Le Lexique De La Révolte

avec une crauté inqualifiable : paradoxe sur la dimension humaine des nazis. Enfin, il est aisé de découvrir le lexique de la grandeur « larges « au v15, « immenses « au v17, qui rabaisse les nazis en les mettant en relation avec des entités dépassants l’entendement humain. CCL : - dimension religieuse puisque le poète : la faiblesse des nazis face à la condition divine. Le lexique de la religion « nef « au v10, ou encore « prières « au v14, qui se situe dans les vers portants l’anaphore

analphabète de peu de mots. Leur ménage était silencieux et en quelque sorte ce silence a également été transmis à son écriture. De plus cette œuvre parmi d'autres a été écrite pendant la seconde guerre mondiale qui a fait naître la pensée de la révolte en réaction aux crimes des peuples et a donné naissance à la philosophie de l'absurde. L'absurdité du monde et de la vie en tant que telle devient un trait typique des œuvres de Camus, dont L'étrange . Roman L'étranger

des récits couvrant la Renaissance, la monarchie absolue, le commerce triangulaire, l’esclavage, la Révolution française, l’Empire… - Le XIXème siècle à la première guerre mondiale illustré par des récits sur fond de révolution industrielle, de révolte ouvrière et de recherche d’égalité, d’urbanisation, de conquête de l’ouest… C’est aussi la vie des poilus, les tranchées, la vie des civils ou des soldats… - Le XXème siècle, la seconde guerre mondiale, jusqu’aux années soixante-dix, avec des récits

« Discours à l'Assemblée sur les caves de Lille, le 30 Juin 1850 » Le discours argumentatif de Victor Hugo datant du XIXème siècle a pour principal registre un registre polémique. Il est marqué par un lexique dévalorisant exprimant la misère comme «  pleines de miasmes stagnants » (l.8), «  les chassis pourris » (l.12), « population maladive et étiolée » (l.14), « haillons » (l.17). Par ces mots l'auteur dénonce directement la misère présente dans les caves de Lille. De plus, on remarque qu'il

romantique = aspiration à l’infini. Elle est en harmonie avec les êtres = exprime leur sentiment, solitude et le silence ( indicible) ex : «Atala» de Chateaubriand ou « Souffrance du jeune Werther » de Goethe ou « Adolphe » de B. Constant avec le lexique de la Nature et une personnification de la Nature. 4. L’amour Il y a une idéalisation de l’amour et de l’être aimé + connotation positive L'amour est pour le romantisme la seule fatalité invincible : il ne fait qu'un avec l'élan vital dans

la situation, en contraignant Arnolphe à changer de ton.   Le ton d’Arnolphe révèle une véritable indignation face à la fuite d’Agnès avec Horace. On relève dans ses répliques toutes les caractéristiques du registre polémique, à commencer par un lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent

pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. Annonce des axes Commentaire littéraire I. Une confession 1. Le lexique Le titre signifie « la confession d'un artiste ». Le lecteur s'attend donc à une confession. La confession impose que l'on avoue des sentiments intimes, parfois honteux. Ainsi, le lecteur s'attend à rentrer dans l'intimité du poète. Il y a également

anonyme ; sa condition d’ouvrier semble être suffisante pour déterminer sa personnalité et son aspect physique. Aucun portrait physique ou psychologique n’apparaît alors que nous faisons connaissance avec lui. 2. Tonalité PATHÉTIQUE : par moyen de - Lexique des émotions (l.2) « seul », (l.16) « saigner », (l.17) « espoir » - Mise en relief d’une souffrance physique et psychologique construite sur un schéma hyperbolique (pour mettre en relief la situation désespéré de la personne) 3. Structure 

terreur"). Il se montre courageux, orgueilleux malgré sa défaite, il ne renie pas ses conviction et s’obstine dans le refus du divin. L’épée qu’il brandit dans la scène 5 est le symbole de sa révolte. On note qu’à deux reprises, il dit "je veux". Il revendique sa liberté jusqu’au bout. Il emploi un lexique de la perception face au vocabulaire religieux et s’obstine à chercher des explications rationnelles comme la voix qu’il "semble reconnaître". Il refuse le mot de "repentir" et il meurt finalement

lyrique accompagnée d’un désir d’évasion utopique inspiré par le vent du sud et la chaleur de cette matinée d’hiver. Le ton de ce texte relève de l’amertume, de la détermination, de la frustration, de la mélancolie, de la résolution, voire de la révolte que l’on retrouvera à travers tout le texte. Si l’on se penche sur le titre du texte, on se rend compte qu’il possède trois caractéristiques notables : la brièveté, l’ellipse de l’article et la marque du pluriel. Ainsi, il s’agit d’un substantif