Le Lecteur Doit T Il S Identifier Au Personnages

Fiche Français : Le roman Le personnage de roman : La construction du personnage de roman : I) Un élément du récit défini selon des catégories de la fiction Le portrait : -Le nom et les autres dénominations du personnage apportent des informations sur son milieu, son temps. Par ses connotations il enrichit aussi les représentations. Ex : La banalité bourgeoise du patronyme "Moreau". -La description physique constitue souvent un passage incontournable du roman. -L'habit peut le rattacher à

aspect fragmenté des réflexions du narrateur. • Il répond aux questions habituelles de l’incipit romanesque. Le narrateur est désigné dès le premier mot- « je »- comme personnage principal et le mot « homme » nous révèle qu’il s’agit d’un homme. La deuxième phrase informe sur l’époque-la guerre-en même temps que sur l’âge du personnage « douze ans » et le début du deuxième paragraphe indique le lieu, F… au bord de la Marne. Temps = imparfait / PS mais quelques particularité : nombreux présent de vérité

L’admiration et l’effroi devant les exploits du héros. Le héros épique : Il a des qualité morales et physiques exceptionnelles pour surmonté les épreuves. Il est vu comme un sauveur Le combat épique : Dans un contexte souvent guerrier, le héros doit lutter contre des forces naturelles, des monstres, des ennemis humains qui incarnent le mal face au bien. Dans un contexte plus moderne, le héros combat pour la liberté et la justice Procédés : -L’exagérations, des phrases longues et amples donnent

extrait) - « Promenons nous dans les bois » (comptine) - « Le loup et l’agneau » (fable de La Fontaine) - « La chèvre de Monsieur Séguin » (extrait du récit d’Alphonse Daudet) - La fable, le conte, les récits imaginaires sontils réservés aux jeunes lecteurs ? En quoi ces textes sont-ils proches ? Quel public visent-ils ? Pourquoi ? Quelle image donnent-ils du loup ? Dans quelle intention ? Bilan : Faire proposer une problématique de séquence autour de la peur du loup en s’interrogeant sur les

lexical peuvent être des noms, des adjectifs qualificatifs ou des verbes. exemple: scène-drame-coulisses-rôle-décor-actrice ==> Théâtre Les figures de styles: Une allégorie: représentation imagée d'une chose abstraite, souvent sous la forme d'un personnage accompagné d'éléments symboliques(un squelette armé d'une faux est l'allégorie de la mort, Marianne est une allégorie de la liberté). Une allitération: C’est la répétition de consonnes identiques. Exemples : «Pour qui sont ces serpents qui sifflentsur

entre eux, influencés entre eux. Victor Hugo à lu les textes d’Homère. On peut étudier un même mythe dans plusieurs cultures différentes, comme le mythe d’Ulysse que l’on retrouve dans différents textes, romans, où l’on aura différents personnages inspirés du personnage mythologique d’Ulysse. Le rapprochement formel permet de rapprocher des textes plus ou moins identiques, sur différents points. La littérature comparée permet de comparer deux choses. Il est d’usage de chercher ce qui peut être

montrerons que cette réflexion débouche sur une nouvelle question, à savoir si la création est bonne pour la civilisation. Comme nous l’avons dit précédemment, la guerre est au cœur de la réflexion de Paul Valéry. Dès le début de cet extrait il identifie l’Allemagne : «de Bâle à Cologne » (ligne 1), puis la France : « aux marais de la Somme, aux craies de Champagne » (ligne 2). Il évoque donc deux pays qui étaient des forces majeures de la première Guerre mondiale. Par la suite, il parle de l’Alsace

une « mini-biographie » de l’auteur. Pourquoi ce choix ? Est-il légitime ? La réponse de Paul Valéry est la suivante : « J’estime que la connaissance de la biographie des auteurs est une connaissance inutile, si ce n’est nuisible à l’usage que l’on doit faire de l’œuvre. ». Considérant ici l’ouvrage biographique et non la « mini-biographie », une autre opinion est-elle envisageable ? Ce problème peut être problématisé de la manière suivante : Quel impact la lecture de la biographie d’un auteur a-t-elle

Louis Vax écrit que l’art fantastique doit tendre à se faire oublier comme art car quand l’attention du lecteur se détourne des « faits » pour s’intéresser à l’art, le sentiment de l’étrange est près de se dissiper. Il y a donc, selon lui, un art fantastique mais cet art ne doit pas apparaître aux yeux du lecteur car il empêche le sentiment de l’étrange, élément central d’une œuvre fantastique, de prendre toute sa dimension. On peut donc penser que l’art fantastique réside également dans le fait

fictionnels, et ainsi de se convaincre du mélange des genres qui est à l'œuvre tout au long du livre, ce qui permettra de confirmer ce que l'auteur pense de son roman. Poésie : Il y a bien dans Enfance certains éléments que l’on peut clairement identifier comme poétiques. En effet, on peut dire que contrairement à ce que l’on pourrait attendre d’une autobiographie classique, Nathalie Sarraute ne tente pas de rendre compte de manière exhaustive et objective des évènements. Il s’agit pour elle de