Le Juge Pénal Et La Hierarchie Des Normes Répressives

conduite, et qui offre l’avantage de viser d’une manière générale toutes les règles présentant ce caractère, quels qu’en soient la source (loi, traité, voire règle de Droit naturel) ou l’objet (règle de conflit, Droit substantiel). Bergel : « les normes juridiques expriment le « type concret » ou la « formule abstraite » de ce qui doit être dans les relations juridiques. » Les principes juridiques : Règle juridique établie par un texte en termes assez généraux destinée à inspirer diverses applications

Section 1 / La définition de la procédure pénale. I – Définition restrictive contre définition extensive. La procédure pénale renvoie au procès, et notamment au procès pénal, qui est un instrument juridique permettant de mettre en œuvre la réaction de la S, de l'état, face à un acte qui a porté atteinte à l'ordre public. Première définition de la procédure pénale, relativement restrictive, classique – elle est définie comme l'ensemble des règles régissant l'organisation et la compétence

application des règles de droit pour une personne donnée dans une situation donnée.   Lex mercatoria: la loi marchande Les commerçants internationaux ont leur propre forme de loi, une société pas très structurée qui essaie de créer un système de normes à part. Lex sportiva   Quels sont les acteurs de la vie juridique? Quelles sont les règles qu'ils mobilisent? Comment cela se traduit pour leur situation respective?       Partie 1 : La diversité des acteurs du droitTitre 1 : La diversité

.professeur réfèrent (poser des questions) .courrier électronique (giron.p@gironplace.fr) partiel : le 7 janvier : partiel de droit 11h-14h INTRODUCTION AU DROIT PRIVE : 2 grands espaces juridique : privé et public (3eme : droit pénal). - Le droit public : rapport vertical entre l'état (protection) et les citoyens et vice versa. Composé de 2 entités : le droit constitutionnelle (déclaration des droits de l'homme) et le droit administratif (passeport, toutes les administrations

Introduction Le droit pénal est d'abord un droit avant d'être général. En tant que droit pénal il a pour but d'examiner la criminalité, le pénaliste se fixe pour but d'examiner la criminalité essentiellement sous un angle juridique car d'un point de vue sociologique l'infraction est tout comportement antisocial sanctionné ou non. L'infraction est donc au centre de son système. L’étude du droit pénal a un double objet : l’étude de la criminalité et l’étude de l'infraction. La criminalité

individualiste: tendance actuelle, regrettable, car multiplication des « droits à » L'enseignement du droit est fait essentiellement d'une mise en relation constante de ces deux versants. Elle passe souvent par le jugement, la décision de justice. C'est le juge et les tribunaux qui sont chargés de dire le droit pour chaque droit particulier. Le tribunal interprète la règle de Droit objectif et l'applique au cas particulier, qui n'a pas toujours été prévu par le cas général. Première partie: Différentes

confusion provenant de la popularité du droit pénal. Dire que la règle de droit a pour particularité d’être sanctionnée par l’autorité publique ne signifie nullement qu’elle s’accompagne toujours d’une menace de punition ou de peine. La notion de sanction doit être entendue de manière large, elle signifie qu’il est possible d’en exiger l’exécution au besoin en recourant à la justice. C’est la possibilité en cas de violation de la règle de droit de saisir le juge pour faire constater cette violation et

personne, à son épanouissement intérieur, elle s'adresse à un individu pris isolément. Alors que le droit lui s'adresse à un ensemble de personne et il a pour objectif de réguler les relations entre les personnes. → Le droit est le juge de tous et la morale est le juge intérieur. Ce qui les distingue est aussi la sanction, en effet la sanction, dans le cadre de la morale, est une sanction intérieure, personnelle. En revanche le droit sanctionne de l’extérieur car c'est une autorité publique qui

technique se manifeste aussi par la rigueur du langage. Il est impossible d’employer un mot pour un autre sous prétexte que les situations que ces mots désignent sont presque voisines. Exemple : le législateur « dispose », « énonce », « proclame ». Le juge « décide ». Le contractant « stipule ». La difficulté est que le langage juridique utilise de nombreuses polycènes (plusieurs sens possibles). - Un même mot peut avoir un sens commun et un sens juridique. Exemple : en droit, le mot « fruit » désigne

puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire : car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d'un oppresseur. Parler de justice suppose donc d'avoir à l'esprit qu'il s'agit avant tout d'un art et non point d'une science. » Aristote disait dans ce sens que le droit est : « ars boni