuvre dans ces pays y est notablement moins chère que dans les pays industrialisés

Aujourd’hui la contrefaçon est de plus en plus évidente sur le marché européen. Elle touche tout type de biens, vêtements, technologies, médicaments . La contrefaçon, un fléau pour notre société. Les risques pour l'acheteur, le contrefacteur, les fabricants sont multiples, que devons-nous faire ? Nous verrons dans un premier temps le sens du terme « contrefaçon », les raisons qui la favorisent, dans un second temps les risques pour le client et l’entreprise et pour terminer mon dossier un cas

français l'esclavage moderne Si en théorie l'esclavage a été aboli dans tous les pays depuis les années 1980 en mauritanie, en pratique on constate qu'elle a pris de nouvelles formes et s'est adapté aux nouveaux visages de la société. Le fléau est devenu moins violent physiquement parlant mais il est plus sournois et plus sordide car les victimes ont aujourd'hui conscience que leur condition d'esclave mais constatent avec désespoir que le public reste insensible à leur douleur, mal informé ou

novembre 1913 et mort le 4 janvier 1960. Le titre La Peste nous évoque sûrement la fameuse peste noire qui a décimé plus de la moitié de la population européenne dans les années 1347 à 1352. En lisant ce titre on peut s’attendre à lire une histoire d’un fléau qui tue les habitants d’une ville. Sur la couverture du roman sont illustré des malades, avec une teinte presque noirâtre, enveloppé par des draps tachés de sang. On voit un médecin qui aide les patients à boire de l’eau. 1) Le roman se divise

conduit le gouvernement ivoirien et la Direction de la coordination du Programme national de la santé scolaire et universitaire (Dc-Pnssu) à mettre en place plusieurs stratégies de lutte contre ce fléau qui interpelle la conscience collective. Pour le gouvernement, des programmes de sensibilisation sur ce fléau sous le slogan de « zéro grossesse en milieu scolaire » se tiennent depuis la rentrée scolaire 2013-2014. La Direction de la coordination du Programme national de la santé scolaire et universitaire

2800 à 6000 cas de grossesse au titre de l’année scolaire 2012-2013. C’est le triste constat fait dans le monde du système éducatif ivoirien. Plus qu’un simple mal, c’est un fléau national que le ministère de l’Education nationale entend combattre en cette rentrée scolaire 2013-2014. Par une campagne dénommée « Zéro grossesse à l’école. » Pour y parvenir, un atelier regroupant les différentes Directions du ministère de l’Education nationale et de la Santé scolaire, les membres de la société civile

vont bien. ». Il est le personnage central de la chronique et nous apprenons à la fin qu’il est le narrateur. Il se caractérise par une certaine sensibilité. Il ne s’est jamais habitué à voir les gens mourir. Il représente l’âme de la résistance au fléau et il est à la fois témoin et militant. C’est également un homme d’action, il visite les malades, incise les bubons, et observe les effets des sérums. Au début du roman, il presse les autorités pour prendre des mesures de sécurités. Il n’est pas croyant

« tous les hommes », « les hommes », ce qui permet d’oublier le cadre précis de la ville d’Oran et d’étendre les réflexions du Docteur à l’ensemble des sociétés humaines. 2/ Ecriture de la fête Oran fait donc la fête pour célébrer la fin du fléau et, depuis sa terrasse, le Docteur Rieux la contemple. C’est presque une photographie qui nous est proposée, celle d’une ville la nuit, mêlant ombres et lumières, entre « port obscur » et « fusées », « gerbes multicolores »… La ville n’est pas que

criminel, semblait éprouver une malsaine satisfaction dans le malheur de ses concitoyens car, ainsi, il serait oublié. « Pour lutter conte le fléau avec leurs propres moyens », les autorités ecclésiastiques organisèrent une semaine de prières collectives à l’issue de laquelle le père Paneloux, un savant jésuite, prononça à la cathédrale un sermon où il fit du fléau un châtiment lancé par Dieu aux pécheurs. Ce sermon laissa désemparée la ville qui céda à un morne abattement. Tarrou, nouveau venu à Oran

description de la ville venant d’être libérée. Puis, Camus nous propose une réflexion humaniste pour tirer des leçons de ce fléau. Ensuite, Rieux en révèlant son identité en tant que narrateur qui jusque là avait été cachée par soucis d’objectivité, justifie l’écriture de sa chronique. En effet, le but est de témoigner afin que tout le monde sache la violence et la dureté de ce fléau «  pour laisser un souvenir de l’injustice et de la violence qui leur avaient été faites ». Grâce à l’action de Rieux