Le Langage Libertin

Volanges. Celle ci est une mère omniprésente dans la vie de sa fille Cécile. C’est elle qui décide de son mariage avec Gercourt (Bastille). Cependant, elle se révèle très vite inefficace puisqu’elle ne s’apercevra pas du danger et livrera sa fille aux libertins en suivant les conseils de la marquise de Merteuil. De même, elle est d’abord la confidente de la présidente de Tourvel avant d’être remplacée par Madame de Rosemonde. La vieille tante de Valmont est la figure du sage dans le roman et dans le film

Ainsi pour le mythe de Don Juan un lecteur admiratif et fasciné sera intéressé par son évolution au cours des siècles à travers l’imagination de plusieurs auteurs. De Molière à Eric-Emmanuel Schmitt l’histoire de Don Juan reste la même, celle d’un libertin qui n’a de respect devant rien ni personne, qui séduit les femmes et qui finit par être emmené aux enfers par une statue. Pourtant chez Schmitt l’histoire est modernisée, puisque l’enfer devient la souffrance de l’amour perdu et la statue est représentée

Les relations Don Juan/Sganarelle         Le Dom Juan  de Molière, écrit en 1665, est la version la plus connue du mythe de Don Juan, ce séducteur libertin qui aime séduire, tromper et se moquer des femmes qu'il considère comme des objets. Molière a crée un personnage secondaire dans sa pièce mais d'autant plus important : Sganarelle, seul personnage de la pièce qui semble avoir une véritable dimension psychologique après son maître. Nous pourrons nous demander quelles relations entretiennent ils

périodes d'inactivité, il se consacre à l'écriture. Vers 1778, il commence à rédiger son roman Les Liaisons dangereuses qu'il publie en 1782. Les Liaisons Dangereuses est un roman épistolaire mettant en scène le déroulé du plan machiavélique des deux libertins, Madame de Merteuil et le Vicomte de Valmont. Le succès est assuré, mais le scandale aussi, son roman allant, d'après certain, à l'encontre des Lumières. Peut-on alors dire que les personnages de ce roman sont le reflet d'une société ? Étudions comment

Tout d’abord, on peut considérer Dom Juan comme un archétype du libertin. Il est contre la religion officielle, le christianisme ; il va adapter les valeurs sociales de la noblesse dans la séduction : « sa guerre est la guerre de l’amour » et, il va mettre en doute les valeurs de son siècle. On remarque qu’il est contre la religion dès le début, via son valet, qui fait l’éloge d’une substance interdite par l’église, le tabac. Par la suite, Dom Juan est à nouveau contre la religion lorsque Sganarelle

apparaît-il comme un virtuose du langage ? Par quels procédés Molière dénonce-t-il les faux dévots ? Quel rôle la tirade de l’hypocrisie joue-t-elle dans l’ensemble de l’oeuvre ? Quelle(s) réaction(s) ce texte peut-il susciter chez le spectateur ou le lecteur ? Situation du texte. Au fil de la pièce, Dom Juan reçoit plusieurs avertissements surnaturels (III, 5 ; IV, 8) qui s’ajoutent aux remontrances de son entourage. On pourrait donc s’attendre à ce que le libertin se repente et c’est ce qu’il fait

préféré est celui de douze syllabes, employé dans Le Roman d'Alexandre, d’où son nom, l’alexandrin. La préciosité1 est un mouvement culturel et un courant littéraire français du xviie siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé. Vers la première moitié du xviie siècle, entre 1626 et 1662 en avance sur son époque, il a profondément marqué son temps, par exemple avec le rejet de l'a priori de la supériorité

lors de la rédaction) a) Le libertin. remise en cause et attaque féroce de la fidélité dès le début de sa réplique : « la constance n’est bonne que pour des ridicules » description d’un homme attiré par le plaisir : « Je cède facilement à cette douce violence » oxymore servant à atténuer sa responsabilité, « rien qui puisse arrêter l’impétuosité de mes désirs », n’est pas maître de lui-même. Désirs qui apparaissent à la fois comme le but du libertin, mais aussi comme des pulsions impossibles

adversaires de Molière. La scène est donc « libertine », bien au-delà du libertinage de Dom Juan, qui n’est sans doute qu’une parodie de discours libertin. Elle l’est parce qu’elle affirme la prééminence du langage du corps sur tout autre langage, substituant en creux un sens « corporel » de l’expérience par-dessus l’expérience réductible aux lieux communs du discours philosophique (celle qui se réserve dans les florilèges). Elle est « libertine » dans la mesure où, à travers une théâtralisation

qui finalement met en valeur vos défaillances plutôt que votre culture. 1.3. Troisième exemple de sujet pour une dissertation au bac français Le libertin (à partir d’une citation de Crébillon fils) Est-il juste de penser, comme le dit Crébillon fils, que « c’est une erreur de croire que l’on puisse conserver dans le monde [des romans libertins] l’innocence de mœurs que l’on a communément quand on y entre […] et l’on y peut réussir qu’en se défigurant sans cesse ». Vous construirez vos réponses