Le Gène égoïste

sur le moment n’est que de courte durée. Vous passez d’une femme à l’autre sans une pensée pour la précédente (d’une paysanne à une autre !). Vous représentez à vous seul l’Inconstance, et vous la prêchez sans aucun scrupule. Vos intentions sont égoïstes et malhonnêtes, et votre comportement n’est qu’orgueil. Que ce soit envers les femmes, ou envers le Ciel. Vous blasphémez continuellement en jurant sur le Ciel et votre foi, qui n’est en rien religieuse (ou alors elle serait maléfique). Vos paroles

leur père. On peut ainsi remarquer que l'auteur utilise différentes expressions péjoratives qui marquent bien le fait que le père, cet ancien révolutionnaire, dérange : « les deux gendres ne se sont pas formalisés d'avoir ce vieux », « le bonhomme a gêné », « n'aurait-il pas été une tache de cambouis dans le salon de ses filles ». Balzac insinue que les gens de la haute société choisissaient en quelques sortes leurs relations. De la même manière, l'extrait issu de Bel-Ami met en lumière l'aspect hypocrite

ces personnes se détachent totalement du monde qui les entoure, trouvant peut-être plus d'intérêt à leur propre vie qu'à celle des autres. Cet « amour de soi », ce besoin d'être admiré, sont en général le reflet d'un comportement particulièrement égoïste. Souvent hautains et arrogants, les individus narcissiques se sentent uniques, spéciaux, puissants, et profitent de la générosité des autres pour arriver à leurs fins. Ils agissent par intérêt, surestiment leurs capacités, et se soucient peu de l'éventuel

portrait réaliste des nouveaux riches du dix-neuvième siècle : les hommes sont égoïstes, profiteurs et hypocrites. Ceci représenter par ces personnages qui vont se servir dans les provisions d’une jeune femme qu’il traitait comme une moins que rien. Certains ne vont même pas la remercier où simplement par « obligation sociale ». La victime, impressionnée par ses personnages de hauts rands, se laisse faire et est même gêné. L’auteur dénonce ainsi la société dans la quelle il vit et démontre que la

ville, qu'il ne sont pas des vrais hommes . La question que l'on doit se poser est qu'est-ce-qu'un vrai homme ? Il critique les Athéniens car il ne veut pas être le seul philosophe avec les enfants . Pour Diogéne les faux hommes sont les hommes égoïstes, hypocrites et prétentieux . A l'inverse pour Diogéne un vrai homme c'est un homme généreux, humble, simple et honnête La dispute. ● Diogène est de retour à Athènes ! Il aboie sur les passants ... Il continue à mendier mais uniquement quand

oserais-tu demander une chambre en plein jour ? Oh Julien, je t’en supplie. »Mais il l’interrompit : «  Je m’en moque un peu de ce que peuvent dire et penser des gens d’hôtel. Tu vas voir comme ça me gêne. » » Maupassant ne décrit pas directement Julien dans ce fragment, il nous fait par du caractère égoïste du personnage à travers un dialogue qu’il a avec sa femme. Un peu plus loin dans l’histoire, page 110-111 ,Julien est cette fois décrit tel quel, comme un homme grossier, sans aucune classe. « Il

avec ses quatre enfants : un fils, Ludovic (Michel Auclair), et trois filles, Félicie (Mila Parély), Adélaïde (Nane Germon) et Belle (Josette Day), cette dernière étant courtisée par Avenant, un ami de son frère. Deux de ces filles sont ignobles, égoïstes et ont un mauvais caractère ; elles traitent leur sœur, Belle, comme une domestique. Cocteau tire parfois le récit vers la farce, par exemple lorsque les canards caquetants adressent un commentaire destiné aux sœurs de Belle. À ce moment-là le conte

Tu as dû penser que je te ferais mourir. Et cela te paraissait un dénouement tout naturel pour toi, orgueil­leuse ! Pour ton père non plus — je ne dis pas le bonheur, il n'en était pas question — le malheur humain, c'était trop peu. L'humain vous gêne aux entournures dans la famille. Il vous faut un tête-à-tête avec le destin et la mort. Et tuer votre père et coucher avec votre mère et apprendre tout cela après, avidement, mot par mot. Quel breuvage, hein, les mots qui vous condamnent ? Et comme

demeura surprise et effrayée d'avoir été la première à oublier son fils. » Thérèse feint de ne pas vouloir se remarier, et d'être encore trop attachée à Camille. Chapitre XX. Au moment de se vêtir pour son mariage, qu'est-ce qui gêne Laurent ? La blessure au cou le gêne au moment de placer son faux col, p. 180. Chapitre XXI. Comment se passe la nuit de noces ? Les deux amants sont incapables de se parler ou de se toucher, car ils pensent à Camille. p. 191. « Embrasse-moi, embrasse-moi »

gauche, allaite sa mère en s’excusant auprès du son fils. Assis à leur droite, un homme malade et souffrant, assiste à la scène avec l’approbation. Alors que le geste de cette jeune femme est un signe clair de la miséricorde, on se sent légèrement gêné et mal à l’aise. La mère de la jeune femme ne semble pas être ni affamée, ni mourante. Pourquoi le peintre a- t-il exposé ce moment intime, qui est un acte privilégié entre une mère et son enfant ? En observant des gens autour de cette famille,