Le Lion Le Loup Et Le Renard

évènements. II ) L’hypocrisie du roi Le lion se donne l’apparence d’un être amical, honnête et dévoué à son peuple. En réalité, c’est un hypocrite qui maîtrise l’art du discours. Il ouvre son discours par une apostrophe amicale, « Mes chers amis », qui souligne la solennité du conseil. Toutefois, le terme « ami » est déjà hypocrite : les autres animaux sont soumis aux décisions royales et ne peuvent entretenir un lien d’amitié avec le roi des animaux. Le lion énonce la raison d’être du conseil: il

: « crimes », « pêchés », « offenses », « se sacrifier », « coupable », « s’accuse », « punir », peste rejeté au vers 4. Ennemi serait envoyé par Dieu pour détruire tout le monde suite aux « crimes »… Transition : ​Tragédie Sophocle, Œdipe. Lion allusion en évoquant dénouement bouc émissaire. ​C) Qui aboutit au sacrifice d’un bouc émissaire ​L’âne avoue au dénouement ses fautes avec naïveté : il est le nouveau bouc émissaire. ​Sacrifice non voulu et mise à mort d’un innocent qu’on doit

verrons tout d’abord la description de la peste et sa symbolique, puis l’hypocrisie du Roi soutenue par le parti pris de la Cour et pour finir l’injuste procès. Ce texte est divisé en plusieurs parties : l’introduction, le discours du Lion, le discours du Renard et des autres animaux, le discours de l’âne et la morale. La première partie est une amorce de la critique faite par La Fontaine. En effet, elle traite du sujet de la Peste. Tout d’abord, le narrateur décrit cette maladie comme un mal envoyé

le montre :On peut distinguer l’ouverture qui met en place le récit, du vers 1 à 14.- puis l’intervention du roi lion (15-33)-puis la prise de parole d’un courtisan : le renard 34-43- puis en 4 vers, les réactions des membres de la société animale des + puissants aux moins puissants. (44-48)-l’intervention du dernier animal : un herbivore, l’âne. (49-54)-Sa condamnation à mort par le loup et par le groupe social (55-62)- enfin en un distique (c’est-à-dire un couple de deux vers) la moralité (63-64)

La Fontaine en 1678. Il s’agit d’un poète moraliste français d’une grande renommée grâce à ses fables. Ce poète vécu sous le pouvoir du roi Louis XIV, sous un régime qu’il trouvait injuste. C’est pourquoi dans ce texte grâce aux personnages comme le Lion et l’âne il nous fait passer un message critique de ce pouvoir oppresseur. Ainsi on étudiera comment l’auteur renforce-t-il sa thèse par le récit ? De cette manière nous étudierons dans un premier temps la manière habile, discrète et convaincante de

syllabes. V.29 : effet de surprise avec une cassure du rythme. On met en valeur la férocité du Lion qui s’attaque aux hommes, imite la rapidité de l’attaque. Rimes variées : 2 rimes plates suivis (V.1-2)(V.15-16) ; Rimes embrassés (V.3-6) ; rimes croisées (V.10-14). * Variété entre le mélange récit-dialogue. L’auteur alterne entre narration et discours. Trois passages au Discours Direct ( Le Lion, Le Renard, L’Ane ). L’auteur vari aussi la manière de rapporter les paroles. On a aussi du discours

concéder à Rousseau que les fables présentent souvent une vision pessimiste de la vie, qui n'a rien de merveilleux : dans le monde des fables, les Animaux contractent la peste qui les déciment, le Cerf tombe malade (« Le Cerf malade »), le Loup a faim, le Chien est privé de sa liberté et porte les marques du collier… Jean Anouilh, qui lui aussi écrivit des fables au XX siècle, constate que l'image du monde qu'offrent ses propres fables est marquée par le pessimisme : on y voit que

tribunal des animaux », et sa langue savoureuse... Débutant le deuxième volet des Fables, elle possède une place symbolique et emblématique. L'histoire, donc, se passe chez les animaux. La peste faisant des ravages dans leurs rangs, le Lion propose de sacrifier le plus coupable des leurs pour expier, et se libérer de cette tragédie. « ... » Comment interpréter la morale de cette fable construite comme une pièce de théâtre? La construction et le jeu scénique évoquent une une pièce

Fables La cigale et la fourmi : La toute première Fable publiée par Jean de la Fontaine qui s'est grandement inspiré d'Esope, où une cigale crie famine et demande un peu de nourriture à la fourmi, avec une morale implicite. Le corbeau et le renard : Le renard, grand sournois qu'il est, flatte le corbeau pour qu'il chante et qu'il laisse tomber son fromage. La morale est explicite : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute. » La grenouille qui veut se faire aussi grosse

connu, souci du détail : époque, date, lieu - Autrefois on croyait aux légendes, aujourd’hui ce sont des histoires divertissantes 3. Analyse du genre : La fable a. Observations de 3 fables: La mort de la lionne ; la cigale et la fourmi, le corbeau et le renard. Analyse des 3 fables sous formes de tableau par deux. Structure, décor, acteurs, intrigue et dénouement et fin. b. La structure Structure ternaire : Exposition : cadre général du récit, circonstances de temps