Le Législateur Et Le Principe De Non Rétroactivité De La Loi

juridique de la sanction Section2 : les sanctions liées aux infractions fondamentales : CHAPITRE II : LE PRINCIPE DE LA LEGALITE DES SANCTIONS Section1 : le principe de la légalité 1- Origines : 2- Contenu Section2 : l’application de la loi Pénale : 1- L'application dans l'espace : Le Principe de la Territorialité 2- L'application dans le temps : Le principe de la non rétroactivité CHAPITRE I : D2FINITION ET NATURE DE LA SANCTION Section1 : définition juridique

L’application de la loi dans le temps Article 2 «  La loi dispose pour l’avenir ; elle n’a pas d’effets rétroactifs » La première interprétation de cet article remonte au Moyen Age on faisait la distinction entre les droits acquis qui sont des droits définitivement entrés dans le patrimoine comme une succession par exemple et les simples expectatives qui ne sont que des simples espérances non encore réalisées. Les droits acquis devaient être sauvegardés même contre une loi nouvelle. Les simples

bénéfice. Taux d'une unité monétaire et non matérielle. Le recouvrement, récupérer l'impôt. S'effectue dans la quasi-totalité des cas, en argent. Dans certains cas très limités on peut payer l'impôt en nature (œuvres d'art, remise d'immeuble..). 2. Un prélèvement à caractère obligatoire Les contribuables ne peuvent pas déterminer eux-mêmes le montant de l'impôt ni les règles de recouvrement de l'impôt. Un impôt ne peut être créé que par le législateur sinon cela ne porte pas le nom d'impôt

expresse ou tacite, contraire des particuliers. (Exp. article 502 du DOC ). Section III : la sanction étatique de la règle de droit La contrainte institutionnelle permet à l’autorité publique de sanctionner le non respect de la règle de droit. § 1- la notion de sanction En principe, la règle de droit est assortie d’une sanction, au cas où elle serait transgressée. La sanction prévue permet d’en garantir le respect. §2- Les différents types de sanctions Les sanctions rendues par le juge, peuvent

internationale en droit fiscal et met en valeur la source du droit fiscal la plus élevée, les traités internationaux. S'ajoute la constitution, la loi, les règlements, la doctrine administrative c-a-d l'interprétation que l'administration donne elle-même des textes fiscaux. Comme toutes les branches du droit le droit fiscal puise ses sources dans la loi les règlements, la jurisprudence. La source jurisprudentiel est marginale elle e fait que précisé la source écrite. Les décisions du CE sont contredise

 CE, 6 novembre 1936,  Arrighi : Théorie de la loi-écran. Le juge administratif ne contrôle pas la constitutionnalité d'une loi. Étant le juge du pouvoir exécutif, il ne peut, au nom de la séparation des pouvoirs, contrôler le travail du législateur. CE Sect., 5 mai 1944, Dame Veuve Trompier-Gravier CE, 25 juin 1948, Société du journal « L’Aurore » La Société du journal « L'Aurore » n'avait pas apprécié de recevoir une facture de consommation d'électricité établie

objectif comme l'ensemble des règles à caractère juridique. Une compréhension exacte du phénomène du droit objectif nécessite que la notion de règle de droit soit précisée. En synthétisant, on peut définir la règle de droit comme une norme (écrite ou non) à caractère générale et impersonnelle dont l'inobservation est sanctionnée par l'autorité publique. La règle de droit présente un certain nombre de caractères qui facilite son identification. Certains de ces caractères se retrouvent pourtant dans

des sources nationales, européennes, internationales… Les sources de droit sont très diverses (2600 lois, 23 000 décrets, 7000 conventions internationales, 22 000 arrêts de la cour de cassation…). Le système juridique français est complexe. Le législateur n’est pas la seule entité qui crée du droit en France mais aussi des entités supranationales (la France est membre de l’UE, d’organisations internationales) => respect des normes juridiques des organismes auxquels on a adhéré, parti intégrante de

pays. La peine à plusieurs fonctions : Rétributive/punitive : le but est d’infliger un mal en contrepartie du mal causé à la société Aujourd’hui le but n’est plus de faire mal, mais de punir : volonté d’humaniser le droit de la peine avec une loi de 2009. Dissuasive : par la menace d’une sanction coercitive, le droit pénal espère empêcher les individus de passe à l’acte. Resocialisante (nouvelle fonction depuis les années 50) : l’idée est de réinsérer l’individu dans la société après l’exécution

d’être. Toujours selon Portalis «  la jurisprudence est le législateur du cas particulier » c'est-à-dire que le juge doit adapter la loi aux circonstances concrètes auxquelles il doit faire face ; il va créer du droit. Par une étrange alchimie les décisions de justice qui sont des normes individuelles, concrètes et catégorique vont devenir une règle de droit, générale abstraite et hypothétique. Cette règle de droit complète l’action du législateur qui ne peut pas tout prévoir. Le juge à l’avantage que