Le Jugement Critique

qui nous amène au principal problème : les citoyens peuvent-ils critiquer les lois auxquelles ils sont soumis ? La première phrase du texte laisserait penser que non. Néanmoins Spinoza apporte une nuance dès la seconde phrase en ajoutant « mais il peut avec une entière liberté opiner et juger et en conséquence aussi parler » (l.6). Un homme a donc le droit de s'exprimer librement afin d'améliorer les lois. Il faut que ses critiques soient fondées et fassent appel à la raison, il sera ainsi « le

qui au-delà de son aspect plaisant et divertissant, comporte une dimension critique. II/ La portée critique de cet incipit a) La critique sous-jacente de l'orgueil humain. La volonté de rabattre l'orgueil humain et du géocentrisme se fait sentir au travers des expressions dévalorisantes pour désigner la terre : « notre petite fourmillière » (l3), « notre petite terre » (l 10) ; « notre petit tas de boue » (l34) Critique de l’étroitesse d’esprit des hommes: • « nous ne concevons rien au-delà de

laissant à chacun la liberté de les trancher : Le jugement esthétique. La beauté est-elle objective ou relative ? Autrement dit, peut-on dire que certaines œuvres, certains aspects esthétiques sont beaux pour tout le monde, sont beaux en soi ? Peut-on dire qu'il existe des œuvres belles objectivement, pour tous ? Ou alors prétendre que ceci est faux, que la beauté n'est que purement subjective, qu'elle n'existe que pour soi ? Que le jugement esthétique dépend de chaque individu, et de la société

Montaigne. Il y raconte ses expériences, ses voyages. L’extrait est un passage argumentatif. Reflète bien la pensée humaniste. Essais = Expériences Critique la pensée occidentale. Problématique : Comment Montaigne m’est-il en valeur les indiens de cette page ? Plan : I. Montaigne raconte une histoire II. Critique des Espagnols III. L’image du bon sauvage Développement : I. Montaigne raconte une histoire 1. Situation a) Les espagnols arrivent en Amérique

caractéristiques en tant que source du droit. A. La jurisprudence source du droit Ceux qui prétendent que la jurisprudence n’est pas une source du droit invoquent certains obstacles à la formation d’une règle jurisprudentielle. 1. Analyse critique des obstacles à la formation d’une règle jurisprudentielle Pour qu’il y ait règle, pour qu’il y ait jurisprudence, il faut en principe que l’on puisse relever un ensemble de décisions concordantes. Une seule décision n’est pas en principe jurisprudence

caractères » de La Bruyère. Ils corresponde à deux chapitres différents, le premier étant « des jugements » et le second « les hommes ». Les deux autres textes préviennent des très célèbres « fables » de La Fontaine : « L’homme et la couleuvre » et « la besace ». Tous ces textes ont une valeur critique en particulier sur l’égoïsme et l’orgueil humain. Effectivement, nos deux auteurs porte un jugement péjoratif sur l’homme. Ils attaques surtout dans ces quatre textes sont égoïsme et sont orgueil

contemporaine… ! Mais on a beau critiquer l’art contemporain, nul ne songe à détruire ces toiles qui passent pour être n’importe quoi comme le faisait remarquer Merleau-Ponty dans L’œil et l’esprit (1961). On apprend doctement la poésie contemporaine et la musique contemporaine se joue et s’enseigne envers et contre tout. Par contre, les dessins d’enfants, les poèmes d’enfants, les bruits des enfants n’ont pas droit au même traitement. N’est-ce pas que derrière les critiques plus ou moins bien intentionnées

humanistes > savoir qui doit permettre l’action bien pensée. Faculté de jugement > essentielle => juge. Les Essais : exercice du jugement > sur tous les objets qui se présentent à lui : écrits ; évènements. Assume totalement l’héritage humaniste mais essaye de le dépasser. En plusieurs endroits des Essais : dit n’avoir aucune mémoire > cohérent avec son jugement des humanistes. Mémoire = art de la répétition, de la perpétuation ; Jugement = action bien pensée. Citation 5 : opposition entre les humanistes

notre enseignement Jean-Baptiste LEPETZ - IA IPR de Lettres Programme du cycle central, objectifs fondamentaux :     – donner aux élèves la maîtrise des principales formes de discours ; – leur donner les moyens de former leur jugement personnel et de l’exprimer de façon à être entendu et compris ; leur fournir les connaissances culturelles fondamentales nécessaires à la construction de leur identité individuelle et sociale ; – leur permettre d’enrichir leur imaginaire, et de s’initier

éléments importants sont à évoquer concernant la distinction entre l’artiste et l’artisan : d’une part, l’art qui vise la création du beau s’affranchit de l’utile, d’autre part il fait appel au génie. *le beau s’affranchit de l’utile : cf. Kant, Critique de la faculté de juger : “Le beau est l’objet d’un sentiment de goût désintéressé”. Par exemple, lorsque je trouve belles des pommes peintes par Cézanne, ce n’est ni parce que j’ai faim, ni parce que j’aime les pommes. Le beau ne vise pas l’utile