Le Genre Picturale Des Vanités

théâtre, par exemple dans les séquences à la messe (chapitres 5 et 18), ou lorsque Valmont écoute caché le dialogue entre Mme de Merteuil et Mme de Volanges (chapitre 12). La composition et la lumière de certains plans constituent des références picturales à l’oeuvre de Fragonard (les scènes de lit avec Cécile, chapitres 14, 17, 25) ou de Greuze (la scène du pauvre, chapitre 6), qui transforment les lieux en espaces de représentation. Enfin, le jeu souvent outrancier – et l’accent américain moderne

peinture cathartique reste mûrement pensée. Après la dissolution du groupe El Paso, il poursuit, à contre courant d’une mouvance conceptuelle contemporaine, ses recherches sur la figure et s’engage dans une profonde introspection de la tradition picturale espagnole où les grands maîtres sont régulièrement convoqués. 2 Extraits de l'article de Francisco Calvo Serraller, "Les colonnes d'Hercule et la fin du monde", in L'imagination nouvelle. Les années70-80, M.A.M., paris, 1987 3 Texte de

(notamment les monographies d’artistes) en bibliothèque ; documentations diffusées sur internet (attention aux informations farfelues qui circulent sur le web > ne jamais se fier à une seule source !) CHAPITRE IV. TECHNIQUES GRAPHIQUES ET PICTURALES, DE L’ANTIQUITE CLASSIQUE A L’EPOQUE MODERNE Tout comme les supports, les techniques changent au cours de temps. Les choix techniques ont un grande influence (formelle notamment) sur l’image produite a. Les pigments et les colorants /

l’humidité. * La tempéra : Les pigments sont aussi broyés dans l’eau mais le liant c’est de l’œuf (blanc, jaune ou même coquille broyée). Le diluant c’était l’eau. Elle sèche aussi très vite. Elle accepte elle, d’être superposée à d’autre couche picturale. Aspect mate, opaque mais moins que la détrempe. Les couleurs ont plus d’éclat. On ajoutait du vernis pour avoir un aspect brillant quand tout était bien sec. Fragile de conservation mais moins que la détrempe. Mais quand elle est bien sèche, elle

esquisse ? C’est la première idée qui nous vient à l’esprit, un essai, un brouillon graphique qui sert à composer son projet. Qu’est qu’une vanité ? On appelle « vanité » les images peintes ou gravées qui invitent à méditer sur la brièveté de la vie terrestre. Le motif de la vanité a été en vogue particulièrement au 17ème siècle. « Les vanités » se constituent sous la forme restreinte d’une nature morte réunissant divers objets représentatifs de l’inéluctabilité de la mort et l’illusion

" Tout art est parfaitement inutile. " Oscar Wilde, Préface au Portrait de Dorian Gray - 1891 Avant de jouir de l’importance qu’elle connaît aujourd’hui, l’oeuvre d’art, qu’elle soit littéraire, picturale ou encore musicale, a du lutter contre ses nombreux détracteurs. Accusés d’hérésie, d’amoralité, de perversion, de sadisme, les auteurs ont toujours du lui trouver une bonne raison d’exister et de tenir une place importante dans la société. Si l’on pouvait croire que cette

fable dont la morale est que la science véritable est au service de | | |l'humanité, que son but est de travailler à l'avancement du progrès et non de servir| | |la vanité, l'ambition ou la tyrannie d'un seul individu (JACOBS, 1959, 68, v. 8). | |Horizon d'attente du lecteur ? |Connaître un agréable passe-temps. Le lecteur s'attend à lire un récit de | |

et les portraits étaient encore considérés comme les sujets les plus nobles, les paysages, les natures mortes et les scènes de genre ont également été de plus en plus courants dans les pays catholiques et ont été les genres principaux des pays protestants. La prospérité de la Hollande du 17e siècle a conduit à une énorme production d’oeuvres d’art : des scènes de genre, des paysages, des natures mortes, des portraits ou des peintures d’histoire. Rembrandt le maître de l’art baroque européen.

position polémique, Antonin Artaud a eu le mérite d´ouvrir un débat important en défendant une conception spectaculaire du théâtre : art complet qui fait une plus grande part au langage du corps, à l´émotion, mélangeant chorégraphie, musique, arts picturaux. Cela a permis d´élargir le champ de la création, renouvelant notamment l´interprétation des pièces classiques en leur redonnant une nouvelle jeunesse. Néanmoins, cette opposition entre le dramaturge et le metteur en scène peut déboucher sur des

toile, depuis les petites scènes de genre à quelques florins jusqu'aux grandes scènes historiées et aux portraits de groupe – guildes, milices, régents d'hospice – qui pouvaient atteindre plusieurs centaines de florins (1 600 pour La Ronde de nuit), à charge pour chaque personnage représenté de payer sa quote-part, comme pour les commanditaires des expéditions commerciales. L'incitation était dès lors forte pour les « artistes » à se spécialiser dans un genre particulier : Hobbema et Ruysdael dans