Le Jugement Critique

(la nature > Dieu ?) On ne peut le juger qu’après l’avoir lu. Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra : ton du défi, il s‘adresse à la mort (donc à Dieu ?). « la trompette du jugement dernier » > la mort > périphrase. je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge : on apprend que ce livre lui servira de « justification » de ses actes sur Terre à l’heure du jugement dernier. « le souverain juge » > Dieu sans le nommer pour ne pas donner uniquement

syllogisme: L13-14 «mais supposons» ● Insistance forte et oratoire: L1 «se bien» (x2) et l16 «je le répète encore» B- Le point de vue de l’auteur ● Son jugement: utilisation de la 1ere personne: «je dis»; «me»; «je n’ai pas».... ● Métaphore de la «balance» de la justice utilisée pour son jugement 
 ● Généralisation: elle s’inclut dans un «On». Elle utilise également des tournures impersonnelles: «il faut»; «il faudrait»; «ce serait».. C- les destinataires

poser une réflexion. Ce sont là des successions de jugements sans assises véritables. Seule la richesse et le pouvoir qu’elle engendre peuvent lui permettre de faire ses déclarations, sans pour autant poser ou réclamer le statut d’homme de génie. Son emprise s’exercerait donc à tous les niveaux. Son éloge de la richesse lui permet donc d’imaginer l’ivresse du pouvoir et ce qu’il en ferait. Mais cet éloge de la richesse sous-tend une charge critique. Tout l’éloge de la richesse, en décrivant les actions

est-elle chargée d’une valeur symbolique ? Nous répondrons à cette problématique en trois mouvements. Nous verrons d'abord qu'Oran est dépeinte comme une ville anodine, puis nous nous intéresserons au statut du narrateur qui apparaît mystérieux et critique, et enfin nous étudierons l'aspect symbolique de cette description. Oran est ici décrite comme une ville anodine, banale. Dès le début du texte, Oran est caractérisée de ville "ordinaire" (l.3). En effet, tout ce qui s'y passe est décrit comme

Axe sur le jugement : I. Autour du mot: Le témoignage - Le témoignage rapporte ce qui a été vu, entendu, perçu: il est donc ordonné à l'image, au reflet du sensible et aux vicissitudes du corps. Le témoignage en appelle à autrui parce que l'intelligible doute du sensible toujours particulier, toujours partiel et le plus souvent partial. Voilà pourquoi le témoignage en appelle à la comparaison avec d'autres témoignages: en lui c'est le sensible qui se faufile. - Dans le jugement au contraire

supprimer les opinions fausses et faire considérer les opinions comme des opinions ( développer l’esprit critique • Savoir qu’on ne « sait rien » ( les opinions qu’on prend pour des savoirs * Pas de vérité = aucune réalité, car la vérité est ce qui fonde la réalité [pic] -Tendance à juger comme vrai ou fausse les choses -Opinion= connaissance par ouï-dire (s’est ce que Descartes critique dans le discours de la méthode) -Il faut s’approprier les connaissances par ouie-dire : croyance

C'est-à-dire les trois questions métaphysiques Qui? Quoi? Comment? Et de là, il va à la condamnation de la simple opinion et la défiance à son égard, ici, il critique l'opinion pour savoir si l'on raison de la tenir. Grâce à ce regard impartial sur le monde qui l'entoure, il peut donc se poser et poser les vrais problèmes, pour enfin proposer un jugement tout en pesant les différents points de vue. Et de là, il parle de l'invention d'une norme tout en citant comme exemple la balance pour la mesure du poids

qu'il observe des remarques acerbes sus sa propre incompréhension, sur l'absurdité de la guerre et sur le comportement de son colonel. L'extrait donné ici est constitué par un ensemble de réflexions qui conduisent à une évocation réaliste et critique de la guerre. Elle est en effet présentée comme « une croisade apocalyptique ». I/ Les réflexions et les interrogations du narrateur Ecrit à la première personne, le texte rapporte les réactions du narrateur et le résultat de ses réflexions

lisons, ce serait un commencement admirable . Ne vous imposez pas à votre auteur ; essayez de vous fondre en lui.Soyez son compagnon de travail et son complice . Si vous demeurez distant, que vous êtes réservé et critique dès le début, vous vous empêchez d'accéder à la plus complète valeur [9]  possible de ce que vous lisez. Mais si vous ouvrez votre esprit aussi largement que possible, alors des signes et des indices d'une subtilité presque

en remontant jusqu’à leur origine, « leurs | | |premiers principes ». Tout d’abord, qu’appelle t-on une opinion ? C’est une croyance qui n’a jamais été| | |soumise à l’examen critique, elle n’a donc aucun fondement ferme, elle ne dispose d’aucune preuve | | |vérifiant ce qu’elle affirme. L’opinion présente des natures diverses : préjugé, stéréotype, foi, etc. | |