Le Lexique De La Révolte

manifestations. 2 . Méthode de recueil des données a) Méthode quantitative Dans un premier temps, j'ai décidé de faire une comparaison quantitative, en utilisant le logiciel Lexico, pour étudier le lexique de chacun des deux corpus. Ainsi, le but est de voir si les deux journaux utilisent un lexique similaire, ou si certains mots sont privilégiés par rapport à d'autres pour l'un des corpus. b) Méthode qualitative Dans un deuxième temps, je vais avoir une approche plus qualitative du corpus

.. renforce l'impression de … Métaphore filée : Dans ce … le champs lexical dominant est celui de … que l'auteur associe à … Ainsi, il n'hésite pas à comparer … Informations en + : titres d'oeuvres « parties de ces oeuvres » Procédés : Le lexique : -champs/réseaux lexicaux -niveau de langue (familier/courant/soutenu) La syntaxe : -longueur des phrases -construction des phrases (simple/complexe ; juxtaposées/coordonnées/subordonnées ; la période) -le rythme des phrases (binaire/ternaire ; accumulation)

amoureux , etc. La prière , les lamentations , les regrets , etc. Le doute, l’irrationnel, la folie. Stéréotypes :château hanté, fantômes, objets qui prennent vie, etc. Nombreux personnages : fées, ogres … Emploi de 1e personne « je », lexique des émotions et des sentiments modalités fortes , interjections , etc. Personnifications, comparaisons, métaphores, champ lexical de la peur, de l’étrangeté ou du doute, verbes de perception modalités fortes, etc. Personnifications, exagérations

dénonce le fait que les individus suivent les règles est normes de la société sans se poser de question et se révolter « lui faire perdre son air ahuri ». Leslie veut dépasser ces normes de la société « l’envie d’aboyer, de sortir mon flingue et de tirer..de casser les vitres, de sauter par la fenêtre » Il veut se libérer de cette société. Le texte de Marie N'diaye est tragique, En effet le lexique de la douleur accentue l’effet de tragique « froids », « sacrifices », « détruite ». D’autre part, on a

d'affrontement expose le rapport de force entre un maître et ses esclaves La scène est un dialogue argumentatif : une dispute s'engage dressant le portrait d un homme blanc barbare et dominateur qui refuse d'honorer ses promesses face a deux esclaves révoltés qui veulent s'émanciper. Le débat argumenté présente les arguments des adversaires : -Prospero refuse de donner la liberté tandis que les esclaves revendiquent ce droit. -Il insiste sur son pouvoir , sa volonté d'asservir les esclaves

que les premiers mots de ses Pensées sur l'interprétation de la nature Analyse On remarque dès le début de l'extrait que le ton général est imprégné de colère, d'indignation et de révolte. Ceci est renforcé par la présence de phrases courtes "nous sommes innocents, nous sommes heureux" l.3 et d'un lexique fort, voire féroce enfin la forte ponctuation (points d'exclamations) renforce ce sentiment de colère. On peut également remarque que le Tahitien emploi le pronom sujet "nous" cela renforce

tragique avec un lexique affectif très marqué : la dénotation affective est présente, avec « tristesse » et « tendresse » qui riment ensemble et sont ainsi mis en valeur, dans les vers 9 et 10, et« pleurs » dans le vers 10. Mais Clytemnestre attaque Agamemnon en argumentant que cette tendresse est fausse. Ainsi, elle emploie le verbe « feindre » dans le vers 9, le nom « artifice » dans le vers 6, qui mettent en relief l’hypocrisie qu’elle reproche à Agamemnon. Elle oppose ce lexique affectif à des

lit d'abord dans le choix de l'alexandrin et du sonnet. Baudelaire est donc un auteur charnière, partagé entre passé et avenir ; cette ambivalence est perceptible dans l'usage qu'il fait des figures mythologiques et littéraires mais aussi dans son lexique, hétéroclite et disparate. Enfin, la modernité de Baudelaire réside au plus profond de son oeuvre, dans sa poétique et son esthétique. Elle vient tout d'abord de cette exploration obsédante de sa propre conscience, de cette expérience métaphysique

l'allitération en [s] de la fin) - Vers 18 : "si bien que leur courroux par leurs coups se redoublent" (le redoublement des coups est mimé par les assonances en [u] et les allitérations en [k] et [r]. C. L'union des 2 thèmes dans la prosopopée finale Les 2 lexiques se rejoignent dans une horrible union formulée dans les paroles de la France à la fin (vers 31 à 34) : l'union du sang et du lait - "Vous avez (…) ensanglanté / le sein qui vous nourrit" : v. 31-32 : association mise en valeur par l'enjambement

interrogatives, exclamatives et négatives qui ouvrent la tirade montrent que Dom Juan remet vivement en cause les accusations de Sganarelle. Il débute sur un « Quoi ! » expressif, qui suggère que ses propos sont inadmissibles ; Dom Juan apparaît révolté, notamment dans la question rhétorique qui suit l’exclamation : « Tu veux qu’on se lie […] ? » Il n’attend évidemment pas de réponse et l’emploi de cette forme interrogative ne fait que dénoncer des propos jugés scandaleux. D’ailleurs, cette phrase