Le Gouvernement Révolutionnaire 1792 1794

n'ont pas acceptés l'idée moderne de révolution de 1789. En réalité, on n'a pas fait table rase avec le passé. En 1789 il y a certes un changement de régime (monarchie absolue devient monarchie constitutionnelle en 1789, puis on abolit le régime en 1792). Mais à d'autres égard il n'y a pas rupture notamment en matière administrative et de centralisation : certains ont analysés le système comme par exemple Alexis de Tocqueville. La révolution n'a fait que parachever la centralisation qui avait déjà

de se présenter comme député d'Aix, soutenu par de nombreux membre du parlement de provence. La candidature de Mirabeau, au nom du tiers-état le décide à se présenter à Toulon. Mais il doit également renoncer. Il adopte tout de même les idées révolutionnaires de 1789 qu'il défend au parlement de Provence et au conseil municipal d'Aix. Tant l'inimitié de Mirabeau à son égard que le peu d'enthousiasme qu'il sembla avoir manifesté pour les idées nouvelles, éloignèrent Portalis de l'Assemblée constituante

peur qu’elle gagne leur propre pays. La France entre donc en guerre le 20 avril 1792 contre la Prusse, l’Angleterre, l’Autriche, l’Espagne et le Piemont. Le roi pense ainsi que les révolutionnaires seront battus et qu’il pourra récupérer le pouvoir, il vote donc pour la déclaration de la Guerre, mais les premières batailles sont catastrophiques pour les révolutionnaires. Danton prend alors le pouvoir le 10 août 1792, suite à l’annonce de l’Autriche qui veut décimer la population parisienne, du fait

serment à la Nation et à la loi. L'enthousiasme y fut porté à son comble. Une seconde fédération eut lieu le 14 juillet 1792 ; mais l'union et l'entraînement qui avaient signalé la première avaient déjà fait place aux méfiances. Pendant les Cent-Jours (1815), on tenta de renouveler les anciennes fédérations à Paris et dans la Bretagne, mais sans aucun résultat. 11 juillet 1792 L’Assemblée législative proclame « La Patrie en danger ». Depuis le début de la guerre contre l’Autriche, en avril, les

censitaire et universel, souveraineté nationale, séparation des pouvoirs, assemblée constituante, citoyenneté... Revenons ainsi sur les premiers pas de la révolution française, le début du commencement; afin de mieux comprendre l'élan réformateur révolutionnaire de la fin de l'Ancien Régime. I- La rupture de l'Ancien Régime Dès la fin du règne de Louis XV, la bourgeoisie française conteste le pouvoir absolu du roi. D'un autre côté, les nobles font leur possible pour accroître les revenus qu'ils

droit naturel (= droit universel et intemporel càd partout et pour toujours: N Bonaparte "Ce qui est bon pour les français est bon pour les autres peuples" Le CC est le droit naturel, il doit s'appliquer partout) [Contexte politique] 21 Avril 1792- 1795: l'Empire Français est en guerre. Cst une guerre de système, l'armée française est victorieuse, se sont des guerres de conquêtes. 60 départements/ 130 départements-> territoires annexés de la République française donc le CC est appliqué. Il l'est

France depuis 1789. Que sais-je ? Duverger, Les constitutions de la France Bodineau et Verpeaux, Histoire des Constitutions de la France Introduction : La France pré-révolutionnaire Section 1ère : La tradition monarchique du pouvoir La monarchie fut le mode permanent de gouvernement de la France jusqu’en 1792. La France avait connu une stabilité institutionnelle issue de la dynastie des Capétiens qui durait depuis plus de 800ans. À la veille de la Révolution de 1789, la Monarchie

et politiques, en plus de la liberté de culte, à la minorité protestante de la France où le catholicisme est la religion principale de l’État. 2. Qu'est ce que la régence ? Qu'elles sont les caractéristiques économiques et culturelles de ce gouvernement ? La régence est une période durant laquelle un monarque ne peut gouverner pour cause d'absence, de jeunesse, de maladie … On nomme une autre personne pour le faire jusqu'à sa majorité, ici 13 ans. Lorsque Louis XIV meurt, Louis XV n'est

«n'oubliez jamais sir, que c'est la faiblesse qui a mis la tête d'un roi sur le billot». Avec Turgot, on peut considérer que l'Ancien Régime a joué l'une de ces dernières cartes. Les réformes proposées par Turgot seront reprises par les révolutionnaires français. B) Ultime tentative de réforme. Après le renvoi de Turgo, on assiste à une nstabilité ministérielle, Louis XVI remplace les uns après les autres le contrôleurs généraux des finances mais aucun de ceux ci, chargés de remédier à

sur les principes du devenir de l'humanité. Pourtant, ces œuvres, connues tardivement pour la majorité d'entre elles, ont moins d'importance dans l'immédiat et jusqu'au premières décennies du XIXe siècle que les productions du courant contre-révolutionnaire, qui marquent profondément l'opinion, incapable de comprendre la violence qui a lieu en France. Pour lever cette incompréhension, ses auteurs multiplient, dès 1789-1793, les livres afin de dévoiler et de dénoncer ce qui leur semble contenu dans