Le Juge Est Il Juste

donné au juge qui applique la règle de droit. Équité justice: si on se tient à la définition large de l'équité ils sont similaires. Au sens restreint l'équité assoupli la règle de droit. L'équité est ce à quoi aspire le droit. La règle de droit aspire à l'équité mais elle n'est pas l'équité. Parce qu 'elle est générale, abstraite par certain aspect elle peut se retrouver injuste. L'équité passe parfois par le droit mais parfois demande à l'écarter. Est-ce que le droit est toujours juste ?

exemples. Paradigme entre le positivisme et le juste-naturalisme. La plupart de nos lois sont fondés sur soit l’un soit l’autre. Quel est la raison d’être du droit ? Ces deux paradigmes apportent des réponses très différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs

Le droit est-il juste? Quand on pose la question qui est de savoir si le droit est juste, il faut avant toute chose savoir ce qu 'est « être juste ». Est juste celui qui respecte un critère de justice. Cependant, nous employons sans cesse des critères implicites, puisque nous ne cessons de qualifier tel ou tel acte de juste ou d’injuste. Le mot “justice” est construit à partir du latin « jus », qui signifie le droit. Cette première piste suggère que le respect du droit permet de définir et de

point de vue juste-naturalisme : le précurseur se nomme Aristote au Ve siècle avant J-C puis Saint Thomas D’Aquin au XIIIe et au XVII Grotius un néerlandais . Pour eux, le droit,la règle est obligatoire car elle est juste ( en latin signifie « droit » ) car elle est conforme à un ordre . Pour Aristote l’ordre du Cosmos . Pour D’Aquin c’est la justice divine. Pour Grotius qui est du courant humaniste, le droit est juste car conforme à l’idée de l’Homme rationnel. Le courant de pensée juste-naturaliste

positif 1er cas : Une action légitime mais illégale Ex : Vouloir arrêter une centrale nucléaire en bloquant la salle de contrôle, abréger la vie d’un malade incurable, se venger d’un meurtrier en le tuant. Une cause peut être ainsi bonne ou juste dans l’intention c’est-à-dire légitime, et être en même temps, dans sa mise en pratique tout à fait illégale. 2ème cas : Une action légale mais illégitime Ex : Le problème de l’expulsion : Un propriétaire a-t-il le droit d’expulser son locataire

en sous sol et réservés aux esclaves obscurs :  « -Ah !cela coûtait donc si cher ? » (Par exemple : la culture demandait en fait tant de barbarie ? Métropolis) «  Je ne savais pas » ou « si j’avais su ! ». Mais, à y regarder de plus près, si le juge sévère rétorque : -« Allons assez d’enfantillages et de mauvaise foi, qui veut la fin veut également les moyens, vous saviez très bien ce que coûtaient vos folies », il dit exactement le contraire de : la fin justifie les moyens. Nous proposons

le rôle du juge ne peut être que celui d’appliquer la loi purement et simplement d’où cette phrase sans doute exagérée attribuée à Montesquieu : « Les juges de la nation ne sont que la bouche qui prononce les paroles de la loi ; des êtres inanimés qui n’en peuvent modérer ni la force ni la rigueur…Des trois puissances, celle de juger est en quelque sorte nulle ». Seulement, le juge étant l’instrument d’adaptation des lois aux réalités sociales et la loi ne pouvant tout prévoir, le juge a souvent

prononcée effectivement par le juge. En effet, on suppose qu’à la suite d’un procès pénal, un tribunal constate juridiquement l’existence d’une infraction et ainsi la personne déclaré coupable. Ainsi elle se voit influencé une sanction pénale qui est en quelque sorte la réaction de la société à la commission de l’infraction. Deux règles s’imposent alors au juge. Le tribunal doit prononcer une sanction et il doit le faire immédiatement. Cela signifie alors que c’est le même juge qui constate l’infraction

l’étymologie, doit être considéré comme juste tous se qu’une société considère comme telle à travers son système de loi. « Positivistes » « légalistes » : ce qui pense que s’est seulement la loi qui a valeur de justice. Celons cette définition « positivistes » ou « légalistes », le juste et l’injuste sont synonyme de l’égale et de illégale Problématique : _Peut on réduire la justice à sa seule dimension juridique ? _Une loi est elle nécessairement juste du seul faite quel soit conforme au droit 

Introduction au droit. TD : Plan Détaillé. en grand 1 le juge et le législateur a-le juge applike la loi b-le juge interprète la loi en grand 2 le législateur et le juge a-la loi s'impose au juge b-la loi s'inspire de la jurisprudence Introduction On considère souvent que la différence entre le rôle des juges et des législateurs est clairement établie. Dans les faits, le débat se fait chaque jour et la ligne au-delà de laquelle l'intervention du juge n'est pas acceptable est de plus en plus mince