Le Langage Libertin

profondément libertin du héros éponyme Don Juan. Le texte que nous avons à étudier, extrait de la scène 2 de l’acte I, est une tirade prononcée par ce dernier dans laquelle il développe sa conception de l’amour fondée sur l’inconstance du désir. En effet, s’adressant à Sganarelle, il se révolte contre la pensée conformiste de son valet qui croit en la vertu du mariage. Lecture Nous nous demanderons donc dans quelle mesure, à travers cette tirade, se profile le portrait d’un libertin qui ne

celle qui l’a écrite et entraîne une déchéance sociale. (Mme de Merteuil pour avoir transgressée sa règle énoncé dans la lettre (81) « Ne jamais écrire » subira une déchéance sociale qui l’obligera à l’exil. 2) Un roman libertin Protagonistes principaux= deux libertins Idée de la séduction comme d’un combat (champ lexical de Valmont dans la lettre 4). Merteuil jouie dans la destruction de Cécile qui permet celle de Gercourt et dans celle de Tourvel qui permet celle de Valmont.

jeune amant de Cécile, la rentrée de Cécile au couvent, et la fuite de Merteuil qui, honteuse, doit s'exhiler loin de Paris. Portrait d’un personnage : La marquise de Merteuilest le personnage principal du roman. Elle représente l'aristocrate libertine de l'époque Louis XV. Elle est intelligente et cultivée mais semble n'avoir aucun pitié. Elle veut controler les autres. Sa supériorité physique et intellectuelle, fait pense à celle qu'aveit les hommes de l'époque. Cette Elle semble ressentir un

le vicomte de Valmont, qui sont tous deux libertin. Le libertinage, c’est aussi de nouveaux codes, une nouvelle façon de penser, d’écrire. La vie en société est présentée comme un jeu de dupe dont les libertins maîtrisent les codes et enjeux. La séduction y est un art complexe ; la femme est identifiée comme une proie à « entreprendre », qui finit plus ou moins rapidement par céder devant son « chasseur ». On retrouve bien souvent, prodiguée par un libertin, une initiation, au sexe, au cynisme, au

SEQUENCE N° 1 INTITULE : Le théâtre : texte et représentation XVIIème siècle OBJET D’ETUDE : LE THEATRE : LANGAGE ET REPRESENTATION PERSPECTIVE DOMINANTE : étude des genres et des registres PERSPECTIVES SECONDAIRES : Histoire littéraire et culturelle : ORIENTATIONS PRINCIPALES : - texte et mise en scène - les différentes formes du langage théâtral - Les libertins et le libertinage au XVIIème siècle - La portée critique de la pièce OEUVRE INTEGRALE : Molière Dom

de vie et lieu d'expérimentation. Rousseau personnage important en philo. Rattachement au libertinage : mœurs ( bonheur devient plaisir, jouissance et importance des sens , intellectuel ( la Marquise, litté plus libre durant la Régence) libertin = esclave affranchi. Recherche dévoiler mécanisme des mœurs pour en dénoncer les dangers Louis XVI retour de la politesse, manières, gloire de l'apparence ( rattaché à la grandeur passée) vice et légèreté retourne dans l'ombre sous apparence

acharnée.). Libertinage La dernière et la plus discrète des influences exercées sur le roman est celle du courant libertin, libertinage de mœurs, jouissance sensuelle, mais également libertinage d’esprit, liberté prise avec les codes moraux d’une époque. Les deux figures principales de ce libertinage sont le duc de Nemours et le vidame de Chartres. Ils représentent l’homme libertin, qui peut se hisser au-dessus des conventions sociales pour vivre pleinement, jouir par les sens et par l’esprit, et

dès les premières paroles : les femmes sont interchangeables : ils passent d’une à l’autre sans pause, sans avoir terminé la conquête de la précédente • Son arme essentielle est le beau langage et Charlotte est consciente de cette capacité « Monsieur, tout ça est trop bien dit pour moi ». → Elle avoue que ce langage l’a séduite. • Personnage sans scrupule : il enfreint les règes de la morale et de la religion : - s’attaque à une proie facile (paysanne) : Charlotte dénonce leur différence sociale

libertinage a travers Dom Juan : libertinage d'idée, de mœurs de religion et de pensée. Dom Juan est libertin dans sa façon de pensé, par sa morale individualiste, c'est un hérétique (qui ne pense que par lui même) comme le qualifie Sganarelle dans la scène 1 de l'acte 1 lorsqu'il dresse le portait de son maitre a Gusman usant de termes dépréciatifs. Sganarelle présente son maitre comme un athée c'est un libertin de religion, il est séducteur et ne respecte pas le mariage, il ose défier le ciel notamment

un roman libertin et fantaisiste. Pour Diderot le corps doit être un thème privilégié ; c'est sur lui qu'il fait reposer le fondement de sa morale. Pour lui, plaisir et vertu sont indissociables. Ainsi la vertu n'a pas à être austère, elle doit procurer du plaisir ou alors elle ne sert à rien. Dans cette lettre, Sophie Volland est sa maîtresse ; il est alors marié, c'est une correspondance réelle, elle est abondante et Diderot y fait son autoportrait. Cette lettre est libertine car : il