Le Jeu Et Le Sérieux

manière peu subtile ! II.COMMENT ? Le comique de langage a) Le « merdre » initial Néologisme3, création d'un juron typique du père Ubu qui donne dès l'abord sa « couleur » scatologique à la pièce, et annonce le fait que Jarry ne se prend pas au sérieux. Provocation, grossièreté affichée. 3 Néologisme : création d'un mot nouveau ou nouveau sens donné à un mot existant. 2 Première LA n°1 Ubu roi Mme Bissuel b) Le plaisir des jeux de mots – – – Néologisme : « merdre » Expressions typiques

Mise en place du décor : description progressive comme un « zoom » de la foule aux juges. Une seule et même phrase qui s'allonge pour adopter le point de vue de Pythagore. L''anadiplose (jeu de ricochets entre les mots, la fin d'une proposition étant reprise dans le début de la suivante) permet au lecteur de « découvrir » tous les éléments un à un. Sans vue d'ensemble, le « tribunal » perd de son harmonie, de sa cohérence globale et donc de sa solennité. L'emploi de la polysyndète (multiplication

Les registres 1. Les registres sérieux Le registre pathétique Le pathétique (du grec pathein : souffrir) provoque la compassion du lecteur par l’évocation de souffrances poignantes. Le registre tragique héros solitaires, confrontés aux drames de la destinée humaine : les passions dévastatrices, la fatalité, le mal, la mort. Le registre épique héros surhumains, confrontés à des obstacles colossaux, dans un univers immense ou s’exercent encore des forces surnaturelles

sont les plus récentes. Les auteurs qui s’en réclament mettent l’accent sur l’aspect ludique du comique, de l’humour, sur l’importance du jeu. Certes, rire de l’autre, c’est parfois (souvent ?) le dénigrer, et en cela il n’y a pas beaucoup de bienveillance. Mais rire est avant tout un acte joyeux et un plaisir. Si certains focalisent leurs recherches sur le jeu, d’autres associent ce dernier à un sentiment de sympathie.L. Dugas est probablement l’un des premiers auteurs à avoir dégagé le caractère

un regard neuf sur les choses. Ex. Francis Ponge dans le Parti pris des choses qui fait un poème sur le pain. Il voit les Alpes dans la croute du pain ! B. Une évasion liée à une utilisation particulière de la langue (vers ou prose poétique) : jeu sur les sonorités et les rythmes. II. Conséquence, évasion vers un monde intérieur A. La poésie se prête bien à l'expression des sentiments personnels (le lyrisme) car son langage particulier est expressif. Les effets poétiques cités

déplacements. Pause pour boire 15 minutes Zone assez grande délimitée par des plots Peu de consignes. Veiller à ce que tout le monde écoute. Claire et précise. Mise en place efficace. Des ballons lancés trop en hauteur. Situation 1 -CONSIGNES : -Jeu vers l’avant autorisé, 3 pas possibles. -5 contre 5 -BUT : Faire des passes pour progresser marquer dans l’embut adverse. (aplatir le ballon au sol) Intercepter le ballon pour les défenseurs -SECURITE : -Pas de contacts

scène de séduction par Suzanne qui discrédite Chérubin à plusieurs reprises, où elle le traite d’enfant et de jeune fille : « Mais voyez donc ce morveux, comme il est joli en fille ! J’en suis jalouse, moi ! », La comtesse se prend tout de même au jeu puéril du ruban, et reste sensible à Chérubin. En effet lorsque Suzanne rabaisse Chérubin, la comtesse réagit, et cherche à rester seule avec lui. Elle ne partage pas la moquerie de Suzanne : « D’un ton glacé : Occupez vous plutôt de m’avoir du taffetas

du théâtre et du jeu. Montrez qu'à travers ce portrait de la Cour, c'est une comédie humaine que La Bruyère met en scène. La Bruyère met en scène une comédie humaine en effet, dès le début de ce chapitre il evoque le champ lexical du théâtre «Un homme qui sait la Cour est maître de son geste» (caractère 2), pour lui, la Cour est comme un jeu, et il faut le meilleur au jeu pour pour gagner, comme on le remarque dans le caractère 64 qui ne mentionne que des champs lexicaux du jeu «La vie de la Cour

Pensez-vous que l'on puisse traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique? Il est communément admis que les sujets graves et sérieux doivent rester discrets et ne doivent pas attirer l'attention. Or, certains artistes ont réussis à traiter ces sujets comme la guerre ou la mort avec légèreté. D'amblé nous pouvons nous demander si il est possible de traiter des thèmes et sujets grave avec humour. Tout d'abord nous observerons pourquoi il est possible d'aborder des

outragé ? (veut provoquer la pitié) • Valet : gai « riant »/ bon vivant/moqueur « siffle/chante et rie pendant que son maitre lui parle » = registre comique: comique de geste avec la bouteille de vin. Deux personnages opposées l’un est noble, sérieux, et l’autre est gai et naturel. La sympathie du spectateur va du côté du naturel et du rire. Il s’agit d’une dorme de persuasion – émotions. 2. Renouvellement du personnage comique: volonté de persuader et convaincre • Utilisation des registres