Le Légal Est Il Légitime

la postérité « C'est légal par ce que je le veux ! ». Il exprima ainsi ce que lui permettait son pouvoir absolu, c'est-à-dire d'imposer la volonté d'une personne, la sienne, à toute une assemblée de magistrats. Notre regard actuel, emprunt de l'héritage des révolutions successives, et donc d'un système démocrate, nous conduit à nous interroger sur un acte tel que celui de Louis XVI au parlement de Paris qui nous semble inéquitable. Le pouvoir donné au Roi rendait cet acte légal, et Louis XVI était

Comment la violence légale peut-elle être légitime? Violence vient du latin violentia, violence (de caractère), fougue, emportement, humeur farouche, cruauté, rigueur (morale), dureté, dérivé de violens, violent, lui-même de vis, vigueur, force La violence est une force non contenue, brutale, une extrême véhémence, une grande agressivité, exercée par une personne ou un groupe de personnes contre quelqu'un pour obtenir quelque chose LEGITIME : légitime vient du latin legitimus, fixé par les lois

TD 2: Légalité et légitimité Commentaire: « Principes républicains de droit constitutionnel » d'Henri Fabre Comme le pensait l'écrivain français Chamfort '' il est plus facile de légaliser certaines choses que de les légitimer ''. Ainsi, il ressort qu'une distinction s'impose entre légitimité et légalité comme nous l'explique le professeur Michel Henry Fabre dans l'extrait de son ouvrage Principes républicains de droit constitutionnel publié en 1984. En effet, l'auteur utilise et

: 10/3/2004 -Format: Document en format FLASH protégé Existe-t-il des violences légitimes ? violences : Maux physiques ou moraux infligés délibérément à autrui. légitimes : Caractère de ce qui est conforme à l'équité, aux principes supérieures du droit ou de la morale. On oppose légitime et légal. Ainsi, ce que prescrivent des lois despotiques ou racistes peut être légal sans être pour autant légitime cad conforme au droit naturel. La violence n'est pas seulement un rapport de forces

clairement), établit au sein d'une société et qui respecte la morale : cette dernière serait l'opinion collective qui définit ce qui est juste. La morale est ce qui nous paraît légitime (le légitime est une notion qui n'a pas besoin de lois ou de règles pour être respecté par une société, exemple : il nous paraît légitime de donner un pourboire au serveur d'un café). La question qui se pose à nous consiste à se demander alors si le «juste» et «l'injuste» ne seraient que le fruit d'un accord passé

légaliser certaines choses que de les légitimer » a dit l’écrivain français Chamfort. En effet entre légitimité et légalité une distinction s’impose, un gouvernement tout d’abord se doit d’être légal, c’est ce que nous explique l’ingénieur Henri Fabre dans son ouvrage Principes républicains de droit constitutionnel, publié en 1984, année de sa mort. Dans l’extrait abordé ici, l’auteur nous parle du concept de légalité d’un gouvernement, pour lui un gouvernement est légal à partir du moment où il est conforme

« Droit » (« Une décision de justice »). C’est cette seconde idée que nous allons traiter tout au long de notre devoir. De cette façon, la justice est un droit moral ou droit naturel. Un droit universel qui repose sur la raison et ferait donc appel à la légitimé. La justice apparaitrait également comme un idéal universel. De l’autre côté, la justice est un droit positif désignant ensemble des règles et des lois propres à une société et donc ferait appel aux lois, à la légalité. Les besoins recouvrent l'ensemble

Constitutionnel. [...] [...] Légalité et légitimité du pouvoir établi. Dans nos démocraties un pouvoir légal semble être presque toujours légitime puisque le sentiment de la nation est reflété dans les résultats de l’élection. Mais la légitimité ne peut se réduire à l’élection. En effet un gouvernement peut parvenir de façon légale au pouvoir mais son action ne sera pas nécessairement légitime. Elle ne le sera que si le pouvoir exerce ce qu’il avait promis de faire, c’est-à-dire ce pourquoi le peuple

qui ne peut être supprimée sous aucune condition. Cette contradiction nous amène à nous demander s’il est réellement possible d’ôter à l’Homme sa Liberté. Cela signifierait qu’on en est physiquement capable, mais qu’il est aussi à la fois légal et moralement légitime de priver les êtres humains raisonnables de leur Liberté, de faire en sorte qu’ils ne puissent plus faire ce dont ils ont envie, qu’ils ne puissent plus jouir d’une quelconque Liberté, quelle qu’elle soit. Cela pourrait remettre en cause

de force de loi sans le secours de la légalité. La légalité passe par le respect des lois et règlement en vigueur. Un acte est légal s’il est conforme aux lois en vigueur dans un système juridique donnée. La légalité est établie par des textes de loi, des décrets, des arrêtés, … Le non-respect de celle-ci peut entraîner des sanctions juridiques ou des conséquences légales. En droit pénal, la légalité est le principe selon lequel les crimes et les délits doivent être légalement définis avec clarté