Le Héros Stendhalien

carrière ecclésiastique. Le rouge, couleur de la légion d’honneur, est le symbole de la carrière militaire quand le noir est le symbole de la carrière religieuse. Dans le roman, Stendhal, avec un style nerveux, fait vivre dans une action rapide un héros lyrique qui dissimule une grande sensibilité sous un apparent cynique. Le rouge peut être considéré comme un présage de mort dans le début du roman, qui se réalise finalement à la fin : c’est le sang de Mme de Renal que fera couler Julien. Roman

subjectif Le critique Georges Blin en analysant les techniques narratives du roman stendhalien parle de restrictions de champ et de monologue intérieur. La restriction de champ se définit par le fait que la perception du monde extérieur est racontée par le regard d’un personnage, notamment le protagoniste de par son regard et par ses sensations. Nous voyons les autres personnages et les événements que par les yeux du héros et nous ne voyons que ce qui l’intéresse, l’étonne et le dérange et c’est le personnage

romans est d'expliquer le présent par le passé et d'atteindre une forme de vérité historique. Réalisme et Naturalisme : * Le « petit fait vrai » : En situant ses romans dans une époque récente, Stendhal s'écarte du genre historique. Si ses héros, déchirés entre leurs idéaux et la médiocrité que leur impose la société, restent tributaires d'une vision romantique du monde, il ouvre cependant la voie d'un réalisme nouveau. Il entend fonder sa fiction sur l'étude du vrai et copier la réalité d'après

L’argumentation 4) La poésie (Vous tomberez à l’écrit sur l’un des 4 objets d’étude) Pour l’oral, nous devons étudier une vingtaine de textes, 5 par objets d’étude. 1er objet d’étude : le Roman 1ère séquence : Du héros à la crise du personnage Définition du héros Texte n°1 : La mort de Gavroche (extrait des Misérables de Victor HUGO, 18451862) Texte n°2 : Un novice au feu (extrait de la Chartreuse de Parme, 1838, STENDHAL) Texte n°3 : Le forgeron au travail (extrait de l’Assommoir

aventures qui vont lui permettre d’en ressortir grandit. Le combat contre les « géants », qui n’étaient en réalité que des moulins à vent, permet de mettre en avant le caractère comique de ce récit. De plus, le personnage de roman et plus précisément le héros peut se retrouver face à une quête à réaliser. Nous pouvons ainsi relever le personnage de Clélie dans le roman éponyme de Mlle de Scudéry. Cette dernière dresse la Carte du pays de Tendre qui est le pays de l’Amour et est imaginaire. La carte représente

nécessaires à l’élaboration d’une bonne œuvre. Le romancier crée ses personnages tout d’abord en leur attribuant un nom qui peut être significatif et révélateur. En effet, la désignation d’un héros peut donner une information sur son physique, son caractère, sa vie. Par exemple, la naïveté de Candide, le héros voltairien, est inscrite dans son nom. Où alors, l’état physique de cette pauvre petite créature si incomplète et à peine ébauchée est, selon les dires de Victor Hugo, auteur du roman Notre-

en prose, des mémoires, etc. C’est dans les années 1830-1840 que le roman commence à faire partie de la littérature « sérieuse ». Au début du XIXe siècle, il existe trois grands types de roman : le roman picaresque : il s’agit d’un roman dont le héros est un aventurier issu du peuple et qui est volontiers voleur, mendiant ou vagabond ; le roman sentimental : il véhicule la sensibilité, la sentimentalité. Il s’agit des romans d’amour (avec des intrigues amoureuses et des analyses d’ordre psychologique)

excuses, entremêlées d’autant de révérence » puis « toutes sorte d’objections » ; « Toujours plus disposé à incidenter ». Ici le paysan joue la comédie en altérant les hyperboles de courtoisie avec les accumulations de critiques. Cette comédie Stendhalienne indique que le père Sorel à quelques mésentente avec le maire de Verrière.Ensuite on passe au style direct avec l’interrogation du père Sorel, je cite : « cet habit noir lui restera ?». De plus il y a le champs lexical de l’argent, je cite : « cent

personnage. Dans bien des romans, la représentation des passions ne peut que contrevenir aux normes d'une société – lesquelles, ne l'oublions pas, font partie du matériau romanesque dans la mesure où elles sont susceptibles d'être récusées par le héros. Notons que Zola faisait de la passion individuelle le critère de distinction entre les véritables protagonistes de ses romans et les personnages secondaires ; seule la passion pouvait être le moteur de l'action. Prenons, enfin, l'exemple d'un genre

de son époque et faire concurrence à l'État civil. Comprend: → 2209 personnages en 91 ouvrages -romans reliés par l'intrigue et les personnages. -Comédie Humaine = montre un corps social bourgeois où prédominent des rapports conflictuels. -héros balzaciens :Actif, ambitieux il est obstiné. Mais la force qui l'habite n'est pas maîtrisée et l'emporte => devient fatale = instinct exclusif ex/ amour paternel du père Goriot -marginal par rapport au romantisme mais s'y rattache car => passion