Le Jugement Esthétique

la fonction de l'art. Qu'accomplit-on en créant (l’artiste) ou en contemplant (le public) une œuvre d'art ? Cherche-t-on l'expression d'un sens, d'un message moral ou religieux ? Recherche-t-on seulement un plaisir particulier, une satisfaction esthétique ? Il est vraisemblable que l'art, comme la plupart des productions humaines, assume plus d'une fonction. Hegel, dans ce texte, soutient que l'art libère l'homme de ses passions. Que faut-il entendre ici par le terme « passion » ? Ce terme vient

réparation de son préjudice moral ainsi que la somme de 200 000 € en réparation de son préjudice commercial. Elle sollicite, enfin, une indemnité de 10 000 € sur le fondement de l’article 700 du Code de procédure civile et l’exécution provisoire du jugement. Dans ses dernières écritures du 26 avril 2010, la société Aguttes soutient que, contrairement aux affirmations de la société Artprice.com, celle-ci exploite l’intégralité des catalogues et non pas seulement les pages de couverture. Pour établir

Gérard Genette affine sa problématique au fil de sa réflexion mais en vient à se demander ce qui fait d’un texte un objet esthétique. Ainsi, il débute son article en relevant des points essentiels. D’une part, la réflexion qu’il construit tout au long de cet article ne porte pas sur la littérature en générale mais sur un seul de ces aspects à savoir « l’aspect esthétique » et d’autre part, la littérature prend forme autour du langage, elle est « l’art du langage ». A ce propos, il ajoute que la

essentiellement relative, voire subjective, elle dépendrait du jugement de goût individuel, ce qui remettrait en cause son universalité puisqu’elle ne serait pas commune à tous les hommes mais n’est-ce pas un jugement réducteur ? N’est-il pas possible de définir objectivement la beauté et donc d’en déduire son existence ? En effet, la beauté n’est-elle pas un bien universel puisqu’elle est la valeur à laquelle se réfère tout jugement ? Ce qui est beau, ne l’est-il pas véritablement justement lorsqu’il

de l’art 1-définition et problème Dans l’usage courant, on associe souvent le thème art à celui de beauté.une œuvre d’art pourrait être définir comme la représentation d’un idéal esthétique. Mais problème : toutes les œuvres ne sont pas belles et certains artistes revendiquent le non esthétique. Toutes fois quand nous pensons a quelque chose de beaux, nous nous représentons la plus part du temps un effet de la nature et non une œuvre d’art. Le philosophe Kant propose donc la définition

Commentaire composé sur un extrait de « De l’expérience » « Tous jugements en gros sont lâches et imparfaits », a écrit Montaigne, célèbre auteur du XVIème siècle, dans ses Essais publiés en 1580. Dans les Essais , il discute de différents sujets, dont celui de la justice. Cette citation donne le ton : Montaigne prend position contre les jugements qui sont effectués à son époque. L’auteur ne va pas se contenter d’une phrase mais va

au sens ancien concerne toutes les pratiques et les savoir-faire des Hommes qui aboutissent à un résultat non naturel et donc artificiel. Au sens moderne, c’est une production d’œuvres destinées à plaire, c'est-à-dire de procurer une satisfaction esthétique. C’est donc cette deuxième définition qui nous intéresse pour une œuvre d’art. L’œuvre d’art est une représentation particulière du monde, des émotions, d’une sensibilité. Elle est le fruit d’une production, d’un travail et se caractérise par sa

elle laisse en plan toute les questions d’esthétismes et de stylistiques qui sont nécessairement à la base de ce qui compose la richesse de la littérature. Sans cette considération d’un certain style dominant, d’une recherche de sens et d’un jeu esthétique, la littérature se verrait dénuée d’une valeur importante au sein de sa nature. Ce qui mène donc à la deuxième hypothèse proposée par Wellek et Warren : celle qui voudrait que la littérature soit en fait l’ensemble des œuvres majeures qui se

Conclusion Pour finir nous notons que le choix d’une intervention esthétique provient de deux éléments. Premièrement d’un choix personnel, qui découle des complexes personnels que chacun peut posséder ainsi d’une connaissance complète sur les risques et le déroulement de l’intervention. D’après nous, nous ne choisissons pas d’avoir réellement recoure à une intervention de chirurgie esthétique car nous sommes sous l’influence de la société. Nous pouvons donc constater que le choix ne nous appartient

[bac philo 2010] [corrigé] Série S, 1er sujet : L'art peut-il se passer de règles ? L'art est, dans son sens le plus général, un ensemble de procédés visant un résultat pratique. On distingue son acception technique de son acception esthétique : l'art de l'ingénieur n'est pas celui de l'artiste qui s'adonne aux beaux-arts : arts désintéressés qui visent la beauté. C'est ce dernier sens qui nous intéresse ici, car on ne voit pas comment l'art au sens technique pourrait ignorer l'usage de règles