Le Loup Garou

raisonnement argumentatif, comme sait si bien le faire Don Juan pour amener ses victimes à reconnaître la loi du plaisir. Certes, il est pieux mais met au même niveau la religion et la superstitions : d'après lui son maître ne croit « ni Ciel, ni Enfer, ni Loup garou » «(I, 1)  Après que Don Juan ait été emmené dans les enfers, le valet ne semble pas triste mais plus préoccupé par ses gages non-payés : ils crient « Mes gages ! mes gages ! ». Face au cynisme et aux provocations de Don Juan, Sganarelle veut

||||une araigne|| |||||| ||||un balai|| ||||un bonbon|| ||||un chat noir|| ||||un chaudron|| ||||un chocolat|| |||||| |une citrouille|un fantme||un monstre|| |un clown|une fte||un ogre|| |un costume|un hibou|un squelette|| |un crapaud|un loup-garou|une sorcire|| |un dmon|un masque||un vampire|| |un diable|une momie||un zombie||

(proies). « Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne » montre qu’il s’intéresse à toutes les femmes sans distinctions sociale. b) L’irréligieux : Sganarelle est choqué par l’impiété de son maître : ‘qui ne croit ne Ciel, ni enfer, ni loup-garou » (ternaire). Croyances religieuses et croyances populaires mêlées. Pour Sganarelle ? Dom Juan apparait comme un libertin (du XVIIe siècle : irréligieux). Parole prémonitoire de Sganarelle : « Suffit qu’il faut que le courroux du Ciel l’accable

tombe en panne. Le jeune homme déclare son amour à sa fiancée en lui offrant une bague de fiançailles. Il est anxieux parce qu’il cache un terrible secret. Lors de la pleine lune, il se transforme en un affreux et terrible monstre semblable à un loup garou. Tout bascule et la musique plonge les spectateurs dans l’effroi. Lorsque ce dernier s’apprête à dévorer la jeune fille, nous nous retrouvons dans une salle de cinéma : Il s’agissait d’une scène d’un film d’horreur visionné par d’autres personnes

dans deux médaillons parents et enfants, on lie très clairement sur le visage de Tognina son exaspération et même un regard menaçant. Le peintre renforce ainsi le caractère animal de ses sujets, la description de Tognina la rapproche indéniablement du loup. En même temps que leurs portraits peints ou déssinés s'accumulent, l'Empereur Rodolphe II ordonne leur inscription dans son "Catalogue de Curiosité", ils sont placés parmi les "erreurs de la nature", décrits et agrémentés d'une peinture de Von Kavestyn

peur ajouta Anna, je suis là. On va s'en sortir, ne t'en fais pas." Ils finirent par dormir un peu. Mais vers 3 heures du matin ils se réveillèrent en sursaut, surpris par un cri de loup affolant. Le cœur d'Anna se mis à battre comme il n'avait jamais battu. Elle se retourna et vit derrière elle sur la colline un loup éclairée par la pleine lune. Elle prit Diamant dans ses bras et commença à courir, courir le plus vite qu'elle le pouvait, mais elle trébucha sur le morceau de satin déchiré de sa robe

diplôme de journalisme. Bruce Lowery écrit ses œuvres en français puis en anglais. La cicatrice, son premier roman, reçoit en 1961 le prix de l'Universalité de la langue française. Il est l'auteur de nombreux autres ouvrages comme Porc-épic, Le loup-garou, Revanches ou encore le Philatosexuel, des œuvres toutes fois beaucoup moins reconnues. Il meurt en 1988 à l'age de cinquante-sept ans d'un cancer de l'estomac. Dans la cicatrice l'histoire se déroule entre l'hiver 1944 et l'année 1945, nous sommes

m'a point entretenu, mais par precaution, je t'apprens (inter nos) que tu vois en D. Juan mon Maistre, le plus grand scelerat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un Diable, un Turc, un Heretique, qui ne croit ny Ciel, ny Enfer, ny loup-garou, qui passe cette vie en veritable beste-brute, un pourceau d'Epicure, un vray Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances [chrestiennes] qu'on luy peut faire, et traite de billevezées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé

est souvent le personnage porteur de l’aspect comique des pièces. Ici, il joue un valet peu cultivé qui tente d’exposer le peu de savoir qu’il possède, mais qu’il maîtrise très mal, comme par exemple dans la scène d’exposition où il mélange les loup-garous, le Ciel et l’Enfer, ainsi que des citations latines telles que « inter nos ». Le personnage est donc presque tourné au ridicule, ce qui est un des éléments comiques majeurs de la pièce. Enfin, après la mort de Dom Juan, Sganarelle réclame ses

lui-même. (Valet aux antipodes de DJ. Autant DJ : soumis, hardis, débauché… autant Sga : crédule.) a) Un crédule. -Défenseur de la morale, foi religieuse, très attaché à la religion catholique. A cette croyance s’ajoute une superstition grossière. (Loup-garou, croyance légère) Elimine-accumule sans distinction. Ennemi du christianisme. L.58  DJ : enragé, Turc… Sga craint pour son maître les châtiments divins. b) Un poltron. -En l’absence de son maître très à l’aise, fier, il répond aux ? de Gusman